Poursuite des consultations à Nairobi : les groupes armés saluent la ferme volonté du président Tshisekedi de rétablir la paix à l’Est du pays

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH7YEMXOINCna4PQwJ8NtSyHvKdwvvakf3c7a1Beir7cs08YsDny5qXEx0snpmeAUFYFYGcmGn-xkzTU2N_DISF0DAXAlMRNROiTMcMaLumTgNCawGbnoVQbGcjN3Q60ogOBqyMczFszxTRHsRNEPvP7Hj2BJ2kc9HXtrA80AGLm1eaDHjdAfLy6adCg/s1055/Snapshot_344.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="608" data-original-width="1055" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhH7YEMXOINCna4PQwJ8NtSyHvKdwvvakf3c7a1Beir7cs08YsDny5qXEx0snpmeAUFYFYGcmGn-xkzTU2N_DISF0DAXAlMRNROiTMcMaLumTgNCawGbnoVQbGcjN3Q60ogOBqyMczFszxTRHsRNEPvP7Hj2BJ2kc9HXtrA80AGLm1eaDHjdAfLy6adCg/s320/Snapshot_344.jpg" width="320" /></a></div>Au deuxième jour des consultations de paix sur la RDC organisées à Nairobi, neuf groupes armés ont participé le dimanche 24 avril aux travaux en attendant l’arrivée le même jour d’une dizaine d’autres mouvements.<br /><br />A en croire une dépêche de la presse présidentielle parvenue ce lundi 25 avril 2022 à RTNC CD, les groupes qui ont participé sont venus de la province du Sud kivu principalement dans les territoires d’Uvira, Fizi, Mwenga , Shabunda et les plateaux de Minembwe en plus des deux premiers engagés dans le processus depuis le weekend dernier.<br /><br /><br />Le M23/Makenga n’a pas participé aux travaux tel que l’avait exigé la délégation gouvernementale à cause de la poursuite de ses activités militaires dans le Nord Kivu. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <div><br /></div><div><br /><br /><span style="font-size: x-small;"><img height="480" src="https://s.rfi.fr/media/display/97f49fc0-1134-11ea-a246-005056a99247/w:1280/p:4x3/2012-10-23T204032Z_1423426989_GM1E8AO0CYS01_RTRMADP_3_CONGO-DEMOCRATIC_2.JPG" width="640" /></span><br />Sultani Makenga<br /><br />Les travaux se sont consacrés à la compilation des revendications (cahiers des charges) de chaque belligérant.<br /><br />Pour l’essentiel , tous évoquent des raisons identitaires et d’auto-défenses face à ce qu’ils qualifient des prédateurs étrangers et de manière unanime, tous ont salué positivement l’initiative de paix du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo et ses homologues de la communauté de l’Afrique de l’Est.<br /><br />Le Chef de la délégation présidentielle, Prof Serge Tshibangu, a rappelé aux nouveaux arrivés le message du président de la république et sa nouvelle approche du PDDR-CS qui prend en compte les échecs des précédents programmes.<br /><br />Le Coordonnateur du Mécanisme National de suivi des accords Claude Ibalanky a rappelé les attentes du président de la république à savoir entre autre : « un cessez-le-feu immédiat, une présentation par chaque groupe de la structuration de son mouvement ( cadres, effectifs des troupes combattantes et type d’armes) en vue de préparer les conditions de leurs prises en charge après la reddition inconditionnelle et la réinsertion sociale.<br /><br />Toutes les parties ( gouvernement, observateurs et groupes armés) ont aussi favorablement accueilli le message d’encouragement leur transmis par le porte-parole du secrétaire général des Nations-Unies . <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Le Secrétaire général prend note de l’approche à deux volets décidée par le Conclave des chefs d’État, y compris la formation d’une force régionale et la refonte d’un processus politique inclusif. Il souligne la nécessité d’une coordination efficace entre la force régionale et la MONUSCO, indispensable pour assurer la protection des civils. Il exhorte tous les groupes armés locaux en République démocratique du Congo à participer sans condition au processus politique, et tous les groupes armés étrangers à désarmer et à retourner sans condition et immédiatement dans leurs pays d’origine respectifs », pouvait-on noter dans le message d’Antonio Gutteres lu par le directeur de cabinet de son Envoyé Spécial à la CIRGL.<br /><br />« Le Secrétaire général souligne l’importance d’une stratégie globale pour s’attaquer aux causes profondes du conflit dans l’est de la République démocratique du Congo, y compris des mesures non militaires, et la mise en œuvre effective des programmes existants de justice transitionnelle et de DDRR/R », a-t-il dit<br /><br />Les travaux vont se poursuivre ce lundi avec la participation d’une dizaine d’autres groupes armés de l’Ituri et Nord Kivu en attente d’évacuation vers Nairobi.<br /><br /> RTNC<p> </p></div>

Politique Poursuite des consultations à Nairobi : les groupes armés saluent la ferme volonté du président Tshisekedi de rétablir la paix à l’Est du pays

Au deuxième jour des consultations de paix sur la RDC organisées à Nairobi, neuf groupes armés ont participé le dimanche 24 avril aux travau...

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RDC : le M23 exclu des négociations de Nairobi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgk-2rQLR5eSAKkYRZ0Y6tDO3Mk0APciOO-e_meAnhr5jrbqjVsvUhcOP3OQi0RXzqyl_CF1yM4JQfHO0gerZ4pgzsK0Iv93W-azMwqkN5dKe-CRmigH9TRoTXjWWScwMC2Cr_C5ozLHnBgSg4Pg2wWj81XZ4GTi4mkfwRaD7Zi1PtLQgTvallwlUApQ/s991/Snapshot_484.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="991" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgk-2rQLR5eSAKkYRZ0Y6tDO3Mk0APciOO-e_meAnhr5jrbqjVsvUhcOP3OQi0RXzqyl_CF1yM4JQfHO0gerZ4pgzsK0Iv93W-azMwqkN5dKe-CRmigH9TRoTXjWWScwMC2Cr_C5ozLHnBgSg4Pg2wWj81XZ4GTi4mkfwRaD7Zi1PtLQgTvallwlUApQ/s320/Snapshot_484.jpg" width="320" /></a></div>Un grain de sable dans la machine des négociations entamées samedi à Nairobi, au Kenya entre le gouvernement congolais et les groupes rebelles : l’exclusion dimanche du M23.<br /><br />Une décision intervenue après la reprise des combats entre ce groupe rebelle et les forces loyalistes à l’Est de la RDC, quelques heures seulement après le début de ces pourparlers.<br /><br />Kinshasa a donc exigé et obtenu l’expulsion des représentants du Mouvement du 23 mars. Alors que les rebelles disent avoir déterré la hache de guerre après avoir été attaqués par les FARDC, les forces armées de la République démocratique du Congo. Le M23 accuse l'armée congolaise d'avoir "l'intention manifeste de compromettre le processus de paix issu du récent conclave" des quatre chefs d’État à Nairobi. Version balayée par les autorités congolaises. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />La rencontre de Nairobi se propose de trouver une issue diplomatique à la violence endémique dans l’Est de la RDC.<br /><br />Le gouvernement congolais a prévenu, l’option militaire sera maintenue contre ceux qui iront à l’encontre de la carte du dialogue. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />le secrétaire général des Nations unies "exhorte tous les groupes armés locaux en République démocratique du Congo à participer sans condition au processus politique, et tous les groupes armés étrangers à désarmer et à retourner sans condition et immédiatement dans leurs pays d'origine respectifs, a déclaré son porte-parole Eri Kaneko .<div><br /></div><div><div class="item author" style="align-self: center;"><div class="article__author"><span style="font-size: medium;"><b>Africanews</b></span></div><div style="font-family: "Open Sans", Arial, sans-serif; font-size: 10px; font-weight: 700;"><br /></div></div><p> </p></div>

Province sécurité RDC : le M23 exclu des négociations de Nairobi

Un grain de sable dans la machine des négociations entamées samedi à Nairobi, au Kenya entre le gouvernement congolais et les groupes rebell...

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Pourquoi le Royaume-Uni de Boris Johnson veut-il envoyer ses migrants illégaux au Rwanda ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTyhE8JDK8PdMPhQ_Lqas8hHjTngeUFohtvDLigk-4Pyx2BKMcted8YSppC5uCRRA3gzJQ5NFAYna_4r5-AnY0pVByIiic1M7qcrspywRBzGJbAMvUdudSFBPviDmeSLSYpx-fK6zhkytc2KXxd_gARpAINISU7j_84wpTrId1PbkqsqbE0HoA3lurqg/s1212/Snapshot_482.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="678" data-original-width="1212" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTyhE8JDK8PdMPhQ_Lqas8hHjTngeUFohtvDLigk-4Pyx2BKMcted8YSppC5uCRRA3gzJQ5NFAYna_4r5-AnY0pVByIiic1M7qcrspywRBzGJbAMvUdudSFBPviDmeSLSYpx-fK6zhkytc2KXxd_gARpAINISU7j_84wpTrId1PbkqsqbE0HoA3lurqg/s320/Snapshot_482.jpg" width="320" /></a></div>Afin de lutter contre l'immigration illégale, le Royaume-Uni a annoncé que le Rwanda allait accueillir tous les migrants avant que leur dossier ne soit traité. Plusieurs ONG s'offusquent de cette décision.<br /><br />Neuf mois de travail pour accoucher d'un accord aussi étonnant que controversé : le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé qu'à partir de ce jeudi 14 avril le Rwanda allait accueillir tous les migrants illégaux arrivés au Royaume-Uni depuis le 1er janvier, et ce quelle que soit leur nationalité. Objectif affiché, réduire drastiquement le nombre de migrants, alors qu'en 2021 près de 28 500 personnes sont arrivées en territoire britannique par la Manche, contre 8 466 l'année précédente. Une augmentation sonnant comme un échec pour Boris Johnson, qui lors de son arrivée au pouvoir en juillet 2019 s'était engagé à réduire l'immigration illégale. A l'approche des élections locales de mai, le Premier ministre veut frapper les esprits. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pourquoi choisir le Rwanda ?<br /><br />En janvier dernier, une rumeur faisait part d'un accord éventuel avec le Ghana, mais celui-ci a rapidement démenti vouloir participer à cette politique. Trois mois plus tard, le Rwanda accepte, et par la voix de son ministre des Affaires étrangères se félicite de la collaboration à venir : "Le Rwanda se réjouit de ce partenariat avec le Royaume-Uni pour accueillir des demandeurs d'asile et des migrants, et de leur offrir des voies légales pour vivre", a-t-il déclaré, avant d'ajouter que son pays pourra accueillir "des dizaines de milliers de personnes dans les années à venir", et que celles-ci pourront "s'y installer définitivement si elles le souhaitent".<br /><br />Dans cette affaire, le Rwanda va recevoir une enveloppe de 144 millions d'euros de la part de Londres. Aucune dépense à prévoir, donc, pour un pays dont plus de la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et une décision conforme à l'état d'esprit du président Paul Kagame qui, selon le spécialiste de l'Afrique Antoine Glaser, veut "faire en sorte que les Africains restent sur le continent pour le développer". <br /><br />Y a-t-il des politiques similaires actuellement à l'oeuvre ?<br /><br />La politique d'envoi de migrants illégaux sur des sols étrangers a déjà été pratiquée récemment, notamment par l'Australie, avec les programmes "Solution du Pacifique" entre 2001 et 2007 puis" Sovereign Borders" depuis 2013. Elles consistent à installer les migrants sur des îles du Pacifique, où ils vivent dans des camps de réfugiés ressemblant pour beaucoup à des centres de détention. En 2016, la Cour suprême de Papouasie-Nouvelle-Guinée a jugé illégale le centre australien de détention de migrants présent sur l'île de Manus, le déclarant contraire à la dignité humaine. L'Australie a promis de le démanteler mais pas de mettre fin à sa politique.<br /><br />Pourquoi les ONG s'offusquent-elles de cette décision ?<br /><br />Si Boris Johnson promet que le Rwanda est "désormais l'un des pays les plus sûrs au monde", le non-respect des droits fondamentaux des migrants est bien ce que redoutent les organisations non gouvernementales. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Selon Amnesty international, en plus d'être "scandaleusement mal conçu", le plan britannique fait confiance à un pays " au bilan lamentable en matière de droits humains". <br /><br />Disparitions forcées, arrestations de blogueurs et journalistes, morts suspectes en prison, l'ONG dresse sur son site la liste des inquiétudes pouvant naître de l'arrivée dans ce pays de milliers de personnes issues de cultures différentes : Irak, Syrie, Erythrée... De son côté, le Haut-Commissariat de l'ONU aux réfugiés a d'ores et déjà annoncé que si une telle loi était adoptée, elle contredirait la Convention de Genève pour les réfugiés. <br /><br /> <br /><br />L'Express<p> </p>

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Afin de lutter contre l'immigration illégale, le Royaume-Uni a annoncé que le Rwanda allait accueillir tous les migrants avant que leur ...

