BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Encore des bruits de bottes à l’Est de la RDC : le Rwanda n’a jamais quitté le Nord-Kivu

February 25, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">La Société Civile et les autochtones du Nord-Kivu sont formels : des soldats rwandais ont infiltré, ces dernières semaines, plusieurs localités du territoire de Nyiragongo. Leur présence commence à susciter beaucoup d’inquiétude, car elle rappelle les prémisses annonciatrices des rébellions à répétition que connaît cette partie de la République. Balayant d’un revers de la main pareille information, certaines sources soutiennent que le Rwanda n’a jamais quitté l’Est du pays. Selon elles, les soldats rwandais, entrés en République Démocratique du Congo en 1996, dans les bagages de l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo) ont fait du Nord-Kivu leur « seconde patrie ».</span></h3>
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Même lorsque le retrait de toutes les armées étrangères (Ouganda, Rwanda, Namibie, Angola, Zimbabwe) avait été décrété, peu après la mise en place des institutions de la Transition, en juin 2003, le contingent militaire rwandais s’était organisé pour jouer les prolongations, à l’insu des autorités congolaises, jusqu’au lendemain des élections législatives et présidentielle de 2006. C’est du reste le pouvoir de Kigali, qui, pour des raisons inexpliquées, avait révélé à l’opinion tant congolaise qu’internationale que ses troupes avaient continué à camper en territoire congolais, au-delà du délai leur imparti. Bref, le peuple congolais était conduit aux élections avec une armée d’occupation sur une partie du sol de ses ancêtres.<br />
<br />
On croit savoir qu’on a le même scénario au Nord-Kivu, après la déroute militaire du M23 en octobre 2013. Bien qu’officiellement absents de l’Est du pays, de nombreux soldats rwandais ont choisi de se diluer dans la population civile. D’où, il n’y a rien d’étonnant d’apprendre que certains d’entre eux opèrent à visages découverts à travers le territoire de Nyiragongo.<br />
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<br />
<b>La balle dans le camp de la CIRGL</b><br />
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Selon le Congolais Ntumba Luaba, Secrétaire Exécutif de la CIRGL (Conférence Internationale pour la Région des Grands Lacs), les allégations faisant état d’une nouvelle présence des troupes rwandaises au Nord-Kivu sont difficiles à confirmer ou infirmer à ce stade. Elles devraient être examinées incessamment au niveau du Mécanisme Conjoint de Vérification existant entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda. Des délégués de la Monusco et des pays membres de la CIRGL, que préside l’Angola, y seraient associés.<br />
<br />
Il appartient, selon lui,  aux experts congolais et rwandais, avec le concours de leurs collègues onusiens et de la CIRGL, de mener des investigations sur le terrain en vue de tirer la situation au clair.<br />
<br />
En principe, les résultats du travail de vérification devraient être présentés au Président Dos Santos d’Angola, président en exercice de la CIRGL, pour les dispositions requises. Les observateurs ont senti, dans les propos de Ntumba Luaba, beaucoup de prudence et de réserve, propres aux diplomates.<br />
<br />
<br />
<br />
<b>Avertissement sans frais aux Congolais</b><br />
<br />
Il n’y a jamais eu de fumée sans feu dans la partie Est du pays. Chaque fois que la Société Civile et les autochtones donnent l’alerte au sujet des infiltrations rwandaises, elle finit par devenir réalité. On l’avait vécu en 1996 (rébellion de l’AFDL contre le régime Mobutu), en 1998 (agression du régime de Mzee Kabila par le Rwanda et l’Ouganda sous le label du Rassemblement Congolais pour la Démocratie et du Mouvement de Libération du Congo), en 2004 avec l’occupation de la ville de Bukavu par des insurgés conduits par le général Laurent Nkunda et le colonel Mutebusi), en 2006 avec la rébellion du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple) du duo Nkunda-Ntaganda et tout dernièrement en 2012 avec le M23 du colonel Sultani Makenga.<br />
<br />
Compte tenu de l’expérience du passé, les autorités politiques et militaires congolaises ont intérêt à ne banaliser aucune information concernant le jeu malsain de Kigali. Ainsi qu’on le sait, le Rwanda n’a jamais joué franc jeu avec la RDCongo, en ce qui concerne les engagements communs à respecter en vue du retour d’une paix durable au Nord-Kivu. Le pouvoir en place à Kinshasa doit rester en éveil et préparer d’ores et déjà la riposte contre la nouvelle menace sécuritaire en gestation. L’erreur à ne pas commettre serait de prendre en compte le rapport de la CIRGL, dont les rédacteurs vont certainement contourner la réalité pour conclure à une fausse alerte des autochtones. Au moment où les bruits de bottes recommencent à se faire entendre, la RDC n’a d’autre alternative que de se préparer à une nouvelle guerre, à piloter par une énième vraie-fausse rébellion congolaise.<br />
<br />
<b>Kimp</b>

Le direct
        
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la Nation Encore des bruits de bottes à l’Est de la RDC : le Rwanda n’a jamais quitté le Nord-Kivu

La Société Civile et les autochtones du Nord-Kivu sont formels : des soldats rwandais ont infiltré, ces dernières semaines, plusieurs lo...

Accord-cadre d’Addis-Abeba : la société civile déplore la lenteur du gouvernement

February 25, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">C’est à un travail de diagnostic sans complaisance que se sont livrés en ce mois de février 2014, les responsables de dix organisations et de coordinations provinciales de la société civile, autour de l’Accord-cadre d’Addis Abeba, et de la Résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations unies.  On a noté la présence à la tribune d’Emmanuel Kabengele du Réseau de réforme du secteur de sécurité et justice, Fernandez Murhola du Réseau national des associations de défense des droits de l’homme ( Renadhoc), Nixon Kambale du Centre pour la gouvernance (CEGO), Nicole Odia de l’Action contre l’impunité pour les droits humains (ACIDH), et de Jonas Tshiombela de la Nouvelle société civile congolaise (NSCC). </span></h3>
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Ces panélistes ont dévoilé hier lundi 24 février 2014, dans la salle Suzanne de l’Hôtel Sultani, leur rapport préliminaire sur l’état de la mise en œuvre des engagements souscrits par le gouvernement de la RDC et ceux des Etats de la région de Grands Lacs, en insistant sur l’enlisement de la réforme de l’armée, la crainte de l’enlisement de la situation sécuritaire dans la partie orientale, le retard dans la mise en œuvre de la décentralisation, le résultat mitigé de la Monusco dans l’appui à la réforme du secteur de sécurité, et l’effectivité de la coordination des envoyés spéciaux dans l’accomplissement de leur mandat.<br />
<br />
Nixon Kambale s’est appesanti sur le contexte politique et sécuritaire du moment, une année après la signature à Addis-Abeba, par 11 pays sous l’égide du secrétaire général des Nations Unies, de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération en RDC et dans la région de Grands Lacs. Il a alors cité les engagements et les obligations auxquels ont souscrits les pays signataires, et donné les mécanismes de mise en œuvre de cet accord au sein desquels la société civile est absente.<br />
<br />
A l’issue de cette conférence, le groupe de travail de la société civile va élargir le cadre pour englober toutes les thématiques.<br />
<br />
Fernadez Murhola du Renadhoc  a présenté le groupe de travail et de suivi qui procède à l’évaluation périodique de l’Accord-cadre du 24 février 2013 et de la Résolution 2098 du Conseil de sécurité, dans l’optique que ce soit le dernier accord qui  aboutisse à la pacification de la sous-région.<br />
<br />
Emmanuel Kabengela wa Kalonji s’est intéressé aux faiblesses constatées depuis la mise en œuvre de cet accord, et a mis un accent particulier sur les questions de l’armée. On notera à l’occasion, l’extension de l’activisme des groupes armés ( Katanga, territoire de Masisi, situation sécuritaire volatile en province orientale avec la FRPU, les Maï-Maï, situation qui entraîne un drame humanitaire).<br />
<br />
Il a toutefois déploré le retard très préjudiciable dans la mise en œuvre de la réforme de l’armée et des services de sécurité, surtout dans l’accompagnement de la Monusco.<br />
<br />
Ces interventions, comme il faudrait le souligner ont abouti à une série de recommandations. Au gouvernement de la RDC, il a été recommandé entre autres d’accélérer la réforme de l’armée,  de mettre sur pied un mécanisme de lutte et de suivi contre le trafic illicite des ressources naturelles. Le groupe de travail a invité les Etats de la région, de poursuivre et déférer aux demandes d’extradition de toutes les personnes sur qui pèsent des soupçons de crimes internationaux, et de mettre sur pied un mécanisme de contrôle du trafic d’armes et de munitions.<br />
<br />
A la Monusco, les associations de la société civile ont recommandé d’accompagner la réforme de l’armée et de participer à l’éradication de l’exploitation des ressources naturelles.<br />
<br />
A la CIRGL et la SADC, il  été demandé d’accompagner la RDC dans le vetting des forces armées, de la PNC, pour que les services de sécurité et des renseignements de la RDC, cessent d’être le bastion de l’impunité et une cité de refuge  pour les auteurs des crimes imprescriptibles et autres violations massives des droits de l’homme.<br />
<br />
Signalons que d’autres panélistes, le président de l’ACAJ, Sylvain Lumu de la Ligue des électeurs, Nick Elebe de l’Osisa, le directeur exécutif de la VSV, pour ne citer que ceux-là, étaient également présents à cette présentation de rapport clôturée par un jeu de questions-réponses.                                                                                                                                 J.R.T.

