Des M23 arrêtés en Ouganda : à quel jeu joue Kampala ?

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbmsWWxZW0pcYdivP1LaZ1Ep6dKK_VT_reAopEZkBsh0xXoiohpa_9nxmh_GTjee0AAOYgiOvpK6ntrOfCR1CI3ySSeToIwMxSa7WFuQhjckhPZXFgkZc9gLIosfqwfKKHL704T25JGSvU/s1600/Snapshot_733.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="265" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbmsWWxZW0pcYdivP1LaZ1Ep6dKK_VT_reAopEZkBsh0xXoiohpa_9nxmh_GTjee0AAOYgiOvpK6ntrOfCR1CI3ySSeToIwMxSa7WFuQhjckhPZXFgkZc9gLIosfqwfKKHL704T25JGSvU/s400/Snapshot_733.jpeg" width="400" /></a></div>L’Ougandais a surpris beaucoup de monde hier jeudi 19 janvier 2017 en annonçant pompeusement l’arrestation, sur son territoire, d’une centaine d’ex-combattants du défunt M23 (Mouvement du 23 mars 2009). Les intéressés auraient été démasqués à bord de quatre véhicules civils où ils auraient pris place, comme des voyageurs ordinaires, en route pour le Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. Après leur arrestation, ils auraient été conduits vers un autre site de cantonnement, à savoir le Quartier général de la 2me Division de l’armée ougandaise, dans la ville de Mbarara.<br /> <br /> Selon le gouvernement ougandais, les intéressés se seraient échappés de leur site de cantonnement, à l’Ecole militaire de Buhanga, où ils étaient consignés depuis la déroute de leur mouvement rebelle devant les forces coalisées FARDC/Monusco, en octobre 2013. Il semble que ce site hébergerait encore 270 éléments ex-M23. Le communiqué remis à la<br /> presse par les autorités ougandaises souligne que l’Ouganda reste engagé à respecter l’Accord de Nairobi conclu en 2014 entre le gouvernement congolais et le M23, sous la médiation de leur Chef de l’Etat, Yoweri Museveni.<br /> <br /> Cette annonce est d’autant surprenante qu’elle intervient quarante huit heures seulement après que le gouvernement ougandais a démenti, de la manière la plus formelle, la fuite d’ex-éléments M 23 de leur site de cantonnement et leur présence en territoire congolais, ainsi que le soutenaient, le week-end le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, et le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende Omalanga. Kampala a même accusé la partie congolaise d’avoir monté un scénario visant à lui faire porter la responsabilité d’une rébellion fictive au Nord-Kivu.<br /> Les observateurs se demandent, dès lors, à quel jeu se livre le<br /> gouvernement ougandais. Comment peut-il affirmer à la fois une chose<br /> et son contraire, à savoir le cantonnement strict d’ex-combattants M<br /> 23 à Buhanga et leur fuite de ces lieux ? Quant aux chiffres en<br /> circulation au sujet des effectifs de ces ex-rebelles, ils ne peuvent<br /> que semer le doute dans les esprits. On se souvient qu’au moment de<br /> leur défaite militaire, en octobre 2013, le nombre de ceux qui se<br /> seraient réfugiés en Ouganda, sous le commandement du colonel mutin<br /> Sultani Makenga, ne dépassait pas 200 unités.<br /> Il est dès lors bizarre d’apprendre qu’en dehors la centaine<br /> d’éléments interceptés, il y en aurait 270 au camp de Buhanga, sans<br /> compter les deux cents assaillants signalés par le gouvernement<br /> congolais du côté d’Ishasha, au Nord-Kivu. Mine de rien, c’est comme<br /> si les ex-combattants M 23 formeraient déjà un bataillon. Kampala<br /> devrait expliquer à Kinshasa le gonflement subit des effectifs de ces<br /> hors-la-loi.<br /> <br /> La Monusco flouée ?<br /> <br /> L’autre intrigue qui appelle un éclairage urgent réside dans le fait<br /> que jusqu’à preuve du contraire, la Monusco n’a pas encore décelé le<br /> moindre indice de la présence d’ex-rebelles M 23 au Nord-Kivu. Quand<br /> on pense aux moyens logistiques en sa possession au niveau de la<br /> frontière ougando-rwando-congolaises, notamment des drones, des<br /> hélicoptères de combat, des troupes et engins au sol, on devrait se<br /> demander comment elle n’a toujours pas pu établir la présence de cette<br /> force négative en territoire congolais, alors que cette dernière<br /> livrerait, depuis le dimanche 15 janvier 2017, des combats contre les<br /> FARDC dans la périphérie d’Ishasha. Ces combats seraient-ils réels ou<br /> fictifs ? La mission onusienne a déclaré, mercredi dernier, attendre<br /> le rapport du Mécanisme Conjoint de Vérification.<br /> <br /> Manipulation politique ?<br /> <br /> Au regard du flou qui continue d’entourer la présence ou non<br /> d’ex-combattants M23 au Nord-Kivu, d’aucuns se demandent si cette<br /> situation sécuritaire n’aurait pas un lien avec l’Accord politique du<br /> 31 décembre 2016 qui tarde à se mettre en œuvre. Il est évident que si<br /> une rébellion s’installe dans cette partie de la République, ceux qui<br /> ne veulent pas qu’il soit appliqué dans la tranche de 12 mois auraient<br /> toutes les raisons du monde d’évoquer un cas de force majeure pour<br /> faire glisser le processus électoral au-delà de 2017 et gagner du<br /> temps pour un coup fourré contre la démocratie.<br /> D’où, il est à souhaiter que le Mécanisme Conjoint de Vérification<br /> fasse diligence pour fixer l’opinion tant nationale qu’internationale<br /> sur l’état réel des troupes de l’ex-M23 en Ouganda, au Rwanda et en<br /> RDC. Quant à la Monusco, il n’y a rien d’autre à lui demander que le<br /> recours au Chapitre VII dans l’hypothèse d’un agenda de<br /> déstabilisation du grand Congo à partir de son ventre mou qu’est sa<br /> partie Est.<br /> Kimp<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgbmsWWxZW0pcYdivP1LaZ1Ep6dKK_VT_reAopEZkBsh0xXoiohpa_9nxmh_GTjee0AAOYgiOvpK6ntrOfCR1CI3ySSeToIwMxSa7WFuQhjckhPZXFgkZc9gLIosfqwfKKHL704T25JGSvU/s400/Snapshot_733.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Insécurité Politique Province Des M23 arrêtés en Ouganda : à quel jeu joue Kampala ?

L’Ougandais a surpris beaucoup de monde hier jeudi 19 janvier 2017 en annonçant pompeusement l’arrestation, sur son territoire, d’une centai...

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Pourquoi le MLC a signé l ' accord du 31 Décembre ? Jean Jacques Mamba à la barre ! (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdqmIeVwNa7u4yBUQc3s8iT7ADsmYXGOXoDQR2vqgdcUw2ola4hu0e0bFDjMadbiFiYXNndN36DXUtJMfZ3WgTjWSrlFJNCfAY9FS9n450v1yF5vyL3xJ8Jv6gzf7nm9plAMe88BrlqCh4/s1600/Snapshot_7440.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdqmIeVwNa7u4yBUQc3s8iT7ADsmYXGOXoDQR2vqgdcUw2ola4hu0e0bFDjMadbiFiYXNndN36DXUtJMfZ3WgTjWSrlFJNCfAY9FS9n450v1yF5vyL3xJ8Jv6gzf7nm9plAMe88BrlqCh4/s400/Snapshot_7440.jpeg" width="400" /></a></div> Pourquoi le MLC a signé l ' accord du 31 Décembre ? Jean Jacques Mamba à la barre ! (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="340" src="https://www.youtube.com/embed/_iUJ2w--3uY" width="640"></iframe>

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Pourquoi le MLC a signé l ' accord du 31 Décembre ? Jean Jacques Mamba à la barre ! (vidéo)

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Premier ministre : erreur interdite à Tshisekedi