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RDC-Gouvernement de l’Union Sacrée : l’heure du bilan pour l’an 1 de Sama Lukonde a sonné

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOJCe7YTNxVt9MNfIsNPHcHcRbIxt-kSx6ymEiDFvNCXc-btFbLuStESwbcEWOk4173n8BguyRzSy7xMUF6F0ssrt5mqX9EqMUIkFsIVskildbh4B48yY-0mIpWp8a9LtrJjNJEiY7lG-rQsqMEkdxW5nIp_4UmwDclt37gOLo6UShg_uwJdZTCKDIdA/s793/Snapshot_481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="403" data-original-width="793" height="163" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOJCe7YTNxVt9MNfIsNPHcHcRbIxt-kSx6ymEiDFvNCXc-btFbLuStESwbcEWOk4173n8BguyRzSy7xMUF6F0ssrt5mqX9EqMUIkFsIVskildbh4B48yY-0mIpWp8a9LtrJjNJEiY7lG-rQsqMEkdxW5nIp_4UmwDclt37gOLo6UShg_uwJdZTCKDIdA/s320/Snapshot_481.jpg" width="320" /></a></div>Kinshasa, 24 avril 2022- Le gouvernement de l’union sacrée de la nation que dirige le Premier ministre Sama Lukonde totalise 1 année, le 26 avril 2022, date de son investiture par l’Assemblée nationale.<br /><br />A cette occasion, le Premier Ministre Sama Lukonde a, en marge du 50è conseil des Ministres qu’il a présidé vendredi 23 avril par vidéo-conférence à partir de Lubumbashi, rappelé à son équipe le devoir de rédevabilité qui les attend pour cette première année d’exercice.<br /><br />Pour cela, il a soutenu que l’heure du bilan à sonner afin de permettre à son gouvernement de présenter ce qu’il a pu faire et dû accomplir au cours de 12 derniers mois. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Son programme du gouvernement a été bâti sur 15 piliers notamment le secteur politique, judiciaire, défende et sécurité, ainsi que l’état prospère, deux premiers piliers prioritaires sur lequel il avait assuré s’y atèler pour la bonne marche de la République. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il sied de noter que le gouvernement Sama Lukonde baptisé équipe des “Warriors” était composé de 56 membres au départ avant la déchéance du ministre de l’économie nationale par l’Assemblée nationale pour notamment incompétence et non maîtrise de la stabilité des prix des biens de première nécessité sur le marché.<br /><br />Cédric BEYA<p> </p>

Politique RDC-Gouvernement de l’Union Sacrée : l’heure du bilan pour l’an 1 de Sama Lukonde a sonné

Kinshasa, 24 avril 2022- Le gouvernement de l’union sacrée de la nation que dirige le Premier ministre Sama Lukonde totalise 1 année, le 26 ...

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Doutant de ses facultés mentales: Les enfants de Verkys Kiamuangana s’opposent à son mariage avec une jeune dame

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQK8rzbImUF5AKPgeRIr_2m1diAPwfPOPv-vVVB4kjGWZGRkNCWUEl9tUWhSogOZsK10uamMOCqs6hS4Sd_eYstFNx3N8MxP4Pb0tLh7XL_QN79htJfHTG4_Ixz_GjNjaIDUPPMlNQe8Xcs4JUXOt_fuBPYQWJDri_r6mpvSgTDjLk7FP9TwzM4wT1vg/s699/Snapshot_480.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="638" data-original-width="699" height="292" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQK8rzbImUF5AKPgeRIr_2m1diAPwfPOPv-vVVB4kjGWZGRkNCWUEl9tUWhSogOZsK10uamMOCqs6hS4Sd_eYstFNx3N8MxP4Pb0tLh7XL_QN79htJfHTG4_Ixz_GjNjaIDUPPMlNQe8Xcs4JUXOt_fuBPYQWJDri_r6mpvSgTDjLk7FP9TwzM4wT1vg/s320/Snapshot_480.jpg" width="320" /></a></div>Sacrilège, escroquerie, arnaque, théâtre… méchanceté font partie des commentaires que l’on pouvait lire dans les réseaux sociaux, à la suite de la publication des séquences vidéos du mariage de l’artiste musicien Verkys Kiamuangana avec une jeune dame. Victime d’un accident célébral d’origine cardio-vasculaire (AVC) il y a quelque temps, ce dernier a célébré son mariage, samedi 23 avril 2022, avec une jeune fille.<br /><br />Ses enfants s’y opposent farouchement, pour le double motif qu’il serait toujours marié à une autre femme, et surtout qu’il n’aurait pas encore repris ses facultés mentales.<br /><br />Alors qu’il fêtera ses 78 ans d’âge en mai prochain, l’auteur compositeur, arrangeur, saxophoniste, producteur et chanteur Verkys Kiamuangana Mateta continue à savourer la beauté féminine.<br /><br />Le célèbre artiste qui a le mérite d’avoir réussi à aménager un espace pour le saxophone dans l’espace sébéné congolais est encore capable d’aménager de l’espace dans son cœur pour celle qu’il aime. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <img src="http://alternance.cd/wp-content/uploads/2022/04/IMG-20220424-WA0092.jpg" /><br /><br />C’est ce qu’il a fait ce samedi 23 avril, en convoyant avec une jolie dame dénommée Séraphine Kondoli Kiamutu. Gros souci: treize de ses enfants sont contre cette union. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Faisons opposition au mariage de Monsieur Kiamuangana Mateta Georges Verkys et Kondoli Kiamutu Séraphine, ledit mariage qui aura lieu ce samedi 23 avril 2022 à Kinshasa…Compte tenu que notre père Kiamuangana Mateta Georges Verkys étant toujours marié à Mme Bola Lucie Caroline, étant victime d’un AVC cérébral et de plus n’ayant pas repris toutes ses facultés mentales pour décider, contracter ou engager quoi que ce soit, nous ses enfants avons décidé de nous opposer fermement à ce mariage », ont-ils expliqué dans une procuration spéciale parvenue datée du 21 avril dernier, parvenue à alternance.cd.<br /><br />Cette affaire risque de finir devant les instances judiciaires.<br /><br />Jean Pérou Kabouira<p> </p>

Musique Société Doutant de ses facultés mentales: Les enfants de Verkys Kiamuangana s’opposent à son mariage avec une jeune dame

Sacrilège, escroquerie, arnaque, théâtre… méchanceté font partie des commentaires que l’on pouvait lire dans les réseaux sociaux, à la suite...

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Plus de 500 migrants interceptés au large de la Libye

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijU41qBlcAobC5uNrHSvCmpBrU-S0o73zcmRihlX3f9gQl6HAftqKtr20JikyQqNTxvTxz10S2d67AGm9grYePpIZcRoL6eDAJHZyCb84o4zZ_VYZbz0FTt11iGtPoaOltG7oTZ7QV0G6Pz_MSVCYeoef34Bpw6Su6uWsJ2Dsdjj00HzhPtWbWr2kWug/s1387/Snapshot_478.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="925" data-original-width="1387" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijU41qBlcAobC5uNrHSvCmpBrU-S0o73zcmRihlX3f9gQl6HAftqKtr20JikyQqNTxvTxz10S2d67AGm9grYePpIZcRoL6eDAJHZyCb84o4zZ_VYZbz0FTt11iGtPoaOltG7oTZ7QV0G6Pz_MSVCYeoef34Bpw6Su6uWsJ2Dsdjj00HzhPtWbWr2kWug/s320/Snapshot_478.jpg" width="320" /></a></div>Un groupe de 542 migrants a été intercepté dimanche et placé en détention à Tripoli alors qu’il s’apprêtait à entreprendre la périlleuse traversée de la mer Méditerranée depuis la côte ouest libyenne, a-t-on appris de source sécuritaire. Ces candidats à l’exil ont été arrêtés par les autorités libyennes près d’une plage de Misrata, à quelque 200 km de la capitale, alors qu’ils se préparaient à rejoindre les côtes européennes à bord d’embarcations pneumatiques, a déclaré à l’AFP un responsable au sein de l’Organe de lutte contre l’immigration clandestine, affilié au ministère de l’Intérieur.<br /><br />Pour la plupart originaires du Bangladesh, d’après un photographe de l’AFP, ils ont été transférés le même jour en bus vers un centre de détention près de Tripoli où « une aide humanitaire leur sera fournie jusqu’à leur expulsion vers leurs pays », a affirmé le responsable libyen. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le chaos qui a suivi la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011 a fait de la Libye une voie privilégiée pour les migrants originaires d’Afrique de l’Est, du Sahel et d’Asie, cherchant à rejoindre l’Europe par les côtes italiennes, distantes d’environ 300 km.<br /><br />Plusieurs milliers d’entre eux se retrouvent bloqués dans ce pays d’Afrique du Nord, souvent dans des conditions déplorables. <br /><br />Les candidats à l’exil y sont la proie de trafiquants, quand ils ne meurent pas en tentant la traversée, et le pays est régulièrement épinglé par les ONG pour les mauvais traitements infligés aux migrants. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Depuis le début de l’année, « au moins 475 personnes sont mortes en tentant de traverser la Méditerranée centrale » via cette route, selon un bilan de l’OIM datant du 11 avril. <br /><br />Quelques jours après ce bilan, six migrants ont été retrouvés morts et 29 autres portés disparus après un nouveau naufrage au large du pays.<p> AFP </p>

Société Plus de 500 migrants interceptés au large de la Libye

Un groupe de 542 migrants a été intercepté dimanche et placé en détention à Tripoli alors qu’il s’apprêtait à entreprendre la périlleuse tra...