la Nation Accord-cadre d’Addis-Abeba : la société civile déplore la lenteur du gouvernement

C’est à un travail de diagnostic sans complaisance que se sont livrés en ce mois de février 2014, les responsables de dix organisations ...

3 lettres de créances des diplomates sur la table de Joseph Kabila. mais comment ?

February 23, 2014

<h3>
Le Chef de l’Etat, Joseph Kabila,  a reçu,  le Jeudi 20 février 2014, au Palais de la Nation,  3 lettres de  créances des nouveaux diplomates namibien, tanzanien et malawite accrédités en RD. Congo.</h3>
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Le diplomate  namibien, Hellao Wilbarr Shilepo, né à Ongwediva, le17 Août 1957, est détenteur d’un Master degree en Administration publique de l’université de Pretoria, en République Sud-africaine. Licencié en  Administration des affaires,  à New Port University (USA). Il a plusieurs fois exercé la fonction d’ambassadeur  dans des pays scandinaves et, il a été à la direction du Département de la coopération bilatérale.<br />
<br />
Le diplomate tanzanien, Anthony Ngereza, est né à Ukerewe. Ce nouvel Ambassadeur possède un Master en Sciences des Lettres de l’Université de Londres. Quant au diplomate du Malawi, David Bandawe, né le 4 mai 1957. Il a travaillé dans l’administration de l’Assemblée Nationale malawite. Il  est, quant à lui, porteur d’une maîtrise en Relations  internationales  de l’Université de Ohio(USA).<br />
<br />
Ces diplomates étrangers ont présenté, chacun, sa  lettre  de  créances au Chef de l’Etat congolais, le jeudi 20 février dernier.<br />
<br />
Au Nord-Kivu, soit dit en passant, près de 800 soldats tanzaniens et malawites sont déployés pour pacifier cette partie du territoire congolais,  dans le cadre de la Brigade d’intervention de la Monusco.<br />
<br />
Pour rappel, le  jeudi 28 mars 2013, le Conseil de sécurité avait voté la Résolution 2098 portant création, au sein de la Monusco, d’une Brigade spéciale d’intervention dans le but de lutter contre tous les groupes armés qui opèrent dans la partie Est du pays. Cette brigade est composée notamment,   des éléments qui sont venus du Malawi, de la Tanzanie et de la République Sud-africaine. Ces hommes qui ont augmenté l’effectif de la Mission onusienne en RD. Congo sont au nombre de 3.069 éléments.<br />
<br />
Rodrigue Yalala<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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la Nation Politique 3 lettres de créances des diplomates sur la table de Joseph Kabila. mais comment ?

Le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, a reçu, le Jeudi 20 février 2014, au Palais de la Nation, 3 lettres de créances des nouveaux diplomat...

Elections en danger : Udps & Alliés, Samy Badibanga sensibilise le Parlement Européen !