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizqJvVsubcWcFn89xEH-3P5BTvDK1yx0kZ9lixWnKoFmeIEHcMSuQt4stV1_52rLwhcn5ZTi9uIvDiyH9AdNW8yrBUrYuRGAEs9tchHmYwVpVFP5UrtMc481K8jdUi5JStqpQYxXvcViqA/s1600/Snapshot_762.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizqJvVsubcWcFn89xEH-3P5BTvDK1yx0kZ9lixWnKoFmeIEHcMSuQt4stV1_52rLwhcn5ZTi9uIvDiyH9AdNW8yrBUrYuRGAEs9tchHmYwVpVFP5UrtMc481K8jdUi5JStqpQYxXvcViqA/s400/Snapshot_762.jpeg" width="400" /></a></div><br /> <br /> L’Accord politique global inclusif du Centre interdiocésain de Kinshasa signé le 31 décembre 2016 est loin de produire ses effets. Il patauge. Il achoppe sur la conclusion des arrangements particuliers entre parties sur fond du partage des pouvoirs pendant la période spéciale d’une année précédant l’organisation des élections. Malgré la clarté du point 3.3.3 de l’Accord, la question de désignation du Premier ministre divise principalement la MP et le Rassemblement. Et subsidiairement, le Rassemblement ne semble pas non plus accorder les<br /> violons en son sein sur le prodige et vertébré personnage devant conduire le prochain gouvernement dans une course qui s’annonce à saut d’obstacles jusqu’aux élections. Le choix judicieux d’Etienne Tshisekedi est par conséquent capital pour la suite du processus.<br /> <br /> Réunis au sein de la CENCO, les évêques catholiques se sont jetés à l’eau pour sauver le pays de la catastrophe à l’approche de la date fatidique du 19 décembre 2016 marquant la fin du deuxième et dernier mandat constitutionnel du Président Joseph Kabila. En amenant, bien entendu, la classe politique congolaise et les autres forces vives de la nation à la signature d’un Accord politique global afin de résorber la crise politique, une crise de légitimité de plus, née de la non tenue des élections à terme échu, conformément à la Constitution.<br /> <br /> Obtenu suite à l’opiniâtreté, l’abnégation et la perspicacité des<br /> prélats catholiques et à coup, de pressions de la communauté<br /> internationale, cet Accord, contrairement à celui du 18 octobre 2016<br /> sous la médiation d’Edem Kodjo, a comme acquis principal le fait de<br /> souligner noir sur blanc qu’ « ayant accompli deux mandats, le<br /> Président Joseph Kabila ne peut donc briguer un troisième » (point<br /> 2.2). Cet acquis est corsé par le point 3.2.1 qui stipule que<br /> «L’article 70 alinéa 1 dispose que le Président de la République est<br /> élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans<br /> renouvelable une seule fois. Il s’ensuit que tout Président ayant<br /> épuisé le deuxième et dernier mandat ne pourra pas briguer un<br /> troisième ».<br /> Dans la perspective de l’alternance politique consacrée par la<br /> Constitution et souhaitée vivement par le peuple congolais et pour<br /> laquelle certains ont payé jusqu’au sacrifice suprême, le départ de<br /> Joseph Kabila du pouvoir, malgré le sursis d’une année lui accordée,<br /> est le plus essentiel. Le reste, notamment le partage des<br /> responsabilités au niveau du Gouvernement, ne constitue que des<br /> modalités pour parvenir à cette fin. D’où, tout en prenant solidement<br /> pied dans la transition qui commence, le Rassemblement se doit d’être<br /> lucide et de garder le cap.<br /> <br /> Le juridisme de la MP<br /> <br /> Malgré l’Accord du Centre interdiocésain, le Président Joseph Kabila<br /> n’a pas encore dit son dernier mot. D’une manière ou d’une autre, il<br /> tient à garder les rênes du pouvoir, le cas échéant et le contrôler<br /> par des hommes de paille. Le juridisme de la MP en rapport avec la<br /> désignation du Premier ministre est à ce point. D’autant que, malgré<br /> l’existence de la CENI, le futur Gouvernement, au travers son Premier<br /> ministre, aura un rôle-clé dans le processus électoral de par<br /> l’impulsion qu’il aura à insuffler. Comme pour dire que celui qui<br /> contrôle le Gouvernement ou qui a la main sur son Premier ministre<br /> n’influence pas moins ledit processus. Ce ne serait pas nouveau dans<br /> la pratique politique congolaise. En son temps, dit Ndaywel, une des<br /> raisons de l’insistance suicidaire d’Etienne Tshisekedi à être Premier<br /> ministre, à défaut d’être Chef de l‘Etat, tenait sans doute de la<br /> nécessité d’avoir un droit de regard sur les élections à organiser. Et<br /> comprenant le sens profond de cette démarche, Mobutu n’envisagea<br /> jamais sérieusement cette perspective, si ce n’est pour tourner en<br /> dérision son adversaire politique. L’on se rappelle bien de stratégies<br /> du genre « le Premier ministre sortira de la famille politique autre<br /> que celle du Chef de l’Etat » montées pour les besoins de la cause. Et<br /> les hommes à la base de ces stratégies sont là, aux côtés de Joseph<br /> Kabila ou tapis dans l’ombre : André-Alain Atundu, Léon Kengo, Mokolo<br /> wa Pombo, Thambwe Mwamba. La liste n’est exhaustive.<br /> En effet, le point 3.3.3 de l’Accord stipule que « le Gouvernement<br /> de la République est dirigé par le Premier ministre présenté par<br /> l’Opposition politique non signataire de l’Accord du 18 octobre<br /> 2016/Rassemblement et nommé par le Président de la République<br /> conformément à l’article 78 de la Constitution ». Il n’est dit<br /> nullement que, compte tenu du pouvoir discrétionnaire du Président de<br /> la République, il doit lui être présenté une liste des candidats parmi<br /> lesquels il va choisir le Premier ministre. Celui-ci est désigné par<br /> le Rassemblement et le Président de la République entérine ce choix<br /> par son ordonnance. Le fait que la MP accepte que le Premier ministre<br /> soit issu du Rassemblement, ce contrairement à la majorité<br /> parlementaire comme prescrit dans l’article 78 de la Constitution,<br /> signifie que l’on déroge de ce cadre. C’est ce qui donne, du reste, à<br /> cette période de transition un caractère spécial. L’argument selon<br /> lequel la disposition de l’Accord sur la désignation du Premier<br /> ministre violerait la Constitution ne tient pas la route, à moins que<br /> la MP ait voulu piéger la République. Ce serait des négociateurs de<br /> mauvaise foi, alors que la crise dans laquelle la RDC se retrouve<br /> plongée relève de leur responsabilité, pour n’avoir pas organisé les<br /> élections dans le délai prescrit par la Constitution. Si les élections<br /> étaient organisées à terme échu, le pays n’en serait pas présentement<br /> au partage des pouvoirs. Qui est alors à la base de la violation de la<br /> Constitution ? La violation de la Constitution peut-elle engendrer son<br /> respect ?<br /> <br /> Etienne Tshisekedi devant ses responsabilités<br /> <br /> Depuis 1960, la classe politique congolaise est généralement dominée<br /> par des hommes ou des réseaux d’influence qui accèdent au pouvoir<br /> grâce à la cooptation ou à des appuis extérieurs. Ceux-ci préfèrent,<br /> pour le partage des postes, les négociations plutôt que les élections,<br /> dont ils parlent souvent mais qu’ils ne souhaitent jamais (Jean<br /> Omasombo et Erik Kennes). Le pays en est là présentement. Et malgré<br /> l’apparence, la MP – qui s’est constituée une Centrale électorale – ne<br /> croit pas aux élections dans sa posture actuelle, à moins d’être sûre<br /> d’en contrôler l’issue.<br /> En effet, tout au long de son règne de 16 ans, le Président Joseph<br /> Kabila n’a pas travaillé dans la perspective d’une alternance au<br /> pouvoir, auquel cas il aurait préparé un dauphin. Les différentes<br /> tentatives de modifier la Constitution pour se maintenir au pouvoir<br /> se sont soldées par un échec. Il a été ainsi contraint par la force<br /> des choses de négocier avec l’Opposition, sous la médiation des<br /> prélats catholiques, un accord de sortie de crise qui l’astreint à un<br /> partage des pouvoirs pendant une période de transition d’une année. Ce<br /> n’est pas pour autant qu’il s’est départi de velléités de contrôler le<br /> pouvoir, à défaut de s’y cramponner. La mise en place du nouveau<br /> Gouvernement, par-delà la nomination du Premier ministre, est un atout<br /> dont il pourrait se servir habilement pour tourner en bourrique<br /> l’opposition et reprendre finalement l’initiative. Tant il est vrai<br /> que les acteurs politiques congolais, pour la plupart sans idéal, ne<br /> lésinent pas pour goûter aux délices du pouvoir et en tirer le maximum<br /> d’avantages pour eux-mêmes. Le Rassemblement, mieux le Président de<br /> son Comité des sages, doit briller effectivement de sagesse pour que<br /> la désignation du Premier ministre ne se révèle pas un tendon<br /> d’Achille pour son camp. Autant cette question bute au juridisme de la<br /> MP, autant elle se heurte au sein du Rassemblement aux nombreuses<br /> ambitions, somme toutes légitimes. Beaucoup de noms sont avancés :<br /> Valentin Mubake, Félix Tshilombo Tshisekedi, Freddy Matungulu, Delly<br /> Sesanga, Joseph Olenghankoy, Martin Fayulu, François Muamba, etc. Tous<br /> ces prétendants appartiennent à des sous-composantes du Rassemblement<br /> et un choix doit être porté sur un d’entre eux. A cet effet, un des<br /> majeurs regroupements politiques du Rassemblement, le G7, n’y est pas<br /> allé avec le dos de la cuillère. Par la bouche de son Président Pierre<br /> Lumbi, il a laissé entendre que le Premier ministre doit sortir d’un<br /> parti fort, mais ils seront, quant à eux regardants, sur le profil de<br /> ce dernier. Etienne Tshisekedi est donc mis devant ses responsabilités<br /> non seulement en tant que leader politique pour le sens de son combat<br /> et Président du Comité des sages du Rassemblement, mais aussi parce<br /> que Président d’un parti fort, UDPS. Son choix sera déterminant pour<br /> la suite du processus. Si le dévolu est jeté sur un personnage arrimé<br /> à un rocher des valeurs, doublé de maîtrise de la situation du Congo<br /> et de la Région et connaissant le microcosme politique congolais,<br /> mieux le bateau de la Transition arrivera à bon port. Non sans<br /> difficultés. Mais, si ce choix est subjectif, c’est-à-dire prenant en<br /> compte des considérations irrationnelles fondées notamment sur<br /> l’affection, la soumission, le militantisme et le clientélisme, il y a<br /> plus de chance que ce navire échoue dans les eaux troubles de la<br /> transition. Conséquence : Et Tshisekedi, malgré sa longue lutte, et<br /> son Premier ministre, couleront.<br /> Le Gouvernement issu de la CNS constitue un précédent : le choix du<br /> Premier ministre était valable, mais celui des ministres laissait à<br /> désirer. Résultat : ce Gouvernement était faible et aurait été<br /> combattu, en dépit de sa légitimité. Et jusqu’à la tenue du Dialogue<br /> intercongolais, l’UDPS n’a fait que courir derrière l’oiseau sans le<br /> rattraper. Maintenant que le Premier ministre n’est pas Tshisekedi aux<br /> termes de l’Accord du 31 décembre 2016, celui qui est appelé à être<br /> Premier ministre ne doit pas être nécessairement la copie conforme de<br /> Tshisekedi, mais doit plutôt avoir une carrure et une personnalité à<br /> même de conduire à une autonomie fonctionnelle dans la complémentarité<br /> et la collaboration avec le Président de la République et les autres<br /> institutions. Le leader de l’UDPS est donc placé devant ses<br /> responsabilités.<br /> <br /> Moïse Musangana<br /> (Journaliste et analyste politique)<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizqJvVsubcWcFn89xEH-3P5BTvDK1yx0kZ9lixWnKoFmeIEHcMSuQt4stV1_52rLwhcn5ZTi9uIvDiyH9AdNW8yrBUrYuRGAEs9tchHmYwVpVFP5UrtMc481K8jdUi5JStqpQYxXvcViqA/s400/Snapshot_762.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Premier ministre : erreur interdite à Tshisekedi