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Première visite du président rwandais en Ouganda depuis quatre ans

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHP35CoaWNcK4FDGjRTR-MJnkf0-7qTMKIqecz0k-qnIjXJfzzu6e8iurhu1hKOrHSIVif4RRihpMcrKdkE1XDELYkBLkBI48gLkm4K2Wv_YC1pk4s3gUUQ-YfE_-kjvIUHQsAaDRawOlI4u4D4WP5IqtlAk3YRNK49ZoeH_1UTG91-lZA0QZPdHGnNw/s793/Snapshot_477.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="451" data-original-width="793" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHP35CoaWNcK4FDGjRTR-MJnkf0-7qTMKIqecz0k-qnIjXJfzzu6e8iurhu1hKOrHSIVif4RRihpMcrKdkE1XDELYkBLkBI48gLkm4K2Wv_YC1pk4s3gUUQ-YfE_-kjvIUHQsAaDRawOlI4u4D4WP5IqtlAk3YRNK49ZoeH_1UTG91-lZA0QZPdHGnNw/s320/Snapshot_477.jpg" width="320" /></a></div>Le président rwandais Paul Kagame est arrivé dimanche en Ouganda pour sa première visite en quatre ans, signe supplémentaire d’un rapprochement entre ces deux pays voisins d’Afrique de l’Est. M. Kagame est arrivé à Kampala, la capitale ougandaise pour une rencontre avec son homologue ougandais Yoweri Museveni, 77 ans et pour assister au 48e anniversaire du fils de ce dernier, Muhoozi Kainerugaba, grand artisan du rapprochement entre les deux pays, selon la radiodiffusion publique rwandaise.<br /><br />Officiellement en « visite privée » selon le haut commissariat ougandais à Kigali, M. Kagame a néanmoins été notamment reçu par M. Kainerugaba et le ministre ougandais de la Sécurité, Jim Muhwezi.<br /><br />Pressenti pour succéder à son père malgré ses dénégations, M. Kainerugaba a connu une ascension rapide à la tête de l’armée ougandaise dont il dirige les forces terrestres. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il est aussi conseiller spécial à la présidence. Ses discussions avec M. Kagame ont notamment conduit à la réouverture de la frontière terrestre en janvier, qui avait été brusquement fermée en 2019 en pleines tensions entre les deux pays.<br /><br />Signe du tournant dans les relations, M. Kainerugaba a été amené à parler de M. Kagame sur Twitter en l’appelant « mon oncle ». « Ceux qui le combattent, combattent ma famille. Ils devraient tous faire attention », a-t-il menacé en janvier.<br /><br />La visite de M. Kagame intervient par ailleurs quelques semaines après que l’Ouganda a annoncé l’expulsion d’un membre de premier plan du Congrès national rwandais (RNC), parti d’opposition rwandais que Kigali considère comme une organisation terroriste.<br /><br />La présence en Ouganda de rebelles cherchant à renverser M. Kagame empoisonne depuis longtemps les relations entre les deux pays. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Et M. Kainerugaba avait promis de sévir contre le RNC, fondé en 2010 par l’ancien chef de l’armée rwandaise Kayumba Nyamwasa et l’ancien patron de l’espionnage Patrick Karegeya, tous deux devenus de féroces critiques de M. Kagame. <br /><br />La dernière visite de M. Kagame en Ouganda remontait à mars 2018. MM. Kagame et Museveni ont été de proches alliés durant les années 1980-1990, dans la conquête du pouvoir dans leurs pays respectifs, avant de devenir de farouches rivaux, s’accusant mutuellement d’espionnage, d’enlèvements et de soutien à des groupes rebelles.Ils avaient aussi soutenu des rébellions rivales en République démocratique du Congo (RDC).<div><br /></div><div>AFP<br /><p> </p></div>

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Le président rwandais Paul Kagame est arrivé dimanche en Ouganda pour sa première visite en quatre ans, signe supplémentaire d’un rapprochem...

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RDC : Catholiques et protestants ne sont pas tendres pour le pouvoir en place

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpLR8G-YErsvm8_JD3Wyw3cD1d1ojOCA6vLPLVNPst5IcqSaOPxVTnjeJqyNY-Y13aVsPLCh_soXqLUFpnOHl7-SeU1lK62DWiTUhU9mJ7CBfra9x_ezavdXxyFay20kIY3qI4I5Cd6YGAjCyKCsEX-cv0ATDJw_Cr88tj2geDzCcM_fgv_CTIJppf9g/s1105/Snapshot_476.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="660" data-original-width="1105" height="191" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjpLR8G-YErsvm8_JD3Wyw3cD1d1ojOCA6vLPLVNPst5IcqSaOPxVTnjeJqyNY-Y13aVsPLCh_soXqLUFpnOHl7-SeU1lK62DWiTUhU9mJ7CBfra9x_ezavdXxyFay20kIY3qI4I5Cd6YGAjCyKCsEX-cv0ATDJw_Cr88tj2geDzCcM_fgv_CTIJppf9g/s320/Snapshot_476.jpg" width="320" /></a></div>Catholiques et protestants congolais publient un communiqué pour mobiliser la population face à la mégestion du pouvoir actuel en RDC.<div><br />Et dire qu’il y a eu la fameuse transition pacifique (si pas démocratique) du pouvoir en République démocratique du Congo. On pourrait en douter en lisant le contenu du dernier communiqué du CALCC (Conseil de l’Apostolat des Laïques catholiques) et du MILAPRO (Ministère des Laïques Protestants) qui rappelle tristement les courriers de ces organisations sous l’ère Kabila.<br /><br />Les deux institutions se disent profondément préoccupées par la situation du pays. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> « Le pouvoir en place se distingue de plus en plus par une insensibilité telle, face aux cris de détresse de la population et a précarité grandissante, mais aussi par les restrictions accrues des libertés, marquant ainsi un recul dangereux de la démocratie si chère payée en RDC et la fragile cohésion nationale ». <br /><br />Elles condamnent « fermement », dans ce texte publié ce dimanche 24 avril 2022, « l’instrumentalisation de la justice pour museler toutes les voix dissidentes et emprisonner les non-alignés t, hier, la répression sanglante, l’usage excessif et disproportionné de la force, l’usage des balles réelles ayant causé des blessures graves et la destruction méchante du siège du parti politique ECIDE, lors de leur récente manifestation pacifique de sit-in devant le palais du peuple, le vendredi 22 avril 2022, à Kinshasa ». <br /><br />Une enquête indépendante est exigée face à cette véritable flambée de violence policière. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Les deux institutions rappellent ensuite les viols successifs de la Constitution et des lois du pays par le pouvoir de Félix Tshisekedi pour imposer de nouveaux juges à la Cour constitutionnelle, ses candidats à la Ceni et mettent en garde : « malgré les bonnes intentions miroitées pour endormir le peuple, tout porte à croire que le pouvoir en place est déterminé à faire fi de tous les appels aux réformes électorales consensuelles, pour des élections crédibles et apaisées en 2023 »<br /><br />Dans ce contexte le Milapro et le CALCC appellent tous les Congolais à la vigilance, à la mobilisation et à « ne pas céder aux manoeuvres dilatoires des politiques qui ne visent que leurs intérêts personnels t à se tenir prêts à répondre à liur appel pour des manifestations publiques, en cas de persistance de la situation actuelle ». <br /><br />Elles préviennent que des actions sont à prévoir dans un proche avenir. </div><div><br /></div><div><span style="font-size: medium;"><b>lalibre.be</b></span></div><div><span style="background-color: white; color: #555555; font-family: Roboto-Regular; font-size: 14px;"><br /></span></div>

Politique RDC : Catholiques et protestants ne sont pas tendres pour le pouvoir en place

Catholiques et protestants congolais publient un communiqué pour mobiliser la population face à la mégestion du pouvoir actuel en RDC. Et di...

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Assemblée nationale : A qui profite un passage en force ?

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSKgC_yYUqpw7Y6HK98hsYEWxu7Xl1MRDSfJsIwsOT5ExXWId2sTwdlehIuVmCJdPXcnxOBUxNKzacoaiZzl2VOVkbUhfELwwTmn0I7v9ffhmoCyVCnqhrTwG--9WZTyB69_f-mEzlerUllEKDQqY3T3ySpcV8u8Sct63_mK98DTBBXzAlmELW69OzZw/s749/Snapshot_474.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="560" data-original-width="749" height="239" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSKgC_yYUqpw7Y6HK98hsYEWxu7Xl1MRDSfJsIwsOT5ExXWId2sTwdlehIuVmCJdPXcnxOBUxNKzacoaiZzl2VOVkbUhfELwwTmn0I7v9ffhmoCyVCnqhrTwG--9WZTyB69_f-mEzlerUllEKDQqY3T3ySpcV8u8Sct63_mK98DTBBXzAlmELW69OzZw/s320/Snapshot_474.jpg" width="320" /></a></div>L’actualité au Parlement en RD Congo, reste essentiellement dominée par le début, vendredi 22 avril, du débat général sur les réformes électorales. En l’espèce, l’examen à l’Assemblée nationale, de la proposition de loi électorale. Constat notable, les discussions se font en l’absence des députés de l’Opposition, très majoritairement issus du Front commun pour le Congo (FCC), cher au au Président de la république honoraire, Joseph Kabila.<br /><br />Secret de polichinelle, les députés FCC conditionnent leur participation aux plénières consacrées à cette matière, par la prise en compte de leurs propositions en termes d’amendements au texte mère. Pas plus tard que le vendredi 22 avril, ils ont réitéré leur position contenue dans leur déclaration rendue publique le 10 du mois en cours.<br /><br /> En substance, ils déclarent ne plus participer aux plénières sur l’examen de la proposition de loi Lokondo, portée par le Groupe de 13 personnalités (G13), aussi longtemps que les différentes parties prenantes au processus électoral en cours, n’auront au préalable, accordé leurs violons sur certains points. Aussi, dénoncent-ils ce qu’ils qualifient de dérives dictatoriales de l’actuel régime, avant de prendre à témoins, le peuple congolais ainsi que la Communauté internationale. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />A QUI PROFITE LE FORCING ?<br /><br />La situation à l’Assemblée nationale est celle où le « chien opposition » aboie, la « caravane Union sacrée de la nation (USN) », poursuit son bonhomme de chemin! Dit autrement, les députés USN font la sourde oreille aux revendications de leurs collègues de l’opposition qui tiennent mordicus à un consensus autour des réformes électorales engagées à l’Assemblée nationale.<br /><br />Vu des observateurs, la nouvelle majorité parlementaire post coalition FCC-CACH, créée en décembre 2019, a opté pour un passage en force. Question, cependant, à qui profite donc ce forcing, dès lors qu’il s’agit d’une matière ultra sensible qui concerne, non pas la vie d’un groupe mais plutôt celle de toute une nation? Poser la question, c’est à la fois y répondre.<br /><br />Certes, la démocratie est la loi de la majorité. Mais cette règle ne signifie pas que l’on ne doit pas tenir compte de la minorité. Peu importent leurs appartenances politiques actuelles, les députés nationaux ne devraient pas ignorer qu’ils ne légifèrent pas pour le présent. Bien au contraire. La loi, entendue comme disposition générale et imposable à tous, est votée pour l’avenir d’une communauté. Pour le coup, il s’agit de l’avenir de la nation RDC.<br /><br />A priori, les députés USN, sous prétexte de leur appartenance politique actuelle, s’en tiennent à la charte de leur plateforme. Mais combien ont la ferme garantie et conviction d’être réélu à l’issue du prochain scrutin qui, conformément à l’article 73 de la constitution, doit se tenir en principe au mois d’octobre de l’année 2023.<br /><br />Car, sur pied de l’article sus-évoqué, « le scrutin pour l’élection du Président de la République est convoqué par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), quatre-vingt dix jours avant l’expiration du mandat du Président en exercice« . <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dès lors que le mandat de Félix Tshisekedi a commencé le 24 janvier 2019, l’élection de son successeur est donc supposée avoir lieu trois mois avant, soit le 24 octobre 2023.<br /><br />Entendu que personne ne sait prédire son avenir, il y a fort à craindre que les députés nationaux qui, au nom de leur appartenance à la majorité parlementaire actuelle, votent des lois qui risquent de se retourner demain contre eux. Pour le cas de figure, la loi électorale qu’ils votent aujourd’hui, sans le consentement de leurs collègues de l’opposition, pourrait à l’avenir, se révéler un piège contre eux-mêmes. Ahurissant tout de même, est l’attitude (zélée ?) de nombre de députés USN qui, manifestement, semblent ignorer que leur bail à l’hémicycle est limité dans le temps. Autrement dit, le mandat à tout poste électif n’est pas à confondre avec une carrière, pour prétendre en bénéficier de dividendes à vie !<br /><br />PLANTER LE DECOR DE LA CONTESTATION<br /><br />Ici comme ailleurs, les élections parfaites n’existent pas. En Afrique principalement, l’expérience renseigne que les élections sont souvent source de conflits et de violences après la publication des résultats. Toutefois, plus d’un analyste estiment qu’il y a lieu de minimiser les troubles postélectoraux. Et, la meilleure façon d’y parvenir, est de bien négocier les différentes phases préélectorales.<br /><br />Pour des analystes indépendants, une organisation réussie des élections est tributaire du sérieux que l’on aura mis dans toutes les actions préalables. Entre autre, le consensus sur la loi électorale, la transparence dans les opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs.<br /><br />Dans cette approche systémique, le dysfonctionnement constaté dans une étape, est susceptible de créer les conditions favorables à la contestation des résultats. A ce jour, les députés USN semblent endosser seuls, la lourde responsabilité d’une loi électorale ou plus globalement, des réformes électorales. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />De l’avis de nombreux observateurs, les discussions en cours sur la proposition de loi électorale à l’Assemblée nationale, sans l’opposition balisent la voie de la contestation des résultats, sans minimiser tout ce qui va avec. C’est donc ici, que des analystes convient les députés USN à plus de responsabilité aux fins d’un processus électoral concerté. Car, il n’existe nulle démocratie au monde sans l’opposition. Qui sait, si la « victime » d’aujourd’hui pourrait devenir le bourreau de demain et vice-versa ? « Gouverner, c’est prévoir », postule Emile de Girardin. Grevisse KABREL <p> </p>

Politique Assemblée nationale : A qui profite un passage en force ?