February 23, 2014

<h3>
RD-Congo, quel avenir ?’’.  Tel est le thème développé par l’Honorable Samy Badibanga, Président du Groupe Parlementaire Udps & Alliés, au cours d’une conférence qu’il a animée au Parlement européen, le jeudi dernier. </h3>
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Invité par le Député socio-démocrate allemand Norbert Neuser, l’élu de Mont-Amba a tenu cette  conférence sous la modération de l’ancien Député européen Ecolo, Franck Schwalba-Hoth. C’était l’occasion,  pour lui,  de peindre la situation de son pays, caractérisée par deux crises : externe et interne. La première, a-t-il indiqué, c’est l’agression du Congo-Kinshasa  par ses voisins, qui profitent de sa faiblesse passagère. La seconde, c’est le manque de légitimité des institutions. Et, dans tout cela, souligne-t-il, c’est la population qui trinque avec des salaires impayés, un panier de la ménagère inaccessible, un chômage endémique qui frôle les 95%. Badibanga Samy a, aussi, dénoncé ce qu’il a appelé une ‘‘amnistie de façade’’ qui serait  bientôt appliquée alors que  certaines  personnalités phares de l’opposition en seront absentes : Diomi, Kuthino,…Par ailleurs, le Président du Groupe Parlementaire Udps & Alliés a critiqué la façon cavalière dans  l’organisation des concertations nationales qui, à l’en croire, se sont tenues sans aucun souci de recherche d’un  consensus, sans volonté de donner suite aux préalables avancés par ‘‘l’Opposition’’. Et d’ajouter que ‘‘les gesticulations d’une plate-forme opportuniste dénommée ‘‘Opposition républicaine’’ prête à entrer au Gouvernement,  sont un autre signe que les prétendues concertations n’étaient finalement que des arrangements, pour permettre à certains assoiffés du  pouvoir de revenir aux affaires.<br />
<br />
Enfin, au sujet des élections, le Groupe parlementaire Udps & Alliés, a révélé Badibanga Ntita, a décidé de marquer l’Abbé Malumalu à la culotte, en sensibilisant tous les partenaires internationaux dont l’Union Européenne, pour, dit-il, qu’ils ne se laissent pas piéger par le président de la CENI, en cas de l’organisation d’une  parodie électorale.  Ci-après, l’essentiel  de cette conférence, réalisé   par Cheik FITA, un journaliste indépendant basé à  Bruxelles. <br />
<br />
<br />
Dans son mot d’accueil, l’eurodéputé Norbert Neuser a signalé que la RD Congo se préparait à vivre bientôt plusieurs élections. C’était un moment de souci et d’espoirs.<br />
<br />
<br />
De soucis quand on se réfère à ce qu’avaient été les élections de 2006, et pire, celles de 2011. D’espoir parce qu’avec l’évolution à l’Est de la RD Congo, grâce notamment à la pression internationale, on peut rêver que les minerais naguère pillés pour alimenter la guerre, pourraient servir au développement et au bien-être de la population.<br />
<br />
<br />
Quant aux élections, il a souligné que celles-ci doivent être libres, équitables et transparentes.<br />
<br />
<br />
Pour l’eurodéputé, les élections n’ont pas pour but de gratifier les dirigeants, mais de donner au peuple l’occasion de se choisir ses élus. Les élections sont une sorte de thermomètre pour mesurer le pouls du peuple, afin de transformer ses aspirations en programme politique à mettre en application.<br />
<br />
Les gouvernants ne doivent pas intimider la population ni lui faire peur lors des scrutins.<br />
<br />
Quant à M. Samy Badibanga, il a introduit sa communication en disant qu’il était militant du progrès social, du dialogue entre compatriotes. Il a alors peint la situation actuelle du pays. Une situation caractérisée par deux crises : l’une interne, l’autre externe.<br />
<br />
La crise externe, c’est l’agression du pays par ses voisins, qui profitent de la faiblesse passagère de la RD Congo. La crise interne, c’est le manque de légitimité des institutions, surtout après le hold-up électoral de novembre 2011, mettant le pays en situation de dualité au sommet de l’Etat. <br />
<br />
Et, dans tout cela, c’est la population qui trinque avec des salaires impayés, un panier de la ménagère inaccessible, un chômage endémique qui frôle les 95%. Une lueur d’espoir aura été l’accord-cadre d’Addis-Abeba qui recommandait une réconciliation et une ouverture démocratique. Ce qui poussera les gens du pouvoir à convoquer les concertations nationales. Hélas ! Cela se fera d’une façon cavalière, sans aucun souci de recherche de consensus, sans volonté de donner suite aux préalables avancés par ‘‘l’Opposition’’.<br />
<br />
Conséquences, celle-ci boycottera ces concertations avec tout ce qui en découlerait dont l’éventualité d’un gouvernement post-concertation. Les effets pervers de cette pensée unique ne tarderont pas. Ainsi,  par exemple au Katanga, des troubles apparaissent déjà entre ceux du nord et ceux du sud.<br />
<br />
Une amnistie de façade  promulguée. Mais,  les personnalités phare de l’opposition en seront absentes : Diomi, Kuthino, les prétendus assassins de M’zee Kabila…<br />
<br />
Les gesticulations d’une plate-forme opportuniste dénommée ‘‘opposition républicaine’’ prête à entrer au Gouvernement corps et biens sont un autre signe que les prétendues concertations n’étaient finalement que des arrangements, pour permettre à certains assoiffés de pouvoir de revenir aux affaires pour s’en mettre pleins les poches…Au mépris de ce que les textes congolais disent de l’opposition : elle ne soutient ni le Gouvernement, ni son programme.<br />
<br />
<br />
Ainsi, que ce soit l’Udps et alliés, le MLC ou l’UNC, ces groupes parlementaires ne se sentent pas concernés par l’éventuel gouvernement en gestation.<br />
<br />
Quant à la période électorale qui pointe à l’horizon, elle risque d’être plombée par les décisions cavalières de l’abbé Malumalu, son président, qui cherche à adapter la constitution à sa vision, alors que c’est la CENI qui doit s’adapter à la constitution.<br />
<br />
<br />
Son scénario d’organiser éventuellement les élections provinciales au scrutin indirect n’est ni plus, ni moins qu’un mépris de la constitution qui dit en son article 197 que les élections provinciales se déroulent au suffrage universel direct.<br />
<br />
Le groupe parlementaire Udps  &  alliés a décidé de marquer le curé à la culotte, en sensibilisant tous les partenaires internationaux dont l’Union Européenne, pour qu’ils ne se laissent pas piéger par l’abbé Malumalu dans un véritable déni de démocratie.<br />
<br />
<br />
Durant le débat, plusieurs points ont été soulevés : le bilan de l’opposition dans cette assemblée nationale qu’un grand nombre de congolais considère comme une caisse de résonnance kabiliste, vue la majorité mécanique qui y trône, la dénomination UDPS du groupe, alors que le Président du parti ne reconnait pas cette institution…Monsieur Samy Badibanga considère l’existence de leur groupe parlementaire comme une voix qui a ouvert beaucoup de portes sur le plan international. Cette conférence au parlement européen en est une illustration vivante.  Le Député Jean-Claude Vuemba du même groupe parlementaire et qui était dans la salle ajoutera : ‘‘Le pouvoir Kabila a peur de leur voix, surtout quand elle est complétée par les prises de position des congolais vivant à l’étranger’’,  dans leur dénonciation commune de l’illégitimité générée par le scrutin de novembre 2011.</div>
<div>
Bruxelles, le 21 février 2014<br />
Cheik FITA</div>
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la Nation Politique Elections en danger : Udps & Alliés, Samy Badibanga sensibilise le Parlement Européen !