L’Accord politique global inclusif du Centre interdiocésain de Kinshasa signé le 31 décembre 2016 est loin de produire ses effets. Il pata...

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Choix du Premier ministre: la Majorité Présidentielle entre contradiction et stratégie (GRAND ANGLE)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN1GK-N5ZFxuLrIFdKP17gxkZqumyAEEz-sof_dXUz1ZOZmIDpr9zJ9LasYu6_5duGdv0keaheAc0ZxWdjM8uLiWqASjaSjQEUPataLZgRtWphA3D7cSYQ6uNh46JuZ1Uw7Op_le1FKrDE/s1600/Snapshot_761.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="322" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN1GK-N5ZFxuLrIFdKP17gxkZqumyAEEz-sof_dXUz1ZOZmIDpr9zJ9LasYu6_5duGdv0keaheAc0ZxWdjM8uLiWqASjaSjQEUPataLZgRtWphA3D7cSYQ6uNh46JuZ1Uw7Op_le1FKrDE/s400/Snapshot_761.jpeg" width="400" /></a></div><br /> <br /> GRAND ANGLE - La position officielle de la famille politique du président Joseph Kabila à propos de la désignation du prochain Premier ministre de la transition flirt avec la contradiction et une stratégie bien calibrée. Explications. Débutées depuis le 02 janvier, les discussions autour de l’arrangement particulier se poursuivent à Kinshasa, alors que plusieurs points de divergences entre les opposants, principalement du Rassemblement, et la Majorité présidentielle persistent. Parmi les points qui fâchent, il y a la composition du gouvernement et désignation du prochain Premier ministre. Et c’est là que la position de la famille politique du président Joseph Kabila devient intéressante.<br /> <br /> Officiellement, aucune divergence n’est à observer concernant le choix du prochain Premier ministre. Au micro de POLITICO.CD hier, Lambert Mende, ministre des médias et cadre de la MP a néanmoins réaffirmé la position de la coalition des partis au pouvoir. Pour lui, les opposants « ne nomment pas le Premier ministre« , citant la Constitution. Pour le Porte-parole du gouvernement, la désignation du Premier ministre revient au président Joseph Kabila, sur « proposition » du Rassemblement, démentant l’information selon laquelle la Majorité exige une liste de sept personnes au Rassemblement.<br /> <br /> <br /> Intervenant sur Jeune Afrique le mardi, André-Alain Atundu, Porte-parole MP a pourtant laissé entendre que la Majorité exigeait une liste de candidats des opposants, affirmant que le président Kabila ne « peut pas travailler avec une personnalité incompatible ! »<br /> <br /> « La rationalité constitutionnelle procède du droit de veto reconnu au chef de l’État : cela implique que ce dernier a le droit de choisir qui il veut», explique l’Ambassadeur Alain-André Atundu. « On ne peut pas chercher à imposer un choix au chef de l’État. C’est pourquoi nous leur demandons de proposer deux, trois ou quatre noms », dit-il, dans un article publié sur le site internet du magazine panafricain. « Même au sein de la MP, nous proposons toujours au chef de l’État deux ou trois noms pour chaque poste ministériel à pourvoir», insiste-t-il.<br /> Faire traîner volontairement les choses en longueurToutefois, l’accord du 31 décembre reste dépourvu de spécificité à l’égard de ce sujet. Selon le document signé tard dans la nuit du 31 décembre sous l’égide de la CENCO, c’est au Rassemblement de proposer un Premier ministre, qui sera nommé par le président Joseph Kabila. Même principe que la Constitution, sauf que selon cette dernière, le Premier ministre doit passer par le processus légal de confirmation au niveau de l’Assemblée nationale où entre en jeu la donne de la majorité parlementaire.<br /> <br /> Ainsi, cette désignation du Premier ministre issue de l’accord du 31 décembre diffère avec celle de la Constitution. Une thèse soutenue par les opposants congolais, qui n’hésitent pas à faire remarquer que même le président Joseph Kabila est hors mandat, et donc la Constitution ne s’applique plus. Dans une tribune envoyée à POLITICO.CD hier, l’opposant Jean-Claude Vuemba a par ailleurs fustigé les « manœuvres dilatoires » de la majorité, lui demandant d’appliquer « proprement l’accord« .<br /> <br /> Par ailleurs, depuis le début de ces discussions, la position du Pouvoir a toujours été dans le sens de traîner les choses en longueur, comme l’a fait remarquer Litsani Choukran, le Rédacteur en Chef de POLITICO.CD <a href="http://www.politico.cd/grand-angle/sopolitico/2017/01/08/samy-badibanga-mlc-majorite-sort-de-corps.html">dans un éditorial</a> publié le 08 janvier dernier. « Les accords du 31 décembre prévoient clairement aucune issue pour le président Joseph Kabila Kabange de rester au pouvoir à l’horizon 2018. Néanmoins ceux-ci ont un sérieux talon d’Achille qui est l’organisation des élections en temps record, c’est-à-dire en décembre 2017. Nous voilà déjà à onze mois de l’échéance et les accords ne sont même pas encore mis en place. Samy Badibanga et ses acolytes pourraient donc bien gratter un ou deux mois de plus, compliquant ainsi la réussite de cette transition qui en plus pourrait être confiée aux deux Tshisekedi », a-t-il expliqué.<br /> <br /> En effet, outre les réticences du MLC, qui a finalement fini par signer, le camp de l’actuel Premier ministre congolais refuse toujours d’adhérer à cet accord, ce qui annonce un blocage futur dans l’application de celui-ci. Au regard de cette tournure, rien n’est sûr qu’un accord puisse être trouvé d’ici le 21 janvier, comme l’a exigé le prélat catholique, qui, visiblement, s’offusque de la tournure des événements. Néanmoins l’opposition se veut rassurante quant à l’issue des négociations.<br /> <br /> Pour Olivier Kamitatu, qui dit comprendre « l’impatience » de la population, il s’agit avant tout de trouver « le meilleur accord » possible qui soit inclusif. « Je sais qu’il y a une très grande impatience, chaque jour qui passe on a l’impression que l’accord est en train de s’amenuiser (…) je voudrais d’abord rassurer tout le monde, nous continuons à travailler, nous devons trouver une solution pour samedi, nous nous sommes fixés de nous retrouver samedi, après une deuxième série de contacts qui auront lieu entre les différentes parties prenantes pour essayer de trouver un accord qui soit le plus inclusif, le plus équilibré et le plus et le plus consensuel« , explique l’ancien ministre du Plan.<br /> <br /> Des contacts informels sont annoncés par l’ancien président de l’Assemblée nationale pour aboutir à un accord ce week-end. Wait and see.<br /> <div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #444444; font-family: 'Indy Serif'; font-size: 19px; line-height: 28px; margin-bottom: 20px; padding: 0px; word-wrap: break-word;"><br /> </div><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjN1GK-N5ZFxuLrIFdKP17gxkZqumyAEEz-sof_dXUz1ZOZmIDpr9zJ9LasYu6_5duGdv0keaheAc0ZxWdjM8uLiWqASjaSjQEUPataLZgRtWphA3D7cSYQ6uNh46JuZ1Uw7Op_le1FKrDE/s400/Snapshot_761.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> politico.cd