L’actualité au Parlement en RD Congo, reste essentiellement dominée par le début, vendredi 22 avril, du débat général sur les réformes élect...

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L’ultimatum de 48 heures accordé à Jean-Marie Kalumba expire ce lundi

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXKW59n50wGvne9gC6VImidcky_ehmX6zg4muQO5-D1k9EWm6z4owP2-RglgZ2sGZIZ05NaLyV7powQNipSOdySKEz6Lsj5VtyrPDqI1skQixGNP3rquIfNsPSnZYn7LwIxW68mwPHg-bI9hd8jDSILQdezpJR0xQtvBQ-iwRKZRoc-7636R6lchihMA/s787/Snapshot_282okjiji.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="410" data-original-width="787" height="167" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXKW59n50wGvne9gC6VImidcky_ehmX6zg4muQO5-D1k9EWm6z4owP2-RglgZ2sGZIZ05NaLyV7powQNipSOdySKEz6Lsj5VtyrPDqI1skQixGNP3rquIfNsPSnZYn7LwIxW68mwPHg-bI9hd8jDSILQdezpJR0xQtvBQ-iwRKZRoc-7636R6lchihMA/s320/Snapshot_282okjiji.jpg" width="320" /></a></div><p></p> L’AFDC-A, le regroupement politique dont est membre le ministre de l’Economie nationale, Jean-Marie Kalumba déchu par l’Assemblée nationale, a sommé ce dernier, dans une correspondance datée du 22 avril, de retirer sa requête déposée au greffe de la Cour Constitutionnelle contre sa destitution.<div><br /></div><div> Cet ultimatum de 48 heures expire ce lundi 25 avril à minuit.</div><div><br /></div>L’AFDC-A qui a désigné Jean-Marie Kalumba pour faire partie de l’équipe dirigée par le Premier ministre Sama Lukonde reproche au ministre déchu de ne l’avoir pas associé à sa démarche.<br /><br />Ci-dessous la correspondance de l’AFDC-A adressé à Jean-Marie Kalumba lui demandant de retirer sa lettre. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhONrK2Zv6_ort2MO4LvtSLczwExEmPOvcsy_OiYxpHs-FekApvPn1SkyWvI692lpy03YVt7Bu9WX_Evu8sajeL9xzcxGNwXQx-Iuw5p8vgrYdZpLnojp32di5e8f73zSvdsLwebqW3PqE330Ea5gERNhV_CORnGvHyE-BeR_cSSem1R5kgXlqIjruzVw/s1086/heures-768x1086.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1086" data-original-width="768" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhONrK2Zv6_ort2MO4LvtSLczwExEmPOvcsy_OiYxpHs-FekApvPn1SkyWvI692lpy03YVt7Bu9WX_Evu8sajeL9xzcxGNwXQx-Iuw5p8vgrYdZpLnojp32di5e8f73zSvdsLwebqW3PqE330Ea5gERNhV_CORnGvHyE-BeR_cSSem1R5kgXlqIjruzVw/s16000/heures-768x1086.jpg" /></a></div><br /><div><br /><br /><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXMgruyLZWRqTKT4OVFjY_mQlaKuQglZI3tPqrp4j49E-k1SVX4I5ti4iyjRUvHU4HavMrJO-P-U3Dh1XvGCc3m4Rl2XbFNPlG1qrFeDz5bABDbMvNMsm7idfmXeJVtUdPIQiaIWNyyUMOOsDio6lHXKAK6hJtF2258X_bxzdVcEIBXOes8OvEf8zJjw/s1086/Kalumba-768x1086.jpg" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1086" data-original-width="768" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjXMgruyLZWRqTKT4OVFjY_mQlaKuQglZI3tPqrp4j49E-k1SVX4I5ti4iyjRUvHU4HavMrJO-P-U3Dh1XvGCc3m4Rl2XbFNPlG1qrFeDz5bABDbMvNMsm7idfmXeJVtUdPIQiaIWNyyUMOOsDio6lHXKAK6hJtF2258X_bxzdVcEIBXOes8OvEf8zJjw/s16000/Kalumba-768x1086.jpg" /></a></div><br /><div><br /></div> Forumdesas

Politique L’ultimatum de 48 heures accordé à Jean-Marie Kalumba expire ce lundi

L’AFDC-A, le regroupement politique dont est membre le ministre de l’Economie nationale, Jean-Marie Kalumba déchu par l’Assemblée nationale...

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Dialogue de Nairobi : le gouvernement annonce la poursuite des pourparlers ce dimanche

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF7EHxFYSFLbengDxIRQawMn09FaBuXPpOkca42lZCIU7-ypXNpTjirRb5uHYwEMDgJddbndpJ3ILJPXuTqTYHCsNb55ExdniLloKsldN2PU_6kVixrtIEZFZp-ETydXjazX7hveapZ-mH5vz3zGrcGcCf4XjofDKtGqvHbImsJlqBUuNRVMMT45ncPw/s1161/Snapshot_473.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="664" data-original-width="1161" height="183" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF7EHxFYSFLbengDxIRQawMn09FaBuXPpOkca42lZCIU7-ypXNpTjirRb5uHYwEMDgJddbndpJ3ILJPXuTqTYHCsNb55ExdniLloKsldN2PU_6kVixrtIEZFZp-ETydXjazX7hveapZ-mH5vz3zGrcGcCf4XjofDKtGqvHbImsJlqBUuNRVMMT45ncPw/s320/Snapshot_473.jpg" width="320" /></a></div>Le gouvernement congolais et les groupes armés poursuivent leurs échanges à Nairobi depuis la mi-journée ce dimanche 24 avril. Ces consultations concernent essentiellement 7 groupes armés congolais dont 6 arrivés samedi soir. Comme exigé par la RDC, le M23/Makenga a été écarté de ces consultations suite à la reprise des hostilités sur le terrain. Bertrand Bisimwa, sorti de la salle à Nairobi, dit engager le M23, y compris la faction militaire dirigée par Sultani Makenga tandis que Jean Marie Runiga, vivant au Rwanda, déclare ne pas soutenir le recours aux armes. Ce qui explique son maintien ds la salle des consultations. Mais, la faction militaire n’y a officiellement délégué aucun représentant. Reste à savoir si, au fond, le M23 ne joue pas au dribbleur, s’interroge un participant à ces consultations. « Le M23 se protégera jusqu’au bout des attaques des FARDC », a dit le mouvement dans un communiqué .<div><br /></div><div><br /></div><div> Gaël Hombo/acturdc.com</div>

Politique Dialogue de Nairobi : le gouvernement annonce la poursuite des pourparlers ce dimanche

Le gouvernement congolais et les groupes armés poursuivent leurs échanges à Nairobi depuis la mi-journée ce dimanche 24 avril. Ces consultat...

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RDC : Félix Tshisekedi ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2023

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbLvIupRpdcea-E0UEMIm-PzpfcifH2WZpn_mAzhEoLy6QcK3SrK9BwbeSbP5hLvF2S9Np3VDHdv9KygEcgE1Y5gS7J0k_youbgQaJ2UfO0Apj7WbbSYJyV0JWAt0M9epTYJrF5-_NXiFN9p4RCkHhl9gTzIoDjzhSTJ9HVIShlzfI7gQRsIDlIuR7Ew/s667/Snapshot_472.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="474" data-original-width="667" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbLvIupRpdcea-E0UEMIm-PzpfcifH2WZpn_mAzhEoLy6QcK3SrK9BwbeSbP5hLvF2S9Np3VDHdv9KygEcgE1Y5gS7J0k_youbgQaJ2UfO0Apj7WbbSYJyV0JWAt0M9epTYJrF5-_NXiFN9p4RCkHhl9gTzIoDjzhSTJ9HVIShlzfI7gQRsIDlIuR7Ew/s320/Snapshot_472.jpg" width="320" /></a></div> Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2023. L’annonce de cette nouvelle a été faite par India Omari, communicateur du Front Commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila.<br /><br />Le communicateur du FCC India Omari déclanche la panique au sein du camp présidentiel en affirmant que le président Félix Tshisekedi subirait une tension de la part des USA et de la communauté internationale en ce qui est de la présentation de sa candidature lors du scrutin présidentiel de 2023. Le proche de Joseph Kabila souligne que tous les alliés du pouvoir obligeraient au Chef de l’État de s’abstenir et préparer sa sortie honorable.<br /><br /><br />« Votre homme ne sera plus candidat. Il y a une pression terrible des USA et de la communauté internationale en générale qui l’ont obligé à s’abstenir et les fanatiques seront surpris ; voilà pourquoi il envisage de rallonger pour préparer sa sortie honorable (…)», peut-on lire sur le compte Twitter de India Omari. <br /><br />Il sied de noter que le président Félix Tshisekedi avait déjà annoncé sa candidature à la prochaine présidentielle de 2023. Profitant de son passage sur le plateau du journal belge «Le Soir», le président avait indiquait que “le peuple congolais avait encore besoin de Tshisekedi à la tête de la nation”.<br /><br />Les prochaines élections en République Démocratique du Congo arrivent à grand pas. Au sein de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), “tous les moyens nécessaires sont réunis afin de respecter le délai légal”, disait Denis Kadima. Les travaux engagés évoluent normalement, rajoutait-il, tout en précisant que lui et son bureau feront tout pour respecter le timing. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />A l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’kodia est confronté à une difficulté énorme en ce qui est de la révision de la feuille de route de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). Les députés du Front Commun pour le Congo (FCC) avaient annoncé n’être pas concernés par cette initiative et promettaient de sécher les séances plénières ayant trait à ladite question.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p></p>

Politique RDC : Félix Tshisekedi ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2023

Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ne sera pas candidat à l’élection présidentielle de 2023. L’annonce de cette nouvelle a été...