RD-Congo, quel avenir ?’’. Tel est le thème développé par l’Honorable Samy Badibanga, Président du Groupe Parlementaire Udps & Alliés,...

Feuille de route du cycle électoral 2013-2016 : La CENI s’en remet à l’appréciation des jeunes !

February 23, 2014

La Commission Electorale Nationale Indépendante a échangé,  le samedi 22 février 2014, à la Maison des élections située au deuxième niveau de l’immeuble ex. Kin-Mazière avec les différentes associations des  jeunes de la République Démocratique du Congo représentées dans la capitale Kinshasa autour du projet de feuille de route du cycle électoral 2013-2016.<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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<br />
<br />
Ce forum intitulé Jeunes et élections s’est déroulée dans un échange citoyen sous forme d’une matinée d’informations mettant face à face  près de deux cent responsables représentant des réseaux, des associations, des synergies, et des regroupements d’organisation des jeunes ( toutes tendances confondues). La matière principale a tourné autour des priorités électorales actuelles de la CENI  formulées sous forme des défis et contraintes tant politiques, juridiques, financiers que communicationnels.<br />
<br />
Les jeunes invités à promouvoir une bonne culture électorale<br />
<br />
Dans son mot de bienvenue, M. Jean-Baptiste NDUNDU, membre de l’Assemblée Plénière, en charge du suivi du cadre de concertation des jeunes et des personnes vulnérables, a appelé la jeunesse congolaise à promouvoir une bonne culture électorale.<br />
<br />
A cette occasion, il a demandé aux jeunes issus de différents réseaux, organisations, associations et autres synergies à travers le territoire national de bien écouter pour mieux contribuer ensuite, par leurs questions et suggestions à la feuille de route de la CENI. « Que vous soyez en mesure de promouvoir dans vos milieux de vie, une bonne culture électorale exempte de toutes manipulations et de toutes violences, mais ayant la maîtrise des processus et des procédures qui permettront de garantir les valeurs fondatrices de l’acte de vote », a souligné M. Jean-Baptiste NDUNDU.<br />
<br />
La feuille de route du Cycle électoral présentée aux jeunes<br />
<br />
M. l’Abbé Apollinaire MUHOLONGU MALUMALU, Président de la CENI, qu’entouraient les membres de la CENI, a pendant plus de deux heures présenté aux jeunes le projet de la feuille de route du cycle électoral 2013-2016.<br />
<br />
Il a confirmé que les élections demeurent un impératif pour la Démocratie en République Démocratique du Congo. Il a appelé les jeunes congolais des villes comme ceux des entités territoriales les plus reculées à se mobiliser comme un seul homme pour s’approprier le processus électoral. La question électorale, selon l’abbé MALUMALU, devrait avant tout intéresser la jeunesse dans toute sa pluralité afin de donner la chance à la nation de rectifier notamment les litiges liés aux arriérés électoraux.<br />
<br />
<br />
<br />
Auparavant, M. l’Abbé Président a retracé à l’intention des jeunes les principales activités réalisées par la CENI depuis sa mise en place à savoir : l’audit organisationnel, la formation des membres en Leadership et gestion des conflits électoraux, le séminaire d’imprégnation, la définition de la nouvelle architecture institutionnelle de la CENI et les termes de référence de l’audit du fichier électoral, l’adoption des prévisions budgétaires et du plan opérationnel relatif à la stabilisation des cartographies opérationnelles et à la fiabilisation du fichier électoral, l’adoption du règlement intérieur de la CENI ayant déjà été sanctionné par l’arrêt de la Cour suprême de justice, l’élaboration du règlement administratif et financier ainsi que du code de bonne conduite de la CENI, la mise en place progressive des cadres de concertation avec les parties prenantes, le lancement des travaux du Comité de partenariat et du Comité technique, l’état des lieux, contrôle physique et administratif du personnel en province (déjà réalisés à Kinshasa, au Bas-Congo, au Bandundu et à l’Equateur), le lancement des études sur les options de transmission rapide et sécurisée des données électorales, le montage des options de la feuille de route du cycle électoral 2013-2016.<br />
<br />
L’occasion était donc propice à M. l’Abbé Président de rappeler aux jeunes la mission de la CENI,  de leur présenter les deux hypothèses de la feuille de route et de les inviter à s’organiser afin que le cadre de concertation Jeunes et élection soit actif, dynamique et opérationnel. Nous allons tout droit vers les élections, préparez-vous, a dit M. l’Abbé Président de la CENI. « Tous pour des élections crédibles, transparentes, apaisées par la promotion des valeurs qui s’imposent à toutes les parties prenantes ». A ce sujet, M. l’Abbé Président de la CENI a invité les différentes parties prenantes à prendre leurs responsabilités.<br />
<br />
La CENI s’est donc acquittée de son devoir d’échanger directement avec les jeunes. Ces derniers ont pris l’engagement ferme de faire parvenir à la CENI et en toute responsabilité, endéans une semaine, leurs réactions aussi bien sur le cadre organisationnel du cadre de concertation avec les jeunes que sur la feuille de route du cycle électoral 2013-2016.<br />
<br />
Préoccupations actuelles de la jeunesse sur le processus électoral<br />
<br />
Parmi les principales questions soulevées par les jeunes, on note la sécurisation du processus électoral à travers le pays et dans les milieux universitaires, la mise en œuvre de la parité, la transmission rapide et sécurisée des données électorales et l’intégrité électorale, les contentieux électoraux et la justice électorale, le serveur central, la délivrance des duplicatas aux électeurs ayant perdu leurs cartes d’électeur, les mécanismes adéquats en vue d’assurer la présence des témoins dans les Bureaux de vote et de dépouillement pendant les scrutins, la sensibilisation des populations et la communication de la CENI avec les partis politiques et la population, la nécessité pour la Démocratie en République Démocratique du Congo d’épuiser les arriérés électoraux.<br />
<br />
<br />
<br />
Dans leur ensemble, les jeunes réunis à Kin-Mazière, le   samedi 22 février 2014,   ont félicité le Président de la CENI pour la clarté, la pertinence, la profondeur et la transparence avec laquelle il a livré sa communication sur les défis électoraux de notre pays. Ils ont souhaité voir le même exercice s’étendre dans leurs fiefs respectifs, à travers les communes, territoires et provinces du pays. Ils ont également suggéré à la CENI de renforcer son système de communication afin de lutter contre les effets de propagation des rumeurs et toutes les faiblesses d’ignorance liées au processus électoral.<br />
<br />
Pour rappel, en date du 27 juin 2013, à l’occasion de la séance inaugurale de l’Assemblée Plénière de la CENI, M. l’Abbé MALUMALU a présenté les axes stratégiques majeurs de la CENI notamment « l’organisation régulière des cadres de concertation avec toutes les parties prenantes au processus électoral en vue de les permettre, non seulement d’être mieux informés sur les enjeux et les défis électoraux, mais également leur permettre d’apporter leurs contributions positives à la réussite des élections par leurs idées, leurs suggestions et leurs actions constructives ».<br />
<br />
Source : CENI <script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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la Nation Feuille de route du cycle électoral 2013-2016 : La CENI s’en remet à l’appréciation des jeunes !