Politique Choix du Premier ministre: la Majorité Présidentielle entre contradiction et stratégie (GRAND ANGLE)

GRAND ANGLE - La position officielle de la famille politique du président Joseph Kabila à propos de la désignation du prochain Premier min...

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Primature : la MP exige à présent 5 candidats

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw9mNN7C-ZZtdhrv8ws8mGvxAlKd8FVLDoZuCrmUpu96LUoCvFxSLYik42XGrQKasQvqyDwEmlsKQGlUzeed3o5OOtn3N0hZegMSbIY1bZ8BvaZF9GUVfs4CU3nNeljVxrKEHQCGslLlCb/s1600/Snapshot_759.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="295" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw9mNN7C-ZZtdhrv8ws8mGvxAlKd8FVLDoZuCrmUpu96LUoCvFxSLYik42XGrQKasQvqyDwEmlsKQGlUzeed3o5OOtn3N0hZegMSbIY1bZ8BvaZF9GUVfs4CU3nNeljVxrKEHQCGslLlCb/s400/Snapshot_759.jpeg" width="400" /></a>Dans une déclaration politique rendue publique hier jeudi 19 janvier 2015 par son porte-parole, André Alain Atundu Liongo, la Majorité Présidentielle insiste pour que l’Opposition /Rassemblement présente une liste d’au moins 5 candidats au poste de Premier ministre, et non 7 comme indiqué jusque-là, en vue de permettre au Chef de l’Etat de désigner celui qui répondra le mieux aux critères de sélection.<br /> <br /> « … Le Rassemblement est tenu de présenter au moins 5 noms des personnalités candidates au poste de Premier ministre pour lui permettre de désigner en toute prérogative et en toute sérénité la personnalité à nommer à ce poste et appelée à être son premier et principal collaborateur.<br /> <br /> Cette exigence est conforme à la rationalité politique qui reconnait au Chef de l’Etat le droit de refuser et donc de désigner un Premier ministre selon le pouvoir discrétionnaire qui lui est reconnu. Ceci est de pratique constante depuis la naissance de la 3ème République », lit-on.<br /> <br /> La Majorité Présidentielle veut que toutes les prérogatives constitutionnelles reconnues à Joseph Kabila en tant Chef de l’Etat soient observées par toutes les parties aux négociations directes du Centre Interdiocésain.<br /> <br /> En outre, la famille politique du Président de la République accuse l’Opposition/Rassemblement de gloutonnerie en ce qui concerne le partage des postes au sein du Conseil National de Suivi du Compromis politique global du 31 décembre 2016. A ce sujet, elle invite le président du Comité des Sages du Rassemblement à peser de tout son poids en vue d’éviter au pays de replonger dans le chaos concernant notamment le processus électoral.<br /> <br /> « La Majorité Présidentielle regrette, pour le dénoncer, le manque<br /> d’esprit d’ouverture et de bonne foi dans le chef de l’Opposition<br /> politique à l’occasion du débat en cours sur le Conseil de Suivi de<br /> l’Accord de la Saint Sylvestre. Contrairement à l’engagement solennel<br /> de toutes les parties prenantes de respecter la Constitution dans son<br /> intégralité et dans le but évident de fausser le jeu démocratique en<br /> contournant les lois en la matière, l’Opposition politique présente<br /> des propositions qui ignorent superbement les pertinentes dispositions<br /> de la Constitution qui classifient la classe politique en Majorité et<br /> Opposition, en se présentant en ordre dispersé pour exiger 24 postes<br /> sur les 28 du Conseil National à pourvoir, ne laissant à la Majorité<br /> que 4 postes. Autant dire qu’il s’agit d’un coup d’Etat contre la<br /> Majorité Présidentielle minorisée à dessein et par cynique calcul »,<br /> souligne-t-on dans la déclaration de la MP, qui qualifie cette<br /> attitude d’inacceptable et de provocation.<br /> Pour finir, la Majorité Présidentielle en appelle à la conscience<br /> républicaine des uns et des autres, et au respect de la Constitution,<br /> tout en rappelant le principe tripartite de la nomenclature<br /> constitutionnelle congolaise, à savoir la majorité, l’opposition et<br /> la société civile.<br /> Dom<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw9mNN7C-ZZtdhrv8ws8mGvxAlKd8FVLDoZuCrmUpu96LUoCvFxSLYik42XGrQKasQvqyDwEmlsKQGlUzeed3o5OOtn3N0hZegMSbIY1bZ8BvaZF9GUVfs4CU3nNeljVxrKEHQCGslLlCb/s400/Snapshot_759.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Primature : la MP exige à présent 5 candidats

Dans une déclaration politique rendue publique hier jeudi 19 janvier 2015 par son porte-parole, André Alain Atundu Liongo, la Majorité Prési...