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Accord Rwanda/Royaume Uni: Paul Kagame veut la tête de Deborah Kayembe, Recteur de l’Université d’Édimbourg

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLlx-TkNNBIwqEVv6J7Vrpv4xJ4aSerNqbThNkxrD_XUxDWagdnlswLRLAYFn4J1dqFAddylRvrxnHYO7Fnq2E3HVKv-1JI61kSWWKCxX3IJNygRqrjvYN866QkLFRgJ_zas2U6sDQma1sSUTHj91-B-sN_T6uGvs-PY89bRhr_bigTeUq3UBV4Ro_rg/s904/Snapshot_471.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="468" data-original-width="904" height="166" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLlx-TkNNBIwqEVv6J7Vrpv4xJ4aSerNqbThNkxrD_XUxDWagdnlswLRLAYFn4J1dqFAddylRvrxnHYO7Fnq2E3HVKv-1JI61kSWWKCxX3IJNygRqrjvYN866QkLFRgJ_zas2U6sDQma1sSUTHj91-B-sN_T6uGvs-PY89bRhr_bigTeUq3UBV4Ro_rg/s320/Snapshot_471.jpg" width="320" /></a></div>L’accord signé entre le Royaume-Uni et le Rwanda à travers lequel le pays de milles collines s’est engagé à accueillir les demandeurs d’asile de la Grande Bretagne sur le continent en attendant l’examen de leurs dossiers par l’administration britannique, a suscité moultes réactions tant en RDC que partout dans le monde.<br /><br />Plusieurs congolais se sont interrogés sur les intentions réelles du Rwanda alors que son pays est dejà surpeuplé sans oublier ces veillités expansionnistes vis à vis du pays de Lumumba.<br /><br />Parmi les personnalités congolaises à monter au créneau, il y a Deborah Kayembe Buba – Recteur de l’Université d’Édimbourg, en Écosse – qui est une des voix qui se fait entendre dans le monde intellectuel britannique. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br /><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsi40SzFXvvQEgYtnP8g-Ejsd8K7i78JJGm0idcxbbyclwYhTmDm580UJX2aucksWAs-bgDZO56NQWzhibAiSMXGDUimZciV3-k1OTMRubASdv9zoJiBs92t34BNORtMIFCandrWAWvOEDuP8aK6VzZkUeEYpO4vtnzheoYprocGNuUTfhHr9y_qsq2g/s960/WhatsApp-Image-2022-04-24-at-15.34.21.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="960" data-original-width="960" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsi40SzFXvvQEgYtnP8g-Ejsd8K7i78JJGm0idcxbbyclwYhTmDm580UJX2aucksWAs-bgDZO56NQWzhibAiSMXGDUimZciV3-k1OTMRubASdv9zoJiBs92t34BNORtMIFCandrWAWvOEDuP8aK6VzZkUeEYpO4vtnzheoYprocGNuUTfhHr9y_qsq2g/w640-h640/WhatsApp-Image-2022-04-24-at-15.34.21.jpeg" width="640" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div> <p></p> <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> D’origine congolaise, elle a prit position contre l’accord conclu entre le Premier ministre britannique, Boris Johnson, et le président rwandais, Paul Kagame.<br /><br />Dans un tweet, Deborah Kayembe interpelle le Premier ministre britannique, Boris Johnson, et accuse Paul Kagame d’être l’auteur du génocide rwandais.<br /><br />« Monsieur le Premier ministre Boris Johnson, nous avons atteint le fond du mal, dois-je vous rappeler que le génocide au Rwanda a été orchestré par Kagame. », a tweeté Debora Kayembe Buba qui a appelé le peuple congolais à rester vigilant sur cet accord visant à long terme, la balkanisation de la RDC.<br /><br />« Le Premier ministre Britannique Boris Johnson commence son plan de balkanisation de la RDC en ouvrant un camp de concentration des candidats réfugiés en Grande-Bretagne au Rwanda, peuple congolais soit vigilant », a-t-elle alerté.<br /><br />Des déclarations qui ont sonné comme la trompette d’apocalypse auprés des autorités Rwandaises qui s’en sont non seulement prises à Deborah Kayembe mais ils sont allés jusqu’à demander sa démission de l’Université où elle exerce le rectorat. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Le Haut Représentant du Rwanda au Royaume Uni, Jhonston Busingye a annoncé qu’ils allaient engagerons avec l’institution qu’elle sert pour garantir que la clarté prévaut.<br /><br />« Nous ne pouvons pas permettre qu’un déni de génocide aussi flagrant et une intention de tromper comme ceux de Kayembe restent incontestés. Nous nous engagerons avec l’institution qu’elle sert pour garantir que la clarté prévaut », a tweeté Busingye.<br /><br />La réaction initiale de l’Université d’Édimbourg a consisté à dire que Debora Kayembe a commenté à titre personnel et non en sa qualité de rectrice.<br /><br />L’Université a tweeté : « Debora Kayembe commente à titre personnel et non en sa qualité de rectrice. Le rôle du recteur est en grande partie cérémoniel, ouvert à l’élection par le personnel et les étudiants et travaillant souvent en étroite collaboration avec eux.<br /><br />Cette réponse semble-t-il n’a pas satisfait les autorités Rwandaises qui ont mis la pression en usant de leur lobbying au sein des institutions britanniques pour faire tomber Deborah Kayembe malheureusement pour eux.<br /><br />Dans une nouvelle déclaration sur le Rwanda, l’Université affirme qu’elle ne partage pas les propos de Debora Kayembe, qui ont été exprimés à titre personnel. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />“Nous ne partageons pas les propos de Debora Kayembe, qui ont été exprimés à titre personnel. L’Université d’Édimbourg – en phase avec l’ONU, les organisations multinationales et les nations du monde entier – reconnaît le génocide contre les Tutsi comme l’un des crimes les plus épouvantables contre l’humanité et rejette catégoriquement l’idée que le gouvernement rwandais et ses président en exercice sont responsables. En ce moment des commémorations de Kwibuka au Rwanda, l’Université se tient aux côtés du peuple rwandais dans son souvenir de ceux qui ont été perdus. Le Recteur n’est pas le chef de l’Université. Le rôle du recteur dans notre université est en grande partie cérémoniel,” dit l’Université dans sa lettre du 22 avril adressée au diplomate Rwandais Jhonston Busingye.<br /><br /> Bishop Mfundu<br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><br />

Politique Accord Rwanda/Royaume Uni: Paul Kagame veut la tête de Deborah Kayembe, Recteur de l’Université d’Édimbourg

L’accord signé entre le Royaume-Uni et le Rwanda à travers lequel le pays de milles collines s’est engagé à accueillir les demandeurs d’asil...

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France : Emmanuel Macron réélu pour un second mandat

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSIk08vLM7fsbg3hpGruxtSRWUF-fFjViFKfNHu8R6VNPY6RafXN2naFhd0oUJ5Ee_xPUr73vSSpeSB-LwS0iymrGQJ-dqkmMw4Mtj1MEYNenp_7CL7zEFrtazTghBtlxOW09D8ajtQpuNKACntu6qCCs5pYkKMGsbHhFFZBf4QCBYKnjzVC3-AExkDQ/s1213/Snapshot_470.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="679" data-original-width="1213" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSIk08vLM7fsbg3hpGruxtSRWUF-fFjViFKfNHu8R6VNPY6RafXN2naFhd0oUJ5Ee_xPUr73vSSpeSB-LwS0iymrGQJ-dqkmMw4Mtj1MEYNenp_7CL7zEFrtazTghBtlxOW09D8ajtQpuNKACntu6qCCs5pYkKMGsbHhFFZBf4QCBYKnjzVC3-AExkDQ/s320/Snapshot_470.jpg" width="320" /></a></div>Le président Français Emmanuel Macron a été réélu pour un second mandat ce dimanche 24 avril 2022. Le locataire de l’Elysée a battu sa rivale de toujours, Marie Le Pen, avec 58,2%.<br /><br />En effet, Emmanuel Macron est devenu ce dimanche le président à décrocher un second mandat, hors cohabitation. Avec un pourcentage de 58,2%, Macron se hisse à la première place et sauvage donc son fauteuil pour le prochain quinquennat.<br /><br />A en croire les analystes politiques, « sa légitimité sur la scène internationale lui a conféré un net avantage face à une Marine Le Pen qui traînait derrière elle l’idée d’un Brexit français, ou « Frexit », qui ne disait plus son nom». Malgré un écart plus mince que jamais entre les deux candidats, Emmanuel Macron aura mené la course en tête. Le désormais traditionnel barrage contre l’extrême-droite qui s’est dressé contre Marine Le Pen au second tour aura achevé de lui assurer un second mandat.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p> </p>

internationale Monde France : Emmanuel Macron réélu pour un second mandat

Le président Français Emmanuel Macron a été réélu pour un second mandat ce dimanche 24 avril 2022. Le locataire de l’Elysée a battu sa rival...

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RDC : Jules Alingete recadre les gestionnaires publics

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhn8lvo7Ce_pyzorHVJKxKCf3jhY70SfirVn_sENK-ht29Nx2l42PtcuIOUN32gSO2uu8rPMBCV8K91C7Zsclk7kggru-A0xKowpG0ySz1p5OonXhSvQ0y7XUbVYyOD_-qZNjxMUocrZP_wOitENpwlMnXlAbt8DH3cdcTYDdkjhzAYiEZiV0R3KTHhbQ/s991/Snapshot_17.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="991" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhn8lvo7Ce_pyzorHVJKxKCf3jhY70SfirVn_sENK-ht29Nx2l42PtcuIOUN32gSO2uu8rPMBCV8K91C7Zsclk7kggru-A0xKowpG0ySz1p5OonXhSvQ0y7XUbVYyOD_-qZNjxMUocrZP_wOitENpwlMnXlAbt8DH3cdcTYDdkjhzAYiEZiV0R3KTHhbQ/s320/Snapshot_17.jpg" width="320" /></a></div>L’inspecteur Général de l’inspection Générale des Finances (IGF), Jules Alingete a, ce samedi 23 avril 2022, pris la parole pour dénoncer le comportement irresponsable et irrespectueux de certains gestionnaires publics qui s’en prennent à sa personne et aux fonctions qu’il exerce. Sans langue de bois, le Chérif des finances publiques indique que “la grandeur d’un homme d’État réside aussi dans sa capacité à reconnaître ses erreurs”.<br /><br /><br />A en croire Jules Alingete, certaines autorités publiques attribuent leurs insuffisances techniques au N°1 de l’inspection Générale des Finances (IGF). L’heure n’est plus aux manipulations et tractations, car dit-il, la République Démocratique du Congo regorge désormais des experts en mesure d’assurer un contrôle impeccable <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> .<br /><br />« La grandeur d’un homme d’Etat réside aussi dans sa capacité à reconnaître ses erreurs. Ne cherchez pas Jules Alingete même dans vos insuffisances techniques. La RDC regorge des analystes avertis qui ne se laissent plus berner par des inepties qui ne sont pas loin de la prédation» a déclaré Jules Alingete.<br /><br />Pour rappel, il sied de noter que Jules Alingete et l’Inspection Générale des Finances (IGF) ont été à la base de l’instauration de l’État de droit en RDC. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Depuis l’avènement du régime Tshisekedi, cette institution a dévoilé plusieurs révélations qui ont permis de mettre la main sur certains gestionnaires publics et de stopper l’hémorragie dans le chef de gestionnaires publics.<br /><br />Les révélations de l’IGF ont permis de déceler le détournement de plusieurs millions USD lors de l’organisation du récent tournoi interscolaire. Grâce au Cherif, les auteurs ont été arrêtés et mis à la disposition de la justice.<br /><br />Gaël Hombo/acturdc.com<p> </p>

Politique RDC : Jules Alingete recadre les gestionnaires publics

L’inspecteur Général de l’inspection Générale des Finances (IGF), Jules Alingete a, ce samedi 23 avril 2022, pris la parole pour dénoncer le...

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Réformes électorales : » Que celui qui peut être président de la République soit Congolais de père et de mère » (député Lombaku)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-gMOOAFf-xEJDFRZs6detbIUnPtu2jS6P33m_ckrGiHeL0pyWwijoDWdImTm1sJ81i1icKT5anfflaTorhgH2GynesZPiNn9mTs6Fk9VJTHjw5f2gULktYKyggGfzsnajI4ARVUPOKo42vjlm5QLjtrzzjQSFirxie6i0s7bc_bi_tWrOgbAhmRudLw/s849/Snapshot_469.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="561" data-original-width="849" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-gMOOAFf-xEJDFRZs6detbIUnPtu2jS6P33m_ckrGiHeL0pyWwijoDWdImTm1sJ81i1icKT5anfflaTorhgH2GynesZPiNn9mTs6Fk9VJTHjw5f2gULktYKyggGfzsnajI4ARVUPOKo42vjlm5QLjtrzzjQSFirxie6i0s7bc_bi_tWrOgbAhmRudLw/s320/Snapshot_469.jpg" width="320" /></a></div>L’assemblée nationale de la République Démocratique du Congo, a entamé vendredi 22 avril 2022 le débat autour du projet de loi sur la réforme de la loi électorale.<br /><br />Une initiative du G13, au total 70 députés se sont inscrits sur la liste pour participer au débat et amender certaines propositions.<br /><br /><br />Dans son intervention le député Jean Marc Lombaku pense qu’il faut amender la proposition relative à l’élection présidentielle.<br /><br />Il souligne que la première proposition qu’il faut amender c’est en rapport avec l’élection de président de la République, « pour être président de la République il faut être Congolais de père et de mère ».<br /><br />« Pour moi il n’est pas nécessaire que les gens binationaux postiulent, soient élus comme président de la République pour éviter les conflits d’intérêts. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Nous souhaitons que celui qui peut être président de la République doit être Congolais de père et de mère parce que notre pays est un pays de convoitises. C’est un pays de beaucoup d’enjeux aussi bien sur les plans économiques, militaires que social. Et donc tout celui qui veut postuler comme candidat président de la République doit détenir la nationalité d’origine congolaise et avoir pour père et mère de nationalité que Congolaise », a-t-il déclaré.<br /><br /><br />En ce qui concerne la question des suppléants, l’élu de Lodja au Sankuru soutien la proposition de G13. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br /><br />« Je ne suis pas d’avis qu’un candidat député ait comme suppléant son épouse ou son enfant. Mais il s’est fait malheureusement que les dispositions de l’article 13 de la constitution disent que aucun congolais ne peut faire objet d’une discrimination quand il faut accéder à des fonctions publiques. Il s’est fait malheureusement femmes ou enfants sont des congolais et qui ne peuvent pas subir des discriminations », a-t-il décrié.<br /><br />Sur les 70 intervenants, seul 27 députés ont participé au débat pour cette première journée. Les autres vont intervenir le lundi 25 et mardi 26 avril 2022<br /><br />E.Mé Lombaku<br /> <p></p>

Politique Réformes électorales : » Que celui qui peut être président de la République soit Congolais de père et de mère » (député Lombaku)

L’assemblée nationale de la République Démocratique du Congo, a entamé vendredi 22 avril 2022 le débat autour du projet de loi sur la réform...