La Commission Electorale Nationale Indépendante a échangé, le samedi 22 février 2014, à la Maison des élections située au deuxième niveau d...

JB MPIANA BCBG NEWS DE VENDREDI 21 FEV 2014 ( vidé )

February 22, 2014

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JB MPIANA BCBG NEWS DE VENDREDI 21 FEV 2014   ( vidé )

Musique JB MPIANA BCBG NEWS DE VENDREDI 21 FEV 2014 ( vidé )

JB MPIANA BCBG NEWS DE VENDREDI 21 FEV 2014 ( vidé )

Quartier Snel à Mbuji-Mayi : Après l’indemnisation, l’insécurité !

February 21, 2014

<h3>
*Le quartier Snel à Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, a été le plus touché par les explosions de la poudrière du camp militaire Nyongololo, le 23 janvier 2014. </h3>
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<div>
<br /></div>
<div>
Les familles indemnisées par le Gouvernement suite à ces incidents vivent dans une totale insécurité ces derniers temps, rapporte des sources concordantes sur place. En effet, un groupe de malfrats en a trouvé une belle occasion d’attaquer régulièrement ces familles  bénéficiaires.<br />
<br />
Un drame appelle un autre. Après avoir perdu des biens et des membres de familles, les victimes de la catastrophe de Nyongololo sont actuellement exposées à une insécurité permanente. Elles sont visitées regulièrement par des bandits à mains armées, cherchant à récupérer les indemnités qu’ils viennent de recevoir du Gouvernement central pour panser, tant soit peu, les plaies de ces incidents. En effet, chaque famille ayant perdu un membre, avait bénéficié de 1.500 dollars américains d’indemnisation. Ce qui a attiré la curiosité de ces hors-la loi, appelés «suicidaires», d’autant plus que le quartier Snel a enregistré plus de bénéficiaires de ces indemnités, car étant le plus affecté par ces explosions.<br />
<br />
Les « suicidaires » règnent dans ce quartier en maître, face à l’impuissance des autorités sécuritaires. Certains qui osent les dénoncer, se retrouvent vite exposer aux représailles immédiates.<br />
<br />
Le Ministre Provincial de l’Intérieur et de la Sécurité, Hyppolite Mutombo Mbwebwe, promet de mettre un terme à cette situation déplorable. Il assure que des mesures drastiques seront prises pour rétablir l’ordre. Ainsi, laisser ces populations meurtries de digérer la catastrophe qui les a frappées.<br />
<br />
Rodrigue Yalala</div>
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la Nation Quartier Snel à Mbuji-Mayi : Après l’indemnisation, l’insécurité !

*Le quartier Snel à Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, a été le plus touché par les explosions de la poudrière du camp militaire Nyongololo, le...

Processus Électoral en RDC : Jean Michel Dumond reste silencieux !

February 21, 2014

<h3>
Au cours d’une conférence de presse tenue à la Résidence de l’Union Européenne à Kinshasa, Jean-Michel Dumond, Chef de la Délégation de l’Union Européenne, a  déclaré qu’à ce stade, il est encore trop tôt pour se prononcer sur le processus électoral en  RD. Congo. L’UE, a-t-il dit, observe encore de près le travail qu’abat le Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).</h3>
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<br />
Quelques Ambassadeurs de l’Union Européenne accrédités en RD. Congo notamment, de la Grèce, de l’Italie, de l’Espagne et de la République Fédérale d’Allemagne, ont participé à cette rencontre avec les professionnels des médias.<br />
<br />
Michel Dumont s’interdit actuellement d’émettre tout point de vue par rapport au processus électoral en cours en RD. Congo. En toute objectivité, il a déclaré que les membres de l’UE ne peuvent pas se prononcer tout de suite sur le dossier. « Il est encore trop tôt », a-t-il déclaré. Il a, par ailleurs, promis de mandater trois ou quatre experts pour une mission de suivi à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).<br />
<br />
Dans un autre chapitre, Michel Dumont a parlé de la réforme de la sécurité. Le coût budgétaire alloué pour 2014-2020 par l’Union européenne s’évalue à 180 millions de dollars américains.<br />
<br />
La vision de l’Union européenne est de contribuer à l’engagement civique, à la légitimité démocratique et l’approfondissement de l’union. Les pays membres veulent donc matérialiser leur destin commun, en préservant et en renforçant le modèle économique et social européen.<br />
<br />
Cependant, la première priorité consiste en la croissance, au travail et à la cohésion en vue  notamment, de stimuler l’économie réelle et le financement des petites et moyennes entreprises.<br />
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<strong>Judith Asina</strong></div>
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Le direct
        
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la Nation Politique Processus Électoral en RDC : Jean Michel Dumond reste silencieux !

Au cours d’une conférence de presse tenue à la Résidence de l’Union Européenne à Kinshasa, Jean-Michel Dumond, Chef de la Délégation de l’U...