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MLC, ça chauffe à la base : les fédéraux Kinois ont désavoué Bazaiba

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh30t-19wTufwXqE-chyg83rilyT2_gQkLIFgRCbf8hsqZsV4Vkq9jPD5hgvA1hLBAFubhgWWTG4f-df73VeOrcrZtjTpx0q5CFxELghUv7Hf7ydtQs0RyW4In1KhV0yNdKR0Az8gyDuOgn/s1600/Snapshot_7447.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="286" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh30t-19wTufwXqE-chyg83rilyT2_gQkLIFgRCbf8hsqZsV4Vkq9jPD5hgvA1hLBAFubhgWWTG4f-df73VeOrcrZtjTpx0q5CFxELghUv7Hf7ydtQs0RyW4In1KhV0yNdKR0Az8gyDuOgn/s400/Snapshot_7447.jpeg" width="400" /></a></div> Les jours de la secrétaire générale Ève Bazaiba sont désormais comptés à la tête de l'exécutif du MLC. Les fédéraux Kinois ont rejeté sa démarche contre la participation du parti bembiste aux institutions de la transition. Sur un total de 52 fédéraux, 46 se sont exprimés pour la participation du MLC au gouvernement de transition et au conseil national de suivi de l'accord inclusif du 31 décembre 2017. Ces fédéraux Kinois ont levé cette option au terme d'une réunion le mardi 17 janvier.<div> <br /></div> <div> <br /></div> <div> <br /></div> <div> <br /><br /> <br /><br />À travers cette option, la base du MLC vient de désapprouver la position exprimée par la secrétaire générale du parti, Ève Bazaiba Masudi, qui n'a reçu que le seul soutien de son mari de docteur, lors de la réunion des fédéraux. Bazaiba est accusée de gérer le parti de la manière cavalière, comme si, le MLC était sa boutique. Elle est reprochée par plusieurs militants et cadres, d'engager le MLC, en ignorant carrément le collège des fondateurs et le bureau politique.<br /><br /> <br /><br />En effet, selon les dires des fédéraux, Bazaiba engage et prend des décisions sans en parler au niveau de ces deux organes du MLC. A plusieurs fois, on a eu à lui rappeler que le MLC est un parti avec vocation : gouverner. Mais, Ève Bazaiba a toujours voulu maintenir le MLC dans l'opposition. Avec cette façon de faire, les structures de base ont même décidé d'initier une pétition pour demander le remplacement rapide de l'actuelle patronne de l'exécutif du MLC. Plusieurs autres griefs sont retenues contre elle.</div> <div> C-NEWS</div>

Politique MLC, ça chauffe à la base : les fédéraux Kinois ont désavoué Bazaiba

Les jours de la secrétaire générale Ève Bazaiba sont désormais comptés à la tête de l'exécutif du MLC. Les fédéraux Kinois ont rejeté ...

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Arrangement particulier : Sassou à Kinshasa pour faire bouger les lignes

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNYJx4uFEmChPw6wyofM3SHLd1bi9CBBhyhluWqEQ8xgOCc_QmY044C6WaU0Oe6Le3AOKvEyG6w88UQiLrNZJZM-Qs1IQFhlu6hcI-Z6cymWsY4Lvx_yAkj6N75lFei2UAahN7Gp1YXtHa/s1600/Snapshot_734.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="222" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNYJx4uFEmChPw6wyofM3SHLd1bi9CBBhyhluWqEQ8xgOCc_QmY044C6WaU0Oe6Le3AOKvEyG6w88UQiLrNZJZM-Qs1IQFhlu6hcI-Z6cymWsY4Lvx_yAkj6N75lFei2UAahN7Gp1YXtHa/s400/Snapshot_734.jpeg" width="400" /></a></div><br /> C’est le statu quo, depuis plus d’une semaine, dans le travail de mise en œuvre de l’Arrangement particulier devant sous-tendre l’Accord du 31 décembre 2016 pour la gestion consensuelle de la période spéciale ou de transition entre signataires et non signataires de l’Accord de la Cité de l’Union Africaine. Suite au désaccord persistant entre la Majorité Présidentielle et le Rassemblement concernant le mode de désignation du Premier ministre, la répartition des portefeuilles ministériels, le quota de représentation au sein du Conseil National de Suivi de l’Accord, le chronogramme des élections présidentielle, législatives nationales et provinciales, la CENCO (Conférence Episcopale Nationale du Congo) a fait savoir qu’elle allait mettre fin à sa médiation ce samedi 21 janvier 2017, au cas où aucun compromis n’était trouvé.<br /> <br /> Pendant que les deux commissions de travail mises en place depuis le jeudi 12 janvier s’activaient autour des divergences, l’on a appris la présence à Kinshasa du président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso. Bien que son séjour s’inscrive dans le cadre du deuil qui frappe la belle famille de son Conseiller Spécial, Dominique Ockemba, il en a profité pour s’informer de l’évolution de la dernière phase des négociations directes entre la Majorité présidentielle et le Rassemblement. Naturellement, le bureau de la CENCO, avec Mgr Marcel<br /> Utembi en tête, a répondu à son appel, au Fleuve Congo Hôtel.<br /> <br /> On laisse entendre que Denis Sassou Nguesso a salué la mission de bons offices conduite par les Evêques Catholiques, la considérant comme le « dernier rempart » contre la crise de légitimité qui touche le Congo démocratique. S’agissant des couacs enregistrés au sujet du<br /> partage des responsabilités entre parties prenantes à ces pourparlers, il a recommandé au staff de la Cenco de faire preuve de patience et de calme, à la manière de l’équipage d’un navire engagé dans une délicate manœuvre d’accostage.<br /> <br /> Hormis la Cenco, le président Denis Sassou Nguesso a également consulté le Premier ministre Samy Badibanga, qui continue, avec ses ministres Azarias Ruberwa, José Makila et Jean-Lucien Bussa, de bouder l’Accord du Centre Interdiocésain et exige des garanties, tenues confidentielles, avant de s’y engager. On apprend que de sages conseils ont été prodigués au chef du gouvernement congolais afin qu’il assouplisse sa position.<br /> On a signalé également les présences, au Fleuve Congo Hôtel, de Maman<br /> Sidikou, patron de la Monusco, et du Cardinal Laurent Monsengwo<br /> Pasinya, Archevêque de Kinshasa. Nul n’ignore que les ombres de l’un<br /> et l’autre planent sur les tractations du Centre Interdiocésain. Mais<br /> leur contenu de leurs entretiens avec leur interlocuteur n’a pas été<br /> révélé. On imagine qu’ils ont échangés autour des pistes de sortie de<br /> la petite crise de partage du pouvoir d’Etat entre la Majorité<br /> Présidentielle et le Rassemblement d’ici la tenue des élections<br /> présidentielle, législatives nationales et provinciales.<br /> Les observateurs pensent que le président du Congo/Brazzaville est<br /> vivement préoccupé par l’ultimatum des Evêques catholiques de se<br /> retirer de la scène alors qu’ils sont tout près du but.<br /> On croit savoir que l’entrée en scène de ce médiateur de luxe vise à<br /> faire bouger les lignes restées inertes depuis une semaine. On espère<br /> que le message de ce sage de l’Afrique est passé et qu’au cours de la<br /> plénière de ce vendredi après-midi au Centre Interdiocésain, un<br /> consensus global pourrait intervenir entre camps protagonistes.<br /> Kimp<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNYJx4uFEmChPw6wyofM3SHLd1bi9CBBhyhluWqEQ8xgOCc_QmY044C6WaU0Oe6Le3AOKvEyG6w88UQiLrNZJZM-Qs1IQFhlu6hcI-Z6cymWsY4Lvx_yAkj6N75lFei2UAahN7Gp1YXtHa/s400/Snapshot_734.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Arrangement particulier : Sassou à Kinshasa pour faire bouger les lignes

C’est le statu quo, depuis plus d’une semaine, dans le travail de mise en œuvre de l’Arrangement particulier devant sous-tendre l’Accord du...