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Kinshasa : La Police ouvre une enquête pour sanctionner les policiers qui seraient auteurs des actes de brutalité contre les militants de l’ECIDé

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioYNES2aWwPl6r0BR3R83ko0I_DbekSn_6qzsSWVn8lzbp6zrW9QyyW8w7ME6rbWSPnQBbgIXIuNaj634lpMb0FLkX6UIvO-sfQN4CdzQE1o0yn6zl6MCMSqDc6wH2USsjcPjH8J76-HUena8EJ8gCfGx0JsGfB5MmBgjyeJEFkWTYTSLTTNl_yLUgFg/s802/Snapshot_468.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="422" data-original-width="802" height="168" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioYNES2aWwPl6r0BR3R83ko0I_DbekSn_6qzsSWVn8lzbp6zrW9QyyW8w7ME6rbWSPnQBbgIXIuNaj634lpMb0FLkX6UIvO-sfQN4CdzQE1o0yn6zl6MCMSqDc6wH2USsjcPjH8J76-HUena8EJ8gCfGx0JsGfB5MmBgjyeJEFkWTYTSLTTNl_yLUgFg/s320/Snapshot_468.jpg" width="320" /></a></div>Dans un communiqué officiel daté du 23 avril 2022, le commissaire provincial de la Police, ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo, affirme qu’en marge du débat général sur la loi électorale à l’assemblée nationale le vendredi 22 avril 2022, un groupe d’individus se présentant comme militants du parti politique ECIDÉ, a manifesté devant le palais du peuple avec des armes blanches.<br /><br />À en croire le chef de la Police de Kinshasa, cette manifestation ayant troublé l’ordre public, le commissariat provincial de la police est intervenu pour rétablir l’ordre et protéger les paisibles citoyens qui ont fait l’objet des menaces et agressions de la part des manifestants.<br /><br />Après cette opération de maintien de l’ordre public, le général Sylvano Kasongo constate que plusieurs images ont circulé dans les réseaux sociaux montrant des hommes en uniforme brutalisant des manifestants en fuite.<br /><br /><br />« Le commissaire provincial de la police condamne fermement ces actes de brutalité si les images partagées dans les réseaux sociaux sont d’actualité« , lit-on dans ce communiqué. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Par ailleurs, le commissaire divisionnaire adjoint annonce qu’une enquête a été ouverte pour :<br /><br />1. Authentifier les images qui montrent les bavures policières ;<br /><br />2. Établir les responsabilités des ces actes répréhensibles ;<br /><br />3. Sanctionner le commandant de l’opération, les officiers et les policiers qui seraient auteurs des actes de brutalité contre les manifestants.<br /><br />Cependant, la Police estime que le secrétaire général de l’ECIDé, Devos Kitoko, a propagé une fausse information au sujet de la situation d’hier.<br /><br /><br />« Néanmoins, la police dément catégoriquement l’information mensongère distillée dans les réseaux sociaux par le secrétaire général de l’ECIDÉ, selon laquelle un militant de ce parti politique répondant au nom de Cédric MANGUNGU a été touché par balle à la cheville sur ordre d’un officier de la police« , a martelé la Police. <br /><br />Contrairement à ce qu’a affirmé le secrétaire général de l’ECIDé, le général Kasongo indique que l’infortuné a plutôt connu un accident de moto plusieurs jours avant la manifestation du 22 avril. <br /><br /><br />« Visiblement, le secrétaire général de l’ECIDÉ a publié la photo de Cédric MANGUNGU avec la cheville droite cassée dans le but de ternir l’image de la police nationale congolaise« , conclut le commissaire divisionnaire adjoint de la Police. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Pour rappel, le secrétaire général de l’ECIDé a affirmé qu’une trentaine de militants ont été blessés par les éléments de la Police, dont deux auraient reçu des balles réelles et se trouvent actuellement à l’hôpital. <br /><br />Martin Fayulu Madidi, président de l’ECIDé, a condamné cette répression policière. Pour lui, cette situation est à mettre à l’actif de l’État de droit que prône Félix Tshisekedi, dont il conteste toujours la légitimité du pouvoir.<br /><br />7sur7.cd

Politique Kinshasa : La Police ouvre une enquête pour sanctionner les policiers qui seraient auteurs des actes de brutalité contre les militants de l’ECIDé

Dans un communiqué officiel daté du 23 avril 2022, le commissaire provincial de la Police, ville de Kinshasa, le général Sylvano Kasongo, af...

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Conflit Russo-Ukrainien: Abandonnés à leur triste sort, les étudiants congolais en Russie lancent un cri d’alarme

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGu5tHG-OYv0tATXl3nUdMz_CKXsIWRIwKMnMNgSq70Sa_vvV2GnL4DUyy7h5bIXbhii0ik_asdwid4OwHXvmUYBDvxwwAOwxvUi2k5choyfk88LxVaSiqlkM5PuqO7FutEFbEgn6Dg_3IpB05Q-eBHLtN60XlgvTSlUOLW81P_7o7v78o-hfFPXVgWw/s907/Snapshot_466.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="597" data-original-width="907" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGu5tHG-OYv0tATXl3nUdMz_CKXsIWRIwKMnMNgSq70Sa_vvV2GnL4DUyy7h5bIXbhii0ik_asdwid4OwHXvmUYBDvxwwAOwxvUi2k5choyfk88LxVaSiqlkM5PuqO7FutEFbEgn6Dg_3IpB05Q-eBHLtN60XlgvTSlUOLW81P_7o7v78o-hfFPXVgWw/s320/Snapshot_466.jpg" width="320" /></a></div>Depuis le Début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, les compatriotes congolais étudiant dans la Fédération de Russie se sentent abandonnés.<br /><br />Suite aux sanctions des pays occidentaux contre la Russie, plusieurs banques et agences de transfert dont Western Union, Moneygram, …n’opèrent plus au pays de Vladmir Putine.<br /><br />Une situation qui pénalise les étudiants car ne pouvant plus recevoir de l’argent pour payer les frais académiques, leurs loyers et leurs nourritures.<br /><br />Plusieurs ont fait état de nombreuses difficultés pour payer les frais académiques, pour loger, pour se nourrir et même pour prendre des soins médicaux. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Une situation très pénible qui les a poussé à lancer ce SOS aux autorités de la République par le biais de Josué Masasi Étudiant en Fédération de Russie en Rostov-sur-le Don.<br /><br />“Bonjour cher média congolais, la situation des étudiants congolais (Rdc) évoluant en Russie, aucun média, aucun député n’en parle.<br /><br />En effet depuis le début des opérations militaires de la Russie en Ukraine, toutes les agences de transfert d’argent (western union, moneygram,…) ont quitté le territoire russe et les étudiants étrangers ne peuvent plus recevoir quoique ça soit de leurs parents. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br />Les étudiants étrangers en général étaient confronté dans l’ensemble du même problème au départ, mais certains gouvernements africains essayent de venir en aide à leurs ressortissants pour pour subvenir à leurs problèmes ,le cas du Congo_Brazzaville, Ghana,Sénégal, Botswana…..mais pour les congolais de la Rdc, même l’ambassadeur de la Rdc en Russie semble ne pas être informé. Un silence radio de la part des autorités congolaises inquiète, et ici les étudiants surtout se demandent si en RDC il s’agit réellement d’un Etat responsable.”<br /><br />Alors que le Président de la République Félix Tshisekedi a pris récemment l’engagement de s’impliquer totalement pour la prise en charge des étudiants congolais de l’ukraine, il serait judicieux qu’il s’intéresse aussi à ceux de la Fédération de la Russie, eux aussi vivant sous les effets collatéraux de ce conflit qui tend à s’éterniser.<br /><br />Bishop Mfundu<p> </p>

Société Conflit Russo-Ukrainien: Abandonnés à leur triste sort, les étudiants congolais en Russie lancent un cri d’alarme

Depuis le Début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, les compatriotes congolais étudiant dans la Fédération de Russie se sentent abandon...

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Le M23 déjà à Nairobi pour le dialogue avec le gouvernement congolais

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5Yf9miI7vZ2Tg8Kv8ZUYdiKo8LSkVgdI0fM3PhlIo60AG2eNnTiEM0TNLOP_I-zU77RRkdP0HvGWSquDEavAVXc2mouSwcxNR4HpQSQYkhpa_N4njOYBqS09z7fGpCSwEE6LVCLH8CpCijM_HauAttCYWAqijLk3-QbwsZ9W7yftpVKxWvW45cSOrAg/s867/Snapshot_458.jpg" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="482" data-original-width="867" height="178" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5Yf9miI7vZ2Tg8Kv8ZUYdiKo8LSkVgdI0fM3PhlIo60AG2eNnTiEM0TNLOP_I-zU77RRkdP0HvGWSquDEavAVXc2mouSwcxNR4HpQSQYkhpa_N4njOYBqS09z7fGpCSwEE6LVCLH8CpCijM_HauAttCYWAqijLk3-QbwsZ9W7yftpVKxWvW45cSOrAg/s320/Snapshot_458.jpg" width="320" /></a></div>Les délégués du M23 séjournent depuis quelques jours à Nairobi (Kenya) pour le dialogue avec le gouvernement congolais, affirment des sources sur place.<br /><br />A l’initiative de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (EAC), ces pourparlers visent la restauration de la paix dans l’Est de la RDC.<br /><br /><br />Cependant à Goma, au Nord-Kivu, quelques groupes armés ont été invités, hier vendredi, au gouvernorat de province pour des formalités de voyage.<br /><br />C’est notamment le NDC\R de Guidon actif dans le Masisi et Walikale mais également l’APCLS de janvier Kalairi.<br /><br />D’autre part, le groupe Maï-Maï Kifuafua de Walikale et l’AFRC de Kakule Masivi dit « je t’aime » de Rutshuru, entre autres, déplorent n’avoir pas été invités au dialogue de Nairobi.<br /><br />Ces derniers affirment soutenir la recherche la démarche pacifique de la paix et demandent que tous les groupes soient inclus dans cette démarche. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Les Maï-Maï Kifuafua et l’AFRC de Kakule ont également émis des craintes de voir ce dialogue soit une faveur accordée au M23 et que les autres soient des figurants. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />De son côté, le cadre national de concertation de la société civile demande qu’il n’y ait pas de prime de guerre aux groupes armés.<br /><br />Dans une déclaration faite vendredi à Kinshasa devant la presse, son coordonnateur propose que des groupes armés qui déposent les armes puissent rejoindre le processus de réinsertion communautaire et non intégrer l’armée nationale. <br /><br />« La stratégie nationale qui a été adoptée veut que les groupes armés qui déposent les armes puissent rejoindre le processus de réinsertion communautaire et l’intégration dans l’armée. Nous voulons que cette stratégie nationale soit mise en place, que les groupes armés soient mis devant leur responsabilité, afin que la paix revienne dans le pays. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Il faut que les mécanismes de relèvement communautaire commencent à fonctionner, que la population commence à être mise à niveau, que les organisations de la société civile commencent à travailler dans les questions de fraternité, de cohésion sociale, et que la justice transitionnelle doit être mise à marche. Mais il faut aussi que les combattants soient assurés de revenir dans les communautés qui vont les recevoir », a recommandé Danny Singoma.<br /><br />radiookapi<p> </p>

Insécurité Politique sécurité Le M23 déjà à Nairobi pour le dialogue avec le gouvernement congolais

Les délégués du M23 séjournent depuis quelques jours à Nairobi (Kenya) pour le dialogue avec le gouvernement congolais, affirment des source...