REPORTAGE NORD-KIVU : LE JAPON REDONNE DU SOURIRE AUX ÉLÈVES DE BWEREMANA

February 21, 2014

<h3>
Grâce aux fonds du Gouvernement japonais, les élèves de l’Ecole primaire Ngerero, à Bweremana, localité située à 45 km de Goma, ont repris les cours dans des salles de classe désormais réhabilitées. Contraints jadis de cohabiter avec des soldats et des déplacés, ils étudient désormais dans un milieu assaini et sécurisé, dépouillé d’explosifs, d’armes et munitions qui mettaient en danger leurs vies.</h3>
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<br />
Nous sommes en octobre 2013. Le Nord-Kivu, riche province de la République démocratique du Congo, située à la lisière du Rwanda et de l’Ouganda, est à feu et à sang. De nombreux groupes armés plongent la population de plusieurs localités dans la terreur. Tout aux alentours de la ville de Goma, le chef-lieu de la province, les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) affrontent l’armée régulière. <br />
Pourchassés, des militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) se replient dans les villages environnants, emportant avec eux armes et munitions, ainsi que les membres de leurs familles. C’est dans ce contexte que l’Ecole primaire Ngerero de Bweremana, à 45 km de Goma, sera prise d’assaut. Difficile alors pour les élèves d’étudier en toute quiétude et dans de bonnes conditions, obligés de cohabiter avec les soldats, leurs proches et plusieurs déplacés dans des salles de classes transformées en dortoirs.<br />
<br />
UNE ECOLE SINISTREE<br />
Jeune écolière de 10 ans, Baraka Batachoka fréquente l’EP Ngerero depuis 2009. Elle se rappelle encore l’état désastreux de cet établissement scolaire où elle a fait ses débuts. « Quand j’ai été inscrite ici en 1ère année primaire en 2009, raconte-t-elle, notre école n’était constituée que d’un long bâtiment sans compartiment, recouvert juste des bâches. Juste un tableau en bois suffisait pour séparer les classes, de la 1ère à la 6ème année. Quand l’instituteur enseignait dans une classe, on l’entendait de l’autre bout du bâtiment ».<br />
« Faute de bancs, commente Baraka Batachoka, on s’asseyait sur le sol dépouillé de pavement, ou carrément sur des pierres destinées à la fondation. Quand il pleuvait, l’eau des pluies entrait dans nos classes, mouillait nos cahiers… et les enseignants étaient contraints d’interrompre les cours. On allait alors nous abriter, nous les écoliers et nos enseignants, dans le bâtiment voisin construit en briques, dans les salles des élèves de l’école secondaire qui, à leur tour, ne pouvaient continuer d’étudier ». <br />
« Et quand les déplacés sont arrivés, fuyant la guerre déclenchée par des Maï-Maï, et après eux nos militaires et leurs familles venant de Goma, on était contraint de partager nos classes, explique la jeune écolière. Le soir, ils préparaient la nourriture avec du bois de chauffage dans nos classes. Ensuite, ils mangeaient et dormaient dans le bâtiment. Souvent le matin, on retrouvait dans nos classes des excréments sur les murs et bien des déchets sur le sol ».<br />
<br />
OUF DE SOULAGEMENT<br />
Aujourd’hui, Baraka Batachoka et tous les écoliers de l’EP Ngerero sont heureux de voir les autorités du pays et des bienfaiteurs japonais penser à l’amélioration des conditions d’étude dans cette école de campagne. « Désormais, soupire-t-elle, nous nous asseyons sur des pupitres en bois dans des salles cloisonnées, au sein d’un bâtiment totalement recouvert de murs en bois. Nous avons par ailleurs bénéficié d’un don des cahiers, des livres et des cartables offerts par l’Unicef ».<br />
Marié et père de quatre enfants, Munguiko Risasi supervise l’Ep Ngerero depuis sa création en 2009. A 38 ans, il est fier de voir enfin le Gouvernement congolais s’occuper de cet établissement scolaire sinistré qui ne bénéficiait jamais de l’attention des autorités lorsqu’on organisait des campagnes pour la promotion de la scolarité. <br />
« C’est au cours de cette année scolaire 2013-2014 que notre Gouvernement a songé à octroyer à nos élèves des fournitures scolaires, grâce aux fonds du Gouvernement japonais, affirme le Directeur de l’EP Ngerero. Dans cet établissement qui comprend 505 écoliers, 184 élèves de 1ère et de 2ème année primaire ont bénéficié chacun d’un don constitué d’une ardoise, d’une touche, de deux stylos, d’un cahier de caligraphie, d’un cahier de dessin, de deux cahiers de 48 pages, d’un sac pour la conservation des objets classiques ».<br />
<br />
DES PROJETS PORTEURS<br />
« Ce don représente environ 2,5 dollars Us par élève bénéficiaire, explique John Kissa, le point focal du ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP) auprès de l’Unicef au Nord-Kivu. Il s’inscrit dans le cadre du projet ‘‘Back to school’’ financé par le Gouvernement japonais en vue d’appuyer la rentrée scolaire au bénéfice de plusieurs enfants congolais ».<br />
Ce projet, précise John Kissa, est structuré en deux volets. Le premier consiste à sensibiliser les parents pour envoyer leurs enfants à l’école. Le deuxième vise à appuyer les écoliers en fournitures scolaires et leur permettre de démarrer les cours munis de leurs objets classiques.<br />
Au projet ‘‘Back to school’’ succède un autre projet visant la réhabilitation du bâtiment scolaire de l’EP Ngerero comme réponse à la situation d’urgence connue par cette école détruite par des déplacés de guerre et des familles des militaires, cibles des Maï-Maï de Raïa Mutomboki, des FDLR rwandais et des rebelles du M23. Trois mois durant, cette école a eu de la peine à fonctionner, indique John Kissa.<br />
<br />
GESTION COMMUNAUTAIRE DES FONDS<br />
A la demande de l’Unicef, le Gouvernement japonais a octroyé un fonds remis à l’EPSP qui l’a confié à l’école. Les autorités scolaires ont, à leur tour, mobilisé la communauté scolaire pour identifier les besoins urgents, évaluer les coûts des travaux et veiller à l’exécution des travaux. <br />
« On avait évalué le devis à 5.000 dollars pour rebâtir le bâtiment en matériaux durables, mais l’Unicef nous a demandé de réduire les frais à 2.000 dollars Us, relate le Directeur Munguiko Risasi. Nous avons alors adapté les travaux au montant disponible. La communauté scolaire, constituée des représentants des parents, des élèves, des enseignants, s’est impliquée dans l’achat des 60 pupitres et de la construction du bureau du directeur d’école et de sept classes pour les écoliers ».<br />
Avec cette implication de toutes les couches impliquées, la gestion en toute transparence des ressources mobilisées par le Gouvernement japonais redonne espoir et sourire à une population sinistrée qui s’estimait oubliée de la communauté tant nationale qu’internationale. Yves KALIKAT
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Education REPORTAGE NORD-KIVU : LE JAPON REDONNE DU SOURIRE AUX ÉLÈVES DE BWEREMANA

Grâce aux fonds du Gouvernement japonais, les élèves de l’Ecole primaire Ngerero, à Bweremana, localité située à 45 km de Goma, ont repris ...