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le staff technique travaille en ce moment avec Zakuani, Nsakala et Lomalisa (tous trois forfaits)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBAcW32YJk5IOlFhiO4MG3jz82IJ1ZrNfyfnrEtwsF3Q6LqnKa8oado8ZFoeehuMHb9ApRpM4nXObuyj56dsMmpNDr6nM02B-wkenflGKXszVlKyuuk_G5LbWdPJvx27NPiIRXqUQz2KHb/s1600/Snapshot_7444.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBAcW32YJk5IOlFhiO4MG3jz82IJ1ZrNfyfnrEtwsF3Q6LqnKa8oado8ZFoeehuMHb9ApRpM4nXObuyj56dsMmpNDr6nM02B-wkenflGKXszVlKyuuk_G5LbWdPJvx27NPiIRXqUQz2KHb/s400/Snapshot_7444.jpeg" width="400" /></a><br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRq1AHkolSdwNN9i1t2EpoAm-YPGbhpIFk3ZrMlZJB2kjg9yqee3UswyZT3J8wMc7HZ8MeSyRSz0mSKauM4J1a7Ao6jER5xmXVz0uZfMNDFvboh83Mh5vardZ9xuDJ0NipVPkiST_IGVWQ/s1600/Snapshot_7443.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgBAcW32YJk5IOlFhiO4MG3jz82IJ1ZrNfyfnrEtwsF3Q6LqnKa8oado8ZFoeehuMHb9ApRpM4nXObuyj56dsMmpNDr6nM02B-wkenflGKXszVlKyuuk_G5LbWdPJvx27NPiIRXqUQz2KHb/s1600/Snapshot_7444.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRq1AHkolSdwNN9i1t2EpoAm-YPGbhpIFk3ZrMlZJB2kjg9yqee3UswyZT3J8wMc7HZ8MeSyRSz0mSKauM4J1a7Ao6jER5xmXVz0uZfMNDFvboh83Mh5vardZ9xuDJ0NipVPkiST_IGVWQ/s1600/Snapshot_7443.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="241" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRq1AHkolSdwNN9i1t2EpoAm-YPGbhpIFk3ZrMlZJB2kjg9yqee3UswyZT3J8wMc7HZ8MeSyRSz0mSKauM4J1a7Ao6jER5xmXVz0uZfMNDFvboh83Mh5vardZ9xuDJ0NipVPkiST_IGVWQ/s320/Snapshot_7443.jpeg" width="320" /></a></div> <br /> <br /> <br /> <br /><br />Jour de match contre la Côte d'Ivoire.<br /><br />Alors que les 21 joueurs éligibles sont à l'hôtel, concentrés sur le rendez-vous du jour, le staff technique travaille en ce moment avec Zakuani, Nsakala et Lomalisa (tous trois forfaits) en prévision du prochain match contre le Togo et de la suite de la compétition.<br /><br /><br />Bravo au staff !<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQr6FRDJrsK0gXwYcWwtgTx7iQB-5TSGdjosfP5La5miRSKHsc93HFUqZ9sUM6DYNT3YnGeA0w0Ny600jqqmtapBuPPL7noQxq_7rJ3LtKLAZxjRD03Kre0gMTGvLPGCPYLbgp4O9ACXdd/s1600/Snapshot_7445.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQr6FRDJrsK0gXwYcWwtgTx7iQB-5TSGdjosfP5La5miRSKHsc93HFUqZ9sUM6DYNT3YnGeA0w0Ny600jqqmtapBuPPL7noQxq_7rJ3LtKLAZxjRD03Kre0gMTGvLPGCPYLbgp4O9ACXdd/s400/Snapshot_7445.jpeg" width="400" /></a></div>

Sport le staff technique travaille en ce moment avec Zakuani, Nsakala et Lomalisa (tous trois forfaits)

Jour de match contre la Côte d'Ivoire. Alors que les 21 joueurs éligibles sont à l'hôtel, concentrés sur le rendez-vous du j...

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RDC: Mugalu lance un message d’éveil de conscience aux Chrétiens

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnryviQSFf44WIAJTTYGiEeNdJcUMMGHk8k4QVDttVCyntTqnZ3AvV-NVpSeaz-zOtRbIZuXWCv1YJPmwTA3tNIZNkWaZ-F53BxGtKnJ5M03qX0PsV_wL2uiD_dWWnXX-cH2SvaGd5K0zV/s1600/Snapshot_1203.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnryviQSFf44WIAJTTYGiEeNdJcUMMGHk8k4QVDttVCyntTqnZ3AvV-NVpSeaz-zOtRbIZuXWCv1YJPmwTA3tNIZNkWaZ-F53BxGtKnJ5M03qX0PsV_wL2uiD_dWWnXX-cH2SvaGd5K0zV/s400/Snapshot_1203.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> Présent à la commémoration du 56ème anniversaire de l’assassinat de tout 1er Premier ministre Emery-Patrice Lumumba, héros national, le 17 janvier 2017, le pasteur Théodore Mugalu, chef de la Maison Civile du Chef de l’Etat Joseph Kabila a lancé un message fort en direction de tous les Chrétiens de la République Démocratique du Congo. Un message qui se résume en appel à l’éveil de conscience de tous les Chrétiens pour empêcher toute conspiration des prédateurs qui cherchent à déstabiliser la République Démocratique du Congo.<br /> <br /> D’après lui en effet, 56 ans après, les démons de la prédation sont toujours au rendez-vous, prêts à faire couler davantage du sang innocent si on y prend garde.<br /> <br /> Toujours dans la mouvance du saint esprit qui lui procure, l’intelligence et la sagesse à prêcher l’évangile, l’homme de Dieu donne une alerte générale à tous les Congolais sans distinction de couleur politique. C’est pour parer et conserver l’héritage d’Emery-Patrice Lumumba que le pasteur Théodore Mugalu salue la mémoire pour avoir donné de sa vie afin de sauver la nation congolaise.<br /> <br /> L’homme aux multiples vertus, Pasteur Mugalu est de ceux qui pensent que le livre d’Ezéchiel au chapitre 28 verset 14, concerne bel et le bien la RD-Congo, dans ce sens que si vous lisez cet évangile, il transparait à l’évidence que tous les minerais du jardin d’Eden se trouvent au Congo. Il en va pour preuve, poursuit-t-il, si vous lisez l’acte de Berlin dans son article 8, il est dit que personne ne peut diriger le Congo s’il n’est pas encore accepté par les 14 puissances européennes.<br /> <br /> A l’en croire, l’acte de Berlin n’a jamais été abrogé. C’est pourquoi, estime-t-il, tous les nationalistes qui vont incarner l’idéal du Congo, sont appelés à être assassinés.<br /> <br /> Quarante ans après Lumumba, ces mêmes prédateurs se sont incarnés dans d’autres Congolais jusqu’à ôter la vie à Mzee Laurent Désiré Kabila. Ces démons ne sont pas morts, ils sont vivant et peuvent encore s’incarner encore aujourd’hui, prévient-il.<br /> <br /> A l’instar des chrétiens appelés à l’éveil patriotique, le Parlement doit lui aussi, se réveiller, martèle Mugalu. Car, il croit dur comme fer que si on a assassiné Lumumba, c’est parce qu’il a émergé seul, sans un seul soutien indéfectible du Parlement.<br /> <br /> Pasteur Mugalu a toutefois, regretté le fait que les Congolais ne se soient pas appropriés de l’idéal de Lumumba. Au regard de la situation politique actuelle, ils sont encore en train de piller, d’incendier, de brûler…, le Congo.<br /> <br /> Les Congolais sont encore dans la haine, la division, la délation ou la conspiration, a-t-il déploré.<br /> <br /> Qu’à cela ne tienne, il s’est réjouit du fait que tout soit débuté par la prière avant d’aller déposer des gerbes de fleurs au pied du monument de Lumumba. <br /> <br /> Emery-Patrice Lumumba et Mzee Kabila sont tous deux, pères de l’indépendance qui avaient incarnés dans leur cœur, l’avenir du Congo.<br /> <br /> Somme toute, le chef de la Maison Civile du Chef de l’Etat invite le peuple à beaucoup prier pour que Dieu Tout-puissant éloigne des Congolais, cette coupe du sang qui ne cesse de les guetter.