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Réforme de la loi électorale : la proposition interdisant un membre de famille comme suppléant divise

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5GJrmtfMNiTLv2BxSoJVIOO_9ZNOZH0AqJcva-MVe3N4mSPLGQM8snWR9Cmyh87w2wap5Ghr6cqE2Uq-i_wlve7TvQ-a6igVLVTx_l6DLzFYr84om68dUK7la1g4V69Mep-XN-AwSOOoI4Ot_Uuw8idhOixJi4EmCXUbfUHSJe8F_KZ8i3pohSHA0-A/s791/Snapshot_421.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="443" data-original-width="791" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5GJrmtfMNiTLv2BxSoJVIOO_9ZNOZH0AqJcva-MVe3N4mSPLGQM8snWR9Cmyh87w2wap5Ghr6cqE2Uq-i_wlve7TvQ-a6igVLVTx_l6DLzFYr84om68dUK7la1g4V69Mep-XN-AwSOOoI4Ot_Uuw8idhOixJi4EmCXUbfUHSJe8F_KZ8i3pohSHA0-A/w320-h179/Snapshot_421.jpg" width="320" /></a></div>Les députés nationaux sont diviser au sujet de la réforme proposée par la plénière interdisant d’adopter pour suppléant les membres de leur famille biologique.<br /><br />Parmi les députés contre cette réforme on note Ngoyi Kasanji. Pour lui, cette réforme en plus d’être discriminatoire viole la constitution.<br /><br /><br />“Dans la nouvelle loi électorale, il y a des mesures discriminatoires qui énervent la constitution”, a-t-il déclaré jugeant ainsi admissible que l’enfant ou le petit enfant du candidat ne soit pas éligible comme premier suppléant. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Dans l’entre temps, cette réforme partie des dénonciations de la monopolisation du pouvoir semble déjà avoir l’appuie de la population qui, condamne par ailleurs, la pratique de l’adoption d’un des membres de famille comme premier ou deuxième suppléant.<br /><br />Quelques députés ayant comme suppléant les membres de famille<br /><br />A l’Assemblée nationale, plusieurs députés ont pour suppléance l’un des membres de famille. Parmi eux, on cite le député Léon Nemba Lemba allias Papa Molière, le député Ngoyi Kasanji, Evariste Boshab, Willy Bakongo. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Tous avec soit sa femme ou l’un de ses enfants comme suppléant.<br /><br />Ce, malgré le fait qu’ils soient portés par des partis politiques dans lesquels se trouvent des personnes capables à assumer pleinement cette fonction.<br /><br />Cette réforme une fois votée, elle pourra permettre aux militants qualifiés de se retrouver eux-aussi.<br /><br />Dépêche.cd<p></p>

Politique Réforme de la loi électorale : la proposition interdisant un membre de famille comme suppléant divise

Les députés nationaux sont diviser au sujet de la réforme proposée par la plénière interdisant d’adopter pour suppléant les membres de leur ...

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RDC : Ce qu'il faut savoir sur André Mbata, candidat 1er vice-président de l'Assemblée Nationale (Portrait)

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0XerB_1XsQPKHHZk2cwi9nz3ruot_JjR6gikOWag1srKyaTz1Z6VFQCJa_WJjhQChfJNWM9G4wD5AOSaVwXVsA9vqBzSiNfAJcKx4wKZa64nsDrjUJor_nNbkKb6q2_IDbiQtj0HWWyippJ_ytS9fp8lgtQZCCe8z7-lnZWXWRU9DLgZU3EsixlU85w/s987/Snapshot_464.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="987" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh0XerB_1XsQPKHHZk2cwi9nz3ruot_JjR6gikOWag1srKyaTz1Z6VFQCJa_WJjhQChfJNWM9G4wD5AOSaVwXVsA9vqBzSiNfAJcKx4wKZa64nsDrjUJor_nNbkKb6q2_IDbiQtj0HWWyippJ_ytS9fp8lgtQZCCe8z7-lnZWXWRU9DLgZU3EsixlU85w/s320/Snapshot_464.jpg" width="320" /></a></div>Sauf changement de dernière minute, le député national André Mbata succédera à Jean-Marc Kabund au poste de 1er vice-président de l'Assemblée Nationale. <br /><br />En effet, la candidature de cet élu de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), portée par la coalition Cap pour le Changement (CACH), a été déposée le vendredi 22 avril 2022 au bureau de la chambre basse du Parlement. <br /><br />Professeur d'université, le député national André Mbata est considéré par plusieurs élus de l'Union Sacrée de la Nation, comme la personne ayant le profil idéal pour occuper ce poste resté vacant depuis la démission de Kabund.<br /><br />Mais alors, qui est le professeur André Mbata ? <br /><br />Membre du Réseau des constitutionnalistes africains (African Network of Constitutional Lawyers (ANCL), André Mbata est aussi directeur exécutif de l'Institut pour la Démocratie, la Gouvernance, le Développement et la Paix en Afrique (IDGPA). <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Membre du Conseil pour le Développement de la Recherche en Sciences Sociales en Afrique (CODESRIA), (Membre du Comité Exécutif 2002-2005, 2015-2018), le professeur André Mbata est auteur ou co-auteur de 11 ouvrages et plus de 200 chapitres d'ouvrages, monographies, articles et communications scientifiques. <br /><br />Les publications et les citations de ses publications par d'autres chercheurs dans le monde (plus de 400 citations) occupent près de 30 pages sur le moteur de recherche internet Google Scholar et font de Mbata Mangu André l'un de meilleurs chercheurs congolais en sciences sociales.<br /><br />André Mbata et les Prix, une histoire d'amour <br /><br />L'élu de l'UDPS a participé à plus d'une centaine de conférences, séminaires et ateliers organisés en Afrique, en Amérique latine, en Asie, en Europe et aux Etats-Unis d'Amérique.<br /><br />Il a reçu le Prix d'Excellence dans le domaine de la recherche à l'Université d'Afrique du Sud en 2013. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> Chercheur reconnu par la Fondation Nationale de Recherche (National Research Foundation) de la République sud-africaine (Depuis 2006), André Mbata a également reçu le Prix de l'Association des Universités Africaines (AAU), meilleure thèse de doctorat en droit constitutionnel à l'Université d'Afrique du Sud en 2002.<br /><br />Boursier du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Droits de l'Homme (Bruxelles, 1 mai 9 juin 2000 ; Bruxelles, 13 novembre 19 décembre 2000), il a aussi reçu une bourse de l'Institut des Nations Unies pour la Formation et la Recherche en Droit International (United Nations Institute for Training and Research, UNITAR) en 1999.<br /><br />Un professeur sollicité dans plusieurs universités étrangères <br /><br />Consultant de l'Union africaine (UA) sur le constitutionnalisme et l'État de Droit en Afrique (2016-2022) et consultant du Conseil économique des Nations Unies pour l'Afrique (UNECA, 2012- 2017), André Mbata a été professeur invité de la Faculté de Droit de l'Université dAddis-Abeba en Éthiopie en 2015 et professeur invité de la Faculté de Droit et de Gestion (Jean-Monnet), de l'Université de Paris Sud en France entre 2013 et 2014. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Professeur invité à la Faculté de Droit de l'Université de Paris 13 en France en 2010, il a aussi été professeur invité de la Faculté de Droit à l'Université de Pretoria en Afrique du Sud entre 2009 et 2010. Professeur de Recherche (Research Professor) à l'Universite d'Afrique du Sud où il est devenu le premier professeur noir de droit public en 2002.<br /><br />Depuis février 2013, André Mbata est Professeur Ordinaire à la Faculté de Droit, Département de Droit public à l'Université de Kinshasa après avoir obtenu les grades de Professeur (2006-2013) et de Professeur associé (2003-2006).<br /><br />Pour rappel, l'élection du 1er vice-président de l'Assemblée nationale est prévue le 27 avril prochain selon le calendrier rendu public vendredi dernier par le bureau de la chambre basse du parlement. <br /><br />Jephté Kitsita<p> </p>

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Sauf changement de dernière minute, le député national André Mbata succédera à Jean-Marc Kabund au poste de 1er vice-président de l'Asse...

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Sit-in Lamuka : des éléments armés ont causé d’importants dégâts matériels ( Mboso )

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUmuxSrQVlNE-Psly8WRvGFJUvum1JQNa6CrkFJ1nCEyd9SNH53YE-VaYOMhUF9-LrkSH_2UvGsUqRTvvumJKq5CkuetJlk2TxY_lK5y_uF10u30YJi1PvHTbF6v-0U9ty56emT0q-XATGXO3VGsjAgK-9ZhkSB2AUjz7xN-o-ZLJmsAXhsG8OYFLw0w/s989/Snapshot_463.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="542" data-original-width="989" height="175" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUmuxSrQVlNE-Psly8WRvGFJUvum1JQNa6CrkFJ1nCEyd9SNH53YE-VaYOMhUF9-LrkSH_2UvGsUqRTvvumJKq5CkuetJlk2TxY_lK5y_uF10u30YJi1PvHTbF6v-0U9ty56emT0q-XATGXO3VGsjAgK-9ZhkSB2AUjz7xN-o-ZLJmsAXhsG8OYFLw0w/s320/Snapshot_463.jpg" width="320" /></a></div>Des éléments armés ont troublé vendredi l’ordre public, portant atteinte aux paisibles citoyens engagés à défendre les institutions, répond Christophe Mboso aux accusations de Lamuka chargeant la police d’avoir tiré sur les manifestants pacifiques et d’avoir saccagé le siège de l’EciDé de Martin Fayulu sur le boulevard Triomphal.<br /> <br />« L’honorable président de l’Assemblée nationale informe l’opinion que les incidents déplorés ce vendredi 22 avril 2022 devant le Palais du peuple, ont été occasionnés par des incivques armés, qui répondaient la veille à l’appel d’un haut-cadre de l’EciDé-Lamuka dans les médias locaux », précise un communiqué laconique signé par Samuel Mbemba, le directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale.<br /><br />Le texte ajoute que les inciviques prérappelés ont causé « d’importants dégâts matériels à leur passage et porté atteinte à l’intégrité physique de paisibles citoyens venus soutenir les institutions de la République à l’occasion du débat sur l’examen de la loi électorale ». <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Malgré la sanglante répression des manifestants, le speaker de l’Assemblée nationale assure à l’opinion que la liberté de manifester son opinion en public est constitutionnelle. « Cependant, il prévient que son abus peut tomber sous le coup de sanctions pénales ».<br /><br />Deux personnes ont été blessées par balles vendredi à Kinshasa lors de la répression d’une manifestation contre l’ouverture des débats sur la révision de la loi électorale à l’Assemblée nationale de la RDC, boycottés par des élus d’opposition, a fustigé la coalition Lamuka. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />« Deux militants de notre parti sont blessés par balles tirées par des policiers alors qu’ils se trouvaient dans nos bureaux près du Palais du peuple », a affirmé Devos Kitoko, secrétaire général d’Ecidé, parti de Martin Fayulu qui continue de revendiquer sa victoire à la présidentielle de 2018.<br /><br />Les deux blessés sont hospitalisés, a-t-il ajouté, précisant que « plusieurs » autres militants avaient été « arrêtés par la police ». Contacté, le colonel Pierrot Mwanamputu, porte-parole de la police nationale congolaise, a promis de se « renseigner » .<br /><br />OURAGAN<p> </p>

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Des éléments armés ont troublé vendredi l’ordre public, portant atteinte aux paisibles citoyens engagés à défendre les institutions, répond ...