VITAL KAMERHE A BUKAVU LE MOMENT FORT CE 20 FÉVRIER 2014 ( vidéo )

February 21, 2014

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhk7p7PcPyENOKJX6iSMCAeeBTZ1j37bfe_iREbDlYqqo-x8B94D4rZxqwKZcUiTprASXrsPKadOoTBAzLAamGI_M3o6g7p9KV-7YzWgOyf6nH6k9vnCPajgrkm_dex1_VBoBRxWPNyGa2/s1600/Snapshot_11~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="318" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhk7p7PcPyENOKJX6iSMCAeeBTZ1j37bfe_iREbDlYqqo-x8B94D4rZxqwKZcUiTprASXrsPKadOoTBAzLAamGI_M3o6g7p9KV-7YzWgOyf6nH6k9vnCPajgrkm_dex1_VBoBRxWPNyGa2/s1600/Snapshot_11~1.jpg" width="400" /></a><span style="font-size: large;">VITAL KAMERHE A  BUKAVU LE MOMENT FORT CE 20 FÉVRIER 2014 ( vidéo )</span></h3>
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la Nation Politique VITAL KAMERHE A BUKAVU LE MOMENT FORT CE 20 FÉVRIER 2014 ( vidéo )

VITAL KAMERHE A BUKAVU LE MOMENT FORT CE 20 FÉVRIER 2014 ( vidéo )

La grande Sœur d' Emeneya Mamie Mubiala : «L’héritage d’Emeneya sera légué à ses 11 enfants »

February 21, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">King Kester disparu, des bruits ont couru selon lesquels, les frères, sœurs, cousins, neveux… de l’ancien sociétaire de Viva la Musica allaient s’accaparer de tous les biens laissés par le défunt. «Il n’en est rien, a réagi Mamie Mubiala, sœur ainée de Kin hier jeudi 20 février 2014» dans la matinée. Pourquoi faire main basse sur ces biens ? s’est-elle écriée. </span></h3>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdrBfNMlqpA4f_H1rGq8pgU4w-LapE_bjgWpTT7gtB4dgCMlHig9Ghid2TAbUMDEVhbkNLU8dV2nhgrigZPvPa__IKzvs9vY_792qiKypHjzDfcD-a8aDSAWbNS9k8wR0VkuDi20_ZlZIh/s1600/Snapshot_11~2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="313" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdrBfNMlqpA4f_H1rGq8pgU4w-LapE_bjgWpTT7gtB4dgCMlHig9Ghid2TAbUMDEVhbkNLU8dV2nhgrigZPvPa__IKzvs9vY_792qiKypHjzDfcD-a8aDSAWbNS9k8wR0VkuDi20_ZlZIh/s1600/Snapshot_11~2.jpg" width="400" /></a></div>
«La famille biologique reconnaît jusqu’ici 11 orphelins ( 4 filles et 7 garçons) qui vont hériter de tout ce que leur père a laissé, a-t-elle indiqué. Nous ne sommes pas une famille pauvre pour faire main basse sur le patrimoine de notre frère».<br />
<br />
Revenant sur la décision du gouverneur André Kimbuta relative à l’inhumation de leur frère à Kinshasa, elle a affirmé que la famille s’est pliée à la proposition du numéro un de la ville de Kinshasa. Ceci dans la mesure où Emeneya n’appartenait plus à sa famille.<br />
<br />
Au moment où le Phare se trouvait sur l’avenue Lubuzi, quartier Synkin, commune de Bandal, Mamie Mubiala a été jointe au téléphone par un membre de leur propre famille installée à Kikwit hier vers 11 heures pour qu’elle fixe les Kikwitois sur le lieu d’inhumation. Elle a ajouté qu’elle était assaillie par d’autres personnes qui sont mécontentes de l’idée de voir leur frère être inhumé loin de leur terroir.<br />
<br />
La nièce de Mamie également présente sur les lieux a dit de son côté que la décision du gouverneur de la ville de Kinshasa n’est pas un diktat. En somme, quelques personnes désignées par la famille pour palabrer avec les décideurs politiques ont finalement accepté la proposition du gouverneur de la ville de voir Emeneya être inhumé à la «Nécropole Entre Ciel et Terre». L’ambiance est morose sur l’avenue Lubuzi, numéro 8. Cousins, neveux, nièces…. sont permanents et même en grand nombre à Bandal. Contrairement aux journées précédentes, les airs d’Emeneya n’étaient pas exécutés hier jeudi 20 février 2014.<br />
<br />
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Musique La grande Sœur d' Emeneya Mamie Mubiala : «L’héritage d’Emeneya sera légué à ses 11 enfants »

King Kester disparu, des bruits ont couru selon lesquels, les frères, sœurs, cousins, neveux… de l’ancien sociétaire de Viva la Musica a...

Trierweiler Dit à François Hollande: "Je te détruirai comme tu m'as détruite !"

February 21, 2014

<h3>
"Vanity Fair" Espagne consacre sa une à Valérie Trierweiler. Un récit fait des confidences de son frère et d'amis "très proches". Pas triste...</h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnvenFZpFKGAROsPKCD4BLt6r9YtoOCZJZmNKN25_MvZ7rR6rY5B-bdBQZwFQtfbsLmUXOBMholJdTjWTx8kWcyfhhfaQzHFvOuiAxYhkW1vht1Q89odHxFAWPGcAZwzYBdyGIlh_4lEk/s1600/francois-hollande-valerie-trierweiler-2447875-jpg_2103747.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="173" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnvenFZpFKGAROsPKCD4BLt6r9YtoOCZJZmNKN25_MvZ7rR6rY5B-bdBQZwFQtfbsLmUXOBMholJdTjWTx8kWcyfhhfaQzHFvOuiAxYhkW1vht1Q89odHxFAWPGcAZwzYBdyGIlh_4lEk/s1600/francois-hollande-valerie-trierweiler-2447875-jpg_2103747.JPG" width="400" /></a></div>
<div>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
"Je te détruirai comme tu m'as détruite !" <a class="surligner" href="http://www.lepoint.fr/tags/valerie-trierweiler" style="border-bottom-color: rgb(19, 19, 19); border-bottom-style: dashed; border-bottom-width: 1px; color: #131313; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: top;">Valérie Trierweiler</a> n'y va pas par quatre chemins... Peu de temps <a href="http://www.lepoint.fr/politique/closer-revele-une-liaison-entre-francois-hollande-et-julie-gayet-09-01-2014-1778737_20.php" style="border-bottom-color: rgb(19, 19, 19); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; color: #131313; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: top;" title="">après la révélation de<i style="cursor: pointer; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;"></i></a><i style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Closer </i>sur la liaison de François Hollande avec qui elle partage sa vie depuis huit ans, la journaliste lui fait comprendre que la vengeance est un plat qui se mange froid. L'édition espagnole de<i style="cursor: pointer; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Vanity Fair</i> consacre sa couverture à l'ancienne première dame et raconte les coulisses du psychodrame qui a agité la France en janvier dernier. </div>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
Témoin privilégié, William Massonneau, frère aîné de Valérie, qui rompt le silence. Cet ingénieur informaticien de 50 ans prononce des phrases sans équivoque : "Ce qu'a fait François Hollande est quelque chose de brutal, cela va au-delà de la trahison", explique-t-il. " Moi, je ne me suis jamais comporté de la sorte et j'espère ne jamais faire cela, confie-t-il à <i style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Vanity Fair</i>. Hollande est un homme doué de beaucoup d'empathie. Mais sa capacité à mener des vies parallèles me dépasse. Son pouvoir de séduction est immense." Et de détailler la soirée du réveillon de Noël que le couple présidentiel d'alors passe dans la famille Trierweiler près d'Angers : "Nous avons pris un repas chez moi. Ma mère, mes frères, des neveux, Valérie et lui. Nous sommes une famille grande et unie. Les chiffres du chômage allaient être publiés et ils n'étaient pas bons. Hollande savait que cela affecterait son image, qui était déjà très affaiblie. Malgré cela, il était sympathique et agréable avec tout le monde."</div>
<h2 style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
"Je ne signerai aucun communiqué"<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5QD3GKMyFYZE86HDpQTku8RGq5B0dAS1HiB9TxEyVRRatMLMRo2v8f1u8Cpf8bEVNOwiNDgwbFBov-s0RHTI_BfNE1El-_vPTc1jtfO0bG24254cbxvSKl7eGeykdZv-aIeuWx7dMcT1m/s1600/2447865-vf-espagne-hollande-trierweiler-6004-png_2103758.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5QD3GKMyFYZE86HDpQTku8RGq5B0dAS1HiB9TxEyVRRatMLMRo2v8f1u8Cpf8bEVNOwiNDgwbFBov-s0RHTI_BfNE1El-_vPTc1jtfO0bG24254cbxvSKl7eGeykdZv-aIeuWx7dMcT1m/s1600/2447865-vf-espagne-hollande-trierweiler-6004-png_2103758.jpg" width="323" /></a></div>
</h2>
</div>
<div>
<span style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">Le frère et quelques autres témoins présentés comme des amis très proches de Valérie Trierweiler reviennent sur </span><a href="http://www.lepoint.fr/politique/valerie-trierweiler-est-hospitalisee-depuis-vendredi-12-01-2014-1779423_20.php" style="background-color: white; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;" title="">l'hospitalisation à la Pitié-Salpêtrière de "la femme trompée"</a><span style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px;">. "Je me suis rendu compte qu'elle pouvait à peine dire quelques mots. Elle devait sortir le plus vite possible pour prendre en main son destin", déclare William. Pourtant, "Valérie était disposée à pardonner l'infidélité, c'est certain. Mais Hollande n'a pas une seule fois fait référence à l'affaire. Il s'est seulement enquis de son état de santé. C'est à ce moment-là qu'elle a compris que c'était la fin d'une relation de huit ans", explique un ami anonyme de Trierweiler. </span><br />
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
</div>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
Le mensuel espagnol évoque même un houleux échange de textos entre le président de la République et sa future ex-fiancée. Dimanche 25 janvier, quelques heures avant de dicter <a href="http://www.lepoint.fr/politique/hollande-trierwiler-c-est-fini-25-01-2014-1784327_20.php" style="border-bottom-color: rgb(19, 19, 19); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; color: #131313; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: top;" title="">à l'AFP sa fameuse phrase de rupture</a>, le chef de l'État essaye une ultime tentative auprès de la journaliste. François Hollande : "Nous devrions envoyer un communiqué commun." Valérie Trierweiler : "Pas question. Tu assumes la situation. C'est toi seul qui t'es mis dedans et c'est à toi de la régler. Je ne signerai aucun communiqué."</div>
<h2 style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
Tous les éditeurs rêvent de son livre</h2>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
Enfin, <i style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Vanity Fair </i>se demande ce que peuvent être les termes de l'arrangement entre les deux anciens amoureux. Selon la version reproduite sur l<a href="http://www.vanityfair.fr/actualites/france/articles/hollande-les-proches-de-trierweiler-parlent-vanity-fair/13139" style="border-bottom-color: rgb(19, 19, 19); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; color: #131313; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: top;" target="_blank" title="">e site français du magazine</a>, "un accord prévoirait que le chef de l'État verse à son ex-compagne une indemnité jusqu'à la fin de son mandat pour lui permettre de continuer à demeurer dans l'appartement du 15e arrondissement de Paris qu'ils louaient ensemble jusqu'à leur rupture ainsi qu'une pension mensuelle pour subvenir à l'éducation des trois enfants de Valérie Trierweiler (le montant s'élèverait à trois millions d'euros, d'après des rumeurs dont <i style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Vanity Fair</i>Espagne ne précise pas l'origine)". Une somme qui semble tout de même très excessive, surtout en regard du patrimoine détenu par François Hollande.</div>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKI3n_czsqu2E3rGO86Z87pXc-enffLhA6XQVcSS11FMlyq3G45dDoWMPJhYi-frpFyGThhmXIdeY4rtz6hpEAlR6Q8AfvZ8qZDDnEJ5k2MgeQZyQIlZ2jBHafo8H27TQqqrfO5LSD-8qw/s1600/2447892-tweet-valtrier-jpg_2103759.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="62" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKI3n_czsqu2E3rGO86Z87pXc-enffLhA6XQVcSS11FMlyq3G45dDoWMPJhYi-frpFyGThhmXIdeY4rtz6hpEAlR6Q8AfvZ8qZDDnEJ5k2MgeQZyQIlZ2jBHafo8H27TQqqrfO5LSD-8qw/s1600/2447892-tweet-valtrier-jpg_2103759.jpg" width="400" /></a>Reste à savoir si Valérie Trierweiler compte un jour raconter sa "vie avec le président" ? Sa sentence "je te détruirai comme tu m'as détruite" laisse penser que <a href="http://www.lepoint.fr/societe/valerie-trierweiler-je-n-exclus-pas-d-ecrire-un-livre-30-01-2014-1786093_23.php" style="border-bottom-color: rgb(19, 19, 19); border-bottom-style: solid; border-bottom-width: 1px; color: #131313; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: top;" title="">la rédaction d'un livre</a> est dans l'ordre logique des choses. La plupart des éditeurs parisiens ont déjà - directement ou indirectement - pris langue avec elle. En attendant, face aux révélations de <i style="margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: top;">Vanity Fair</i> Espagne, l'ex première dame a sèchement démenti sur twitter.</div>
<div style="background-color: white; color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">
<br /></div>
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Le direct
        