Religion RDC: Mugalu lance un message d’éveil de conscience aux Chrétiens

Présent à la commémoration du 56ème anniversaire de l’assassinat de tout 1er Premier ministre Emery-Patrice Lumumba, héros national, le 1...

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Dialogue bis : deuxième face-à-face CENCO-Badibanga !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc90onClIl-YXVE7IZL6gLd4Ou3hx2yHAuXNhaVjGTY3ifn-wFc0wQqK713qYNINu_f9xTT2HsHOSspR1o3LSy7s8f7e5jQG9CW9-olZr1f7UHSj-nfXmtevHN6y0s2nTAzutYZ5KkobRx/s1600/Snapshot_1085.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc90onClIl-YXVE7IZL6gLd4Ou3hx2yHAuXNhaVjGTY3ifn-wFc0wQqK713qYNINu_f9xTT2HsHOSspR1o3LSy7s8f7e5jQG9CW9-olZr1f7UHSj-nfXmtevHN6y0s2nTAzutYZ5KkobRx/s400/Snapshot_1085.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> Les tractations vont bon train pour l’harmonisation des vues sur les arrangements particuliers. Hier, jeudi 19 janvier 2017, les évêques catholiques ont été voir Samy Badibanga qui, au fil des jours, revêt une place de première importance dans l’application réelle des mesures de l’Accord. Surtout au sujet de la venue du nouveau Premier Ministre qui, sauf imprévu, devrait être son camarade du parti et ami : Félix Tshisekedi. La veille de cette rencontre, le mercredi 18 janvier soir, c’est le trio Bussa-Makila-Ruberwa qui aurait été aperçu dans les murs du Centre Interdiocésain, épicentre des échanges du dialogue inclusif mené par la CENCO. Au sortir du tête-à-tête de ce jeudi, rien n’a filtré. Mais, des sources dignes de foi rapportent que ‘’Samy Badibanga Ntita aurait conditionné sa démission par certaines garanties sur son avenir politique ‘’.<br /> <br /> Les échanges, selon plusieurs fins limiers, ont tourné autour des arrangements particuliers dont les discussions sont encore en cours. A la tête de la plateforme Opposition signataire de l’Accord du 18 octobre, Samy et son groupe se refusent de signer le compromis politique conclu sous l’égide des évêques le 31 décembre 2016. <br /> <br /> Ce bloc détient à présent en plus de la Primature quelques portefeuilles juteux. D’où, des avis croisés, il ne veut surtout pas lâcher prise, en donnant sa bénédiction à l’application de l’Accord de la Saint Sylvestre, sans au préalable obtenir de la part des évêques des fermes assurances sur ce que l’OPSA est sensé gagner dans la configuration prochaine de l’Exécutif. « Nous étions avec tous les évêques ce matin chez le premier ministre. Il reste ouvert à toutes négociations. Nous espérons que les ministres autour de lui, à savoir : Jean-Lucien Bussa, José Makila, et Azarias Ruberwa qui ont pris part aux négociations pourront signer l’accord dans les prochaines heures», dixit Donatien Shole, le porte-parole de la Conférence Episcopale Nationale du Congo aux prises d’avec une consœur.<br /> <br /> Rencontre avec Sassou<br /> <br /> Après sa rencontre avec les hommes en soutane, Samy Badibanga a conféré dans la soirée avec le Président Sassou au Kempinski Fleuve Congo Hôtel. Badibanga Ntita a posé le problème de double accord qui se met en désaccord tout en se disant très disposé à discuter sur ‘’l’accord du 31 décembre qui le dépossède de la Primature qu’il a acquise conformément à l’accord du 18 octobre‘’. ‘’On espère tous que l’atterrissage va se faire en douceur et qu’en définitive il y aura une solution qui pourra permettre à toutes les forces politiques de se retrouver dans cet accord qui sera respecté selon les composantes en place ‘’, s’est-il exprimé. ‘’Il s’agit d’aller dans l’apaisement vers les élections. Ce n’est pas dans ce terme que cela va se résoudre, c’est une question d’intérêt politique par rapport aux forces présentes. C’est pour ça que je dis qu’il faut une solution équilibrée tout en respectant le rôle de tout un chacun », dixit Samy Badibanga au micro de Rachel Kisita.

Politique Dialogue bis : deuxième face-à-face CENCO-Badibanga !

Les tractations vont bon train pour l’harmonisation des vues sur les arrangements particuliers. Hier, jeudi 19 janvier 2017, les évêques ...

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Enrôlement massif des électeurs : Bumba sous contrôle de Jean-Pierre Lihau !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhREN4m3usXsScOjjaDp06a5UG0DoCLEvLU8ilLwvjssfJLevCA7HEWZyjA3OvBx0hEswseKWeaOMhjNxq67lGTwY5h-bhS9qDrHwDm2_-958DQ0yqhJqabqpo4oj0d-YJw4MBHdUqfCQBv/s1600/Snapshot_1206.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhREN4m3usXsScOjjaDp06a5UG0DoCLEvLU8ilLwvjssfJLevCA7HEWZyjA3OvBx0hEswseKWeaOMhjNxq67lGTwY5h-bhS9qDrHwDm2_-958DQ0yqhJqabqpo4oj0d-YJw4MBHdUqfCQBv/s400/Snapshot_1206.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> *Accroître la visibilité, éveiller les consciences et s’implanter dans tous les coins et recoins du pays. Telle est la haute visée, devenue, depuis un certain temps, la nouvelle trouvaille de la Majorité Présidentielle. 2017 étant une année électorale, au regard des prescrits de l’Accord de la Saint-Sylvestre, il va de soi que les potentiels candidats affûtent leurs armes. Jean-Pierre Lihau, ci-devant, Directeur de Cabinet de Minaku Ndjalandjoko, l’a si bien compris, lorsque dernièrement, il a levé l’option de se couper en quatre, y compris de braver les intempéries de toutes sortes, pour aller à l’assaut de ses frères et sœurs de Bumba, dans la Mongala, une des Provinces nées du démembrement, dans l’ex-Equateur. Motif ? Agir, dès maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Autrement dit, il veut battre le fer lorsqu’il est encore chaud. Et, c’est légitime ! Et, pour ce faire, il a choisi de prêcher par les actes.<br /> <br /> Hauts faits<br /> <br /> Du sommet à la base », la Majorité présidentielle reste déterminée à gagner les échéances électorales qui se profilent à l’horizon. Cet optimisme est prévisible par une conjugaison d’activités auxquelles bon nombre d’observateurs assistent ces derniers jours. C’est dans ce sens que Jean-Pierre Lihau, Directeur de Cabinet Minaku Ndjalandjoko, le Président de l’Assemblée Nationale et Secrétaire Général de la MP, s’est rendu dans la province de la Mongala, en général et, précisément, dans la ville de Bumba, pour exhorter la population à prendre activement part aux opérations d’enrôlement et d’identification des électeurs. Il a saisi la balle au bond pour remettre des dons à quelques écoles et dans différents hôpitaux. <br /> <br /> Il sied, d’entre de jeu, de rappeler qu’il a été mandaté par Aubin Minaku. A son arrivée tout comme partout où il est passé, dans le cadre de cette visite de travail, Jean-Pierre Lihau était chaleureusement accueilli par une bourrée de publics natifs de Bumba. Des sources concordantes, on a intercepté l’information selon laquelle il aurait même effectué un trajet à pied, au vu des foules compactes qui étaient venues saluer sa modeste personne. Parmi les publics présents, l’on a noté également la présence des membres du Mouvement «Ensemble » dont il en est l’initiateur et ceux de la Fondation Lihau Marcel. La Mouvance politique «Ensemble» a été, à cette même occasion, implantée dans la ville de Bumba,<br /> <br /> Dans sa communication, l’envoyé de Minaku Aubin a clairement invité la population de Bumba à s’enrôler massivement en vue de bénéficier du droit de vote par l’obtention de la carte d’électeur. Chose que les destinataires ont apprécié. C’est ainsi que durant tout son séjour dans cette partie du pays, les bureaux d’enrôlement, ont été bondés du monde. Il a insisté, particulièrement, pour que cet engagement perdure, même lorsqu’il aura quitté. <br /> <br /> Aux partis de la MP, il leur avait recommandé de veiller au travail qu’il a abattu. Dans ses conciliabules avec certains leaders politiques, il les a prêchés à mouiller les maillots aux fins de matérialiser l’idéologie de la MP, telle que la prône son Secrétaire Général, dans ses nombreuses sorties.<br /> <br /> La charité bien ordonnée <br /> <br /> Il a, tout de même, effectué un déplacement jusqu’à son village d’origine. C’est là qu’il a montré un bel exemple d’enrôlement, comme pour dire «la charité bien ordonnée, commence par soi-même ». En clair, son propre enrôlement a eu lieu au centre d’inscription de la CENI, situé dans l’enceinte de l’école primaire Yamombe, basé dans le même village.<br /> <br /> Briefing de la centrale électorale<br /> <br /> Il faudrait directement inscrit ce déplacement dans un contexte stratégique adopté par la MP pour conquérir totalement le terrain en vue de son triomphe, lors des prochaines élections. Jean-Pierre Lihau a, à ce sujet, explicité le bien-fondé de la centrale électorale lancée, le 9 janvier 2017, au Pullman Grand Hôtel de Kinshasa. Il s’agissait, rappelle-t-il, d’une cellule technique qui, d’après Aubin Minaku, devrait permettre de consolider toutes les batteries des stratégies arrêtées par la majorité, dans la perspective de gagner les futures élections «du sommet à la base». En attendant, évidemment, que la Commission électorale nationale indépendante fixe les dates des scrutins, la Majorité, quant à elle, ne doit pas croiser les bras. Bien au contraire, elle se prépare sur le plan politique, financier, matériel et, même, psychologique.