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Ouverture à Lubumbashi par le Premier ministre de la conférence interprovinciale grand Katanga – grand Kasaï

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMMguGXLvJJz5ETij7-kEEPCDwcmmOqvcaiaJUc-vpDW9QEchE8qLEFOmc8VADBzAtgSO9stADtMNl2fg8qGAAo3aGN6-TRos2K4d_9EWWzs9ZrgKimPHlXeXEkz9jw5embPaxdm_tMisWyd_q5qkYm64SkCtUspqAEsAtOCu7NyksH_d5x2NzLrB5Bw/s909/Snapshot_462.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="498" data-original-width="909" height="175" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMMguGXLvJJz5ETij7-kEEPCDwcmmOqvcaiaJUc-vpDW9QEchE8qLEFOmc8VADBzAtgSO9stADtMNl2fg8qGAAo3aGN6-TRos2K4d_9EWWzs9ZrgKimPHlXeXEkz9jw5embPaxdm_tMisWyd_q5qkYm64SkCtUspqAEsAtOCu7NyksH_d5x2NzLrB5Bw/s320/Snapshot_462.jpg" width="320" /></a></div> Le Premier ministre, Jean Michel Sama Lukonde Kyenge, a procédé vendredi, à Lubumbashi, à l’ouverture de la conférence dénommée » conférence interprovinciale grand Katanga -grand Kasaï « , placée sous le thème : » exode rural face au développement des provinces grand Katanga – grand Kasaï « .<br /><br />Dans son discours d’ouverture de cette conférence, le Premier ministre a fait mention des mouvements migratoires des centres ruraux vers les milieux urbains, qualifiant le Katanga de terre d’hospitalité et d’accueil à la suite de son économie minière, d’où, selon lui, l’esprit d’intégration culturelle.<br /><br /><br />Face aux tensions communautaires, Jean Michel Sama Lukonde Kyenge a affirmé que son gouvernement suit avec attention cette situation qui, a-t-il dit, risque de troubler la paix, et demeure attentif à l’amélioration des conditions sociales de tous, mais, avec priorité pour les populations des Kasaï et du Katanga.<br /><br />A ce sujet, il a invité toutes les forces vives à soutenir le Plan de développement local de 145 territoires, souhaitant que tous s’y investissent pour la réussite dudit programme. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />N’évoquant la problématique de déplacement massif de la population du Kasaï vers d’autres provinces notamment vers les villes de Lubumbashi et Kasumbalesa dans le Haut-Katanga ainsi que Kolwezi dans le Lualaba, le Premier ministre a souligné que ces déplacements posent des problèmes d’intégration et de démographie.<br /><br />Il a émis le vœu de voir cette conférence faire l’analyse approfondie des causes des mouvements migratoires ,définir les conséquences de part et d’autre, proposer des solutions durables afin de vivre ensemble de manière harmonieuse comme un seul peuple d’une nation.<br /><br />Il a appelé tous ceux qui sont retenus pour participer à cette conférence interprovinciale grand Katanga- grand Kasaï à privilégier le dialogue qui, selon lui, mène au destin national pour qu’à chaque fois, surgira ce qui menace le vivre ensemble qu’on pose le bon diagnostic de la situation.<br /><br />Le Premier ministre, Jean Michel Sama Lukonde Kyenge, a sollicité l’engagement de tous à l’attachement à la mère patrie pour bannir des discours divisionnistes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il a voulu que les résolutions de cette conférence servent d’exemples partout au pays où les mêmes problèmes peuvent se produire.<br /><br />Auparavant, le gouverneur du Haut-Katanga, Jacques Kyabula Katwe, a relevé comme causes récentes de la perturbation du vivre ensemble, l’interdiction par le maire intérimaire de Lubumbashi de l’accès des taxis motos au centre de cette ville.<br /><br />Il a relevé que cette mesure de l’autorité urbaine a soulevé malheureusement une escalade de bandes qui n’a rien à voir avec la décision administrative initiée dans le but de rétablir l’ordre public et la sécurité.<br /><br />Selon lui, il en va de la sécurité nationale, la paix et la prospérité des compatriotes si l’on veut considérer les avantages et les désavantages de cette situation.<br /><br />Il a, à cet effet, rendu hommage au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour avoir initié ce genre des travaux pour que tous, réunis en tant que forces vives de provinces concernées posent des bases durables aux préoccupations présentes. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il a remercié les services de sécurité et l’administration publique du Haut-Katanga ainsi que les responsables des associations socioculturelles pour avoir atténué la manipulation et la désinformation.<br /><br />Le directeur de cabinet adjoint du gouverneur du Haut Katanga, Christian Kunda Mutoke, a souligné que les déplacements massifs de la population grand Kasaï vers d’autres provinces particulièrement les quatre provinces du grand Katanga, a pris de l’ampleur depuis deux ans pour des raisons socioéconomiques.<br /><br />Selon lui, ce phénomène de déplacement massif a comme conséquence la chute de la production agricole, la fermeture des écoles et le dépeuplement des villages.<br /><br />Il a ajouté que les milieux d’accueil de ceux du grand Kasaï connaissent la surpopulation dans les agglomérations urbaines, la prolifération des enfants de la rue, la criminalité urbaine et banditisme, le chômage.<br /><br />M.Kunda Mutoke a estimé que certains espaces du grand Kasaï seront privés d’électeurs lors des élections prochaines alors que l’espace grand Katanga connaîtra un nombre élevé de députés à tous les échelons. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Il a préconisé la création des emplois en vue du développement du grand Kasaï.<br /><br />Les travaux de cette conférence interprovinciale grand Katanga-grand Kasaï s’articulent sur des questions politico-administratives et judiciaires ; sécuritaires ; socioculturelles et économiques.<br /><br />Neuf gouverneurs dont ceux du Haut Katanga, Haut Lomami, Lualaba et Tanganyika pour le grand Katanga et du Kasaï, Kasaï Central, Kasaï Oriental , Lomami et Sankuru pour le grand Kasaï, les sénateurs et députés nationaux et provinciaux, les responsables des associations socioculturelles et les chefs coutumiers deux espaces prennent part à ces assises qui seront clôturées par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, attendu incessamment à Lubumbashi.<br /><br />acpcongo<br /><div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"><span style="background-color: white; box-sizing: border-box; font-family: Arial, "Helvetica Neue", Helvetica, sans-serif; font-size: 16px; padding: 10px; width: 100%;"></span><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px;"></span></div>

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Assemblée nationale : Mboso prêt à invalider 112 députés !

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7ogsVdVOpfO1vq3JcbjOGZHcO7SPLX9Xfycm3uCLvMdxND4Xq4Qf-mW3F5W66JfAfRCxq1m4LzCMa_vd6xVma0SymVRkzxzGimPRe-vqTb8XjdH8_nCPKtrj4zvsztw-Z_XzcKVdYTCIjDE0-rIksFj9MrG_zjVG9OmW449rkoMJmsm3KlwayEq-fBQ/s991/Snapshot_377.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="541" data-original-width="991" height="175" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj7ogsVdVOpfO1vq3JcbjOGZHcO7SPLX9Xfycm3uCLvMdxND4Xq4Qf-mW3F5W66JfAfRCxq1m4LzCMa_vd6xVma0SymVRkzxzGimPRe-vqTb8XjdH8_nCPKtrj4zvsztw-Z_XzcKVdYTCIjDE0-rIksFj9MrG_zjVG9OmW449rkoMJmsm3KlwayEq-fBQ/s320/Snapshot_377.jpg" width="320" /></a></div>Le service de l’Assemblée nationale a fini, jeudi soir, l’inventaire et la compilation des listes de présence aux séances plénières.<br /><br />Au total, ce sont 112 députés nationaux concernés par la sanction. Dans la nasse, notamment les honorables députés Nyango Papy et Iracan, auteurs de deux pétitions récentes initiées contre le président de l’Assemblée nationale, Mboso Nkodiapwanga Christophe.<br /><br />Le bureau de l’Assemblée nationale promet de faire appliquer le point 6 de l’article 95 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, qui prône l’invalidation de tout député national qui ne prend pas part à une bonne partie de la session parlementaire. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />Ces 112 députés nationaux deviendront du coup fragiles : privés de leur immunité parlementaire, ils seront remis à la disposition de la justice pour avoir perçu indûment des sommes d’argent du trésor public, sans avoir fait le travail attendu par le peuple congolais. Certains seront ainsi passibles de poursuites judiciaires pour des infractions commises lors de l’exercice de leur fonction antérieure comme ministre ou comme mandataire.<br /><br />Emile Yimbu/CONGOPROFOND.NET<p> </p>

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Le service de l’Assemblée nationale a fini, jeudi soir, l’inventaire et la compilation des listes de présence aux séances plénières. Au tota...

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Dialogue avec les groupes armés : ces critiques « qui ont poussé » Tshisekedi à abandonner

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2yFVpVkvJBBrXHydpyOtNtBwFDIX7sv5l_ylsusxgLBlI2pvefVt8M72X-UGN2utbLjTn8we-iLJnDpbWFN9D7zep_NR7xhrCNnOO6AyBICMolvJKZ-EwEIlMJozX3ZerU84V00e9T6mv9bTeMBwPZEVlvAIPeQ8dep1X4P91dCR48bHnQSgABzvwmA/s480/275782185_163246206053012_608975327989810129_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="390" data-original-width="480" height="260" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2yFVpVkvJBBrXHydpyOtNtBwFDIX7sv5l_ylsusxgLBlI2pvefVt8M72X-UGN2utbLjTn8we-iLJnDpbWFN9D7zep_NR7xhrCNnOO6AyBICMolvJKZ-EwEIlMJozX3ZerU84V00e9T6mv9bTeMBwPZEVlvAIPeQ8dep1X4P91dCR48bHnQSgABzvwmA/s320/275782185_163246206053012_608975327989810129_n.jpg" width="320" /></a></div>La rencontre entre le Président congolais Félix Tshisekedi et les représentants des différents groupes armés actifs à l’Est de la RDC, n’a pas eu lieu comme prévu à Nairobi.<br /><br />Des sources à la Présidence de la République évoquent comme raison principale de la non tenue de ce dialogue, « les contraintes techniques » qui n’auraient pas permis aux interlocuteurs du Président Tshisekedi de faire le déplacement de Nairobi.<br /><br />Par ailleurs, certains observateurs notent que ce sont des critiques émises par quelques personnalités en République démocratique du Congo contre cette rencontre, qui auraient poussé le Président de la République à l’abandon. <script async="" src="https://pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script> <!--in f--> <ins class="adsbygoogle" data-ad-client="ca-pub-9189313569348355" data-ad-format="auto" data-ad-slot="1050070980" data-full-width-responsive="true" style="display: block;"></ins> <script> (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); </script> <br /><br />L’opposant Martin Fayulu, par exemple, avait déclaré que « c’est livrer le pays entre les mains des groupes armés instrumentalisés », quand on veut une telle rencontre.<br /><br />La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) n’était pas en reste. Dans un message diffusé sur son compte Twitter, la CENCO s’était dite très inquiète.<br /><br />À titre de rappel, la proposition de cette rencontre avec les représentants des groupes armés était l’une des résolutions du Sommet d’Afrique de l’Est (EAC) qui s’est tenu à Nairobi.<p></p><p><br /></p><p><br />Par Fabrice Lukamba<br /></p>

Politique Dialogue avec les groupes armés : ces critiques « qui ont poussé » Tshisekedi à abandonner

La rencontre entre le Président congolais Félix Tshisekedi et les représentants des différents groupes armés actifs à l’Est de la RDC, n’a p...

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