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buz Divers Monde Trierweiler Dit à François Hollande: "Je te détruirai comme tu m'as détruite !"

"Vanity Fair" Espagne consacre sa une à Valérie Trierweiler. Un récit fait des confidences de son frère et d'amis "très ...

Le ministère de l’Intérieur dénie et défie les accusations lui imputant la traque des exilés congolais sous menaces d’expulsion au Royaume Uni

February 21, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Le journal Jeune Afrique rapporte la riposte opposée par le ministère de l’Intérieur sur la situation amplifiée par la presse britannique autour d’une prétendue traque qu’aurait instiguée ce ministère contre les exilés congolais au Royaume Uni</span></h3>
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<br />
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir6hh8ugLOPoOYRkaDLKyIJM9iN_CCotVWD17hp2-K7UmXk2XsxidjyAxzKTerhAlDfP1VL_1ZTyzWhmMSH5fP5cn_fspuph3POLOGl02uCsC3LL6RiPdYbJ2OzMam7y0BycR_faP7gFRr/s1600/Snapshot_8~2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEir6hh8ugLOPoOYRkaDLKyIJM9iN_CCotVWD17hp2-K7UmXk2XsxidjyAxzKTerhAlDfP1VL_1ZTyzWhmMSH5fP5cn_fspuph3POLOGl02uCsC3LL6RiPdYbJ2OzMam7y0BycR_faP7gFRr/s1600/Snapshot_8~2.jpg" width="400" /></a></div>
Les combattants refoulés du Royaume Uni menacés de torture, info ou intox ? Selon des informations relayées dans la presse britannique, Kinshasa aurait demandé à ses services spécialisés de fliquer les Congolais refoulés du Royaume-Uni. Objectif : arrêter ces derniers, prouver leur appartenance à des mouvements « combattants » puis les soumettre à des actes de torture. Qu'en est-il vraiment ?<br />
<br />
« Réussir à faire passer cette information dans des médias britanniques, c'est une victoire pour les 'combattants' de Londres ». Celui qui se fait appeler dans le milieu « le sergent Mokrekese James Bond Never die » en est convaincu : « le monde s'intéresse de plus en plus à [leur] combat ». Contacté par Jeune Afrique, le « sergent Mokrekese », secrétaire général du « Haut-conseil de la résistance congolaise », un de ces groupes d'opposants anti-Kabila de la diaspora, affirme que « [son] mouvement est à la base de l'information parue dimanche [16 février] dans The Guardian », selon laquelle les demandeurs d'asile congolais seraient confrontés à la « torture avec discrétion », une fois expulsés du Royaume-Uni.<br />
<br />
The Observer dont l'information est relayée dans The Guardian rapporte en effet qu'un « document hautement sensible » du ministère congolais de l'Intérieur aurait été « distribué aux hauts fonctionnaires de l'Agence nationale de renseignements (ANR), de la police et de la Direction général de migration (DGM) ». Mot d'ordre ? « Traquer et arrêter les opposants au gouvernement » et les soumettre à la « torture avec discrétion ».<br />
<br />
L'hebdomadaire britannique, qui dit s'être procuré une copie de l'instruction, précise que Richard Muyej, le ministre congolais de l'Intérieur, aurait demandé à ses services spécialisés de porter plus précisément leur attention sur des « militants politiques qui vivent au Royaume-Uni et dans d'autres parties de l'Europe et qui sont expulsés vers la capitale Kinshasa ».<br />
<br />
Et en guise de preuve, The Observer cite un extrait du document : « Avant tout, soyez à l'affût de combattants qui sont refoulés ». Des propos attribués à Richard Muyej à l'attention de chefs de sécurité congolais.<br />
<br />
<b>Intox avéré</b><br />
<br />
Joint au téléphone par Jeune Afrique, le ministre de l’intérieur Richard Muyej mis en cause  affirme n'avoir « jamais donné une telle instruction » et « regrette qu'un média d'un pays dit démocratique s'embourbe ainsi dans des mensonges ».<br />
<br />
Les « combattants » ne cherchent qu'à émouvoir l'opinion publique britannique pour bloquer une éventuelle procédure de refoulement.<br />
<br />
Dans l'entourage du ministre, on parle de « l'intoxication » concoctée par « ces gens qui crient à longueur de journée et qui se considèrent comme des combattants ». « Ils ne cherchent qu'à émouvoir l'opinion publique britannique pour bloquer une éventuelle procédure de refoulement qui serait en cours », tance un proche de Richard Muyej.<br />
<br />
« Quel intérêt le pouvoir aurait-il à traquer et à torturer des personnes qui ne représentent rien ? », interroge-t-il.<br />
<br />
Pourtant, des « combattants de Londres » exhibent une photo comme une des preuves de leurs allégations. Elle est non datée et montrerait « un prisonnier non identifié subissant la torture à Kin Mazière, le QG de la police secrète à Kinshasa », selon la légende publiée sur The Guardian.<br />
<br />
« C'est nous qui avons transmis la photo aux médias britanniques », s'en félicite Lumumba Yoto, président du « Haut-conseil de la résistance congolaise » basé à Londres<br />
<br />
Problème : « Depuis quelques années, Kin Mazière est devenu un super marché. On ne peut plus continuer à soutenir que la police détiendrait toujours un centre de détention dans un lieu commercial », rétorque un membre du cabinet du ministre.<br />
<br />
À Paris, dans le milieu même des « combattants », c'est l'incompréhension qui domine. Rex Kazadi, porte-parole de Ba Patriotes ya Kongo (BKP), ne comprend pas « pourquoi Kinshasa qui est aujourd'hui dans une démarche de séduction – pour rassurer les leaders des "combattants" - se lancerait dans une telle démarche contreproductive, en voulant arrêter des petits poissons » refoulés au pays. « Le pouvoir voudrait-il vraiment traquer des Congolais qui ne font que vociférer dans les rues des villes occidentales, alors qu'au même moment, une loi d'amnistie [notamment pour les faits insurrectionnels] a été votée au Parlement ? », se demande Rex Kazadi, dubitatif.<br />
<b><br />A son tour, la Belgique procède à des expulsions de sept Congolais en séjour irrégulier</b><br />
<br />
Sept ressortissants congolais ont été expulsés le mercredi 19 février 2018 de Bruxelles. C'est à bord d'un avion militaire qu'ils ont quitté Bruxelles. Destination : Kinshasa. La nouvelle a été donnée par trois organisations : la Coordination contre les rafles, les expulsions et pour la régularisation (CRER), le Collectif de Résistance Aux Centres Pour Etrangers (CRACPE) et l'association Getting the Voice Out.<br />
<br />
Les trois organisations indiquent que quatre jours après l'expulsion ratée d'une citoyenne congolaise, l'Office belge des étrangers est revenu à la charge en procédant, le mercredi 19 février 2014, au renvoi de sept ressortissants Congolais. Selon l'Agence Belga, la « dame » précitée a été hospitalisée quelques heures avant le décollage de l'avion. Son renvoi a été à nouveau reporté.<br />
<br />
Le samedi 15 février 2014, la troisième tentative d'expulsion de « cette ex-Zaïroise non-autrement identifiée », selon les propos de la presse belge ; n'a pas eu lieu suite à un incident survenu à bord. « Le commandant de bord a décidé de refuser son transport à la suite de la mobilisation d'un groupe de passagers émus par ses pleurs », rapporte Belga. La députée bruxelloise FDF Gisèle Mandaïla Malamba faisait partie des passagers. Elle tentera en vain de parlementer avec les policiers qui escortaient la personne dont il est  question. <br />
<br />
« La situation a dégénéré », ont rapporté des journaux belges. Des passagers ont été débarqués et brutalisés. C'est le cas notamment de Mandaïla qui assure avoir reçu un « coup de poing » de la part d'un jeune policier. Elle a porté plainte contre cet agent. De l'avis général, ce n'est pas la première fois que des "flics" du Royaume se comportent « en voyous » à l'égard des Africains subsahariens en général et des Congolais en particulier.<br />
<br />
Le CRER, le CRACPE et Getting the Voice Out n'ont pas trouvé des mots assez durs pour exprimer leur indignation tout en craignant pour la vie des expulsés. « Plusieurs d'entre eux sont reconnus comme des combattants de l'opposition et on ne connaît pas le sort qui les attend là-bas », ont déclaré les représentants de ces organisations en soulignant, au passage, que dès leur arrivée ces personnes sont prises en charge par l'Agence nationale de renseignements « qui les soupçonnent systématiquement d'être des opposants politiques ». Se reportant sur un article paru dans le quotidien londonien « The Guardian » daté du samedi 15 février, ces associations de souligner que les déportés « sont soumis à la torture ». « Les associations dénoncent la négligence par l'Office des étrangers des risques d'emprisonnement, de torture, voire d'assassinat de ces demandeurs d'asile politique », conclut Belga.<br />
<br />
<b>L'Ombre des élections</b><br />
<br />
Plusieurs observateurs justifient ces expulsions pour des fins électoralistes.  En effet, dans moins de cent jours, les concitoyens du roi Philippe vont aller aux urnes pour choisir leurs députés régionaux, fédéraux et européens. En Flandre, les nationalistes de la N-VA sont donnés vainqueurs. Au niveau des sondages d'opinion du moins. Les autres partis flamands tentent de faire contrepoids face à cette montée en puissance de cette organisation politique qui a fini par coiffer au poteau tous les "partis traditionnels ». <br />
<br />
C'est le cas notamment des libéraux flamands de l'Open VLD. Ce parti compte parmi ses « jokers », une certaine Maggie De Block, médecin de son état. Il s'agit de l'actuelle secrétaire d'Etat à l'Asile et la Migration. L'hebdomadaire franco-belge « Le Vif/L'Express" assure qu'elle "devrait" réaliser un « score canon » en Brabant flamand.<br />
<br />
Depuis l'avènement de "Maggie" à la tête de ce secteur un certain 6 décembre 2011, toutes les statistiques confirment une baisse du flux migratoire en Belgique. Cette embellie vaut à cette "dame de fer" d'accéder au "Top 10" des personnalités politiques les plus populaires. En janvier dernier, un quotidien bruxellois annonçait que l'Office des étrangers a ouvert 15.840 dossiers pour des demandes d'asile en 2013, contre 21.463 en 2012 et 25.479 en 2011. Quelle performance! "Les chiffres prouvent que les mesures en vigueur fonctionnent", s'exclamait l'intéressée. Selon des sources concordantes  en Belgique, en 2013, l'Office belge des étrangers avait ouvert 1.225 dossiers de demandeurs d'asile congolais. Il y a donc sept de moins...<br />
<br />
MMC/L’Observateur

Le ministère de l’Intérieur dénie et défie les accusations lui imputant la traque des exilés congolais sous menaces d’expulsion au Royaume Uni

la Nation Le ministère de l’Intérieur dénie et défie les accusations lui imputant la traque des exilés congolais sous menaces d’expulsion au Royaume Uni

Le journal Jeune Afrique rapporte la riposte opposée par le ministère de l’Intérieur sur la situation amplifiée par la presse britannique a...

voici pour la Revue de presse par Télé 50 DU 21 FEV 2014 "ne ratez plus rien "

February 21, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjzW9dnEGeeJLFu2Rao-uoNw2359iUh2CspTy2wOW2gU85xyZOVfQTSzSTFoRr0gNJVUUoeOdzFnMW7TiCvzxELqFDVfzcMN5DDWDG3fpSD2FKiRRXdnRJLzPwnPZ8jyd9kNQOBAD7pIN0/s1600/Snapshot_1~3.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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le journal voici pour la Revue de presse par Télé 50 DU 21 FEV 2014 "ne ratez plus rien "

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BA SANGO YA CONGO KINSHASA

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