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Après la signature de l’Accord. Freddy Matungulu : «le temps presse, l’action doit être la nouvelle priorité pour nous tous»

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyJw1SSBq7cAtvv90DXG0MwNx2WA3K3WrKeD-6DpTmoUTZRwS7JhzGsDhTdRA7pHg_z6vwnvnry9VQ3NvVZe53Be6-iOdByeQ9hZlvhOH1BOGihjBg3UJErpbjpKNGUV0L8P84KXlRLFHs/s1600/Snapshot_1205.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyJw1SSBq7cAtvv90DXG0MwNx2WA3K3WrKeD-6DpTmoUTZRwS7JhzGsDhTdRA7pHg_z6vwnvnry9VQ3NvVZe53Be6-iOdByeQ9hZlvhOH1BOGihjBg3UJErpbjpKNGUV0L8P84KXlRLFHs/s400/Snapshot_1205.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> Président National du parti politique «Congo Na Biso», Professeur d’Universités et membre influent de la Dynamique de l’opposition, Freddy Matungulu Mbuyambu Ilankir met déjà le cap sur ce qu’il faudra faire après la signature de l’accord du centre interdiocésain. Dans une petite réflexion intitulée «place au travail», cet opposant aborde non seulement les grandes résolutions du dialogue du centre interdiocésain avec la médiation de la CENCO, mais il pose, également, les jalons d’un développement rapide et durable. Voilà pourquoi, il reste convaincu que le temps presse et que l’action doit être la nouvelle priorité pour tout le monde. Il note, par ailleurs, que dans ce nouveau contexte, toutes les énergies doivent désormais converger pour remettre rapidement la machine gouvernementale en marche et relancer le processus électoral en panne depuis si longtemps. C’est à ces conditions, poursuit-il, que l’élection présidentielle et l’alternance démocratique massivement voulues par le peuple pourront se réaliser avant le 31 décembre 2017 comme convenu dans l’accord global et inclusif du centre interdiocésain. Ci-dessous, l’intégralité de la réflexion du Professeur Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir. <br /> <br /> RDC : place au travail !<br /> <br /> Le 31 décembre 2016, le peuple congolais réuni en dialogue au Centre Interdiocésain de Kinshasa, sous la conduite de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), a réaffirmé son attachement au Consensus de Sun City. Il a redit, sans ambiguïté, qu’en République Démocratique du Congo nul ne peut légalement rester au pouvoir plus de dix ans, que le changement de leadership à la Magistrature Suprême est et doit rester une obligation, un immuable rituel sacré, tous les cinq ou dix ans. Tel est le prescrit de l’Article 70, alinéa 1, de la Constitution : «le Président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois». En conformité avec celui-ci, l’Accord sanctionnant le Dialogue global et inclusif affirme : «Ayant accompli deux mandats, le Président sortant ne peut pas en briguer un troisième ». L’accord précise aussi que «les parties prenantes (signataires) s’engagent à n’entreprendre ni soutenir aucune initiative de révision et de changement de la constitution». Dans ce nouveau contexte, toutes nos énergies doivent désormais converger pour remettre rapidement la machine gouvernementale en marche et relancer le processus électoral en panne depuis si longtemps. C’est à ces conditions que l’élection présidentielle et l’alternance démocratique massivement voulues par notre peuple pourront se réaliser avant le 31 décembre 2017 comme convenu dans l’accord global et inclusif de la saint Sylvestre. Le temps presse, l’action doit être la nouvelle priorité pour nous tous. Adieu donc les interminables conciliabules, et bonjour le travail bien fait. Car, grands, énormes, en fait, sont les défis devant tous.<br /> <br /> Défis politiques : organisation des élections présidentielle et législatives en 2017, restauration graduelle de l’Etat de droit, restauration de la paix, sécurisation du territoire national, construction de relations mutuellement avantageuses de bon voisinage.<br /> <br /> Défis économiques : préservation de la stabilité monétaire et économique, relance de la production, restauration de la confiance avec les partenaires bilatéraux et multinationaux, amélioration de l’accès aux crédits bancaires par les particuliers.<br /> <br /> Défis sociaux : mise en orbite de politiques de soutien aux secteurs et activités économiques à haute intensité de main d’œuvre et générateurs d’emplois (notamment pour les jeunes) ; amorce de réformes susceptibles d’améliorer la desserte en eau et en électricité, de renforcer le taux de scolarisation des enfants, d’améliorer les conditions d’accès aux soins de santé. Il est impérieux que l’amélioration des conditions de vie des populations redevienne la préoccupation première et le centre des actions, moins du discours, des gouvernants.<br /> <br /> C’est vers les défis ci-avant que nos regards doivent se tourner maintenant. Et, en priorité, c’est sur eux que doit s’abattre, s’acharner, notre hargne de vaincre dans l’immédiat. C’est cela que la population congolaise attend désormais des leaders politiques nationaux de tous bords. Toute autre attitude serait incompréhensible!<br /> <br /> Fait à Kinshasa, le 18 janvier 2017<br /> <br /> Prof Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir

Politique Après la signature de l’Accord. Freddy Matungulu : «le temps presse, l’action doit être la nouvelle priorité pour nous tous»

Président National du parti politique «Congo Na Biso», Professeur d’Universités et membre influent de la Dynamique de l’opposition, Fredd...

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Atomisation des discussions directes. RDC : le Rassemblement au banc des accusés !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmp0XsTB83vukKvjU_QQXRJTaD1WI0ueJZkFYOrT4FBMXhyphenhyphenfb_3Zf3ytG1HDHRQEUKMu4g3SpWfVgquNS8uGJVQQg64C3zoeJ44iVDYOVnh2ZEntHrU8SPRMHVSzttgf4W1LW0tE4rrSQg/s1600/Snapshot_1204.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjmp0XsTB83vukKvjU_QQXRJTaD1WI0ueJZkFYOrT4FBMXhyphenhyphenfb_3Zf3ytG1HDHRQEUKMu4g3SpWfVgquNS8uGJVQQg64C3zoeJ44iVDYOVnh2ZEntHrU8SPRMHVSzttgf4W1LW0tE4rrSQg/s400/Snapshot_1204.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> *Au point mort, les travaux sur l’Arrangement particulier au Centre Interdiocésain, sont, jusqu’ici, dans le pétrin. Pas d’avancée, ni de coudes franches. Kajepa Molobi, l’Analyste pro-Majorité, revient à la charge et apostrophe le Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au changement, dans ce qu’il considère, lui, comme une véritable volte-face, en rapport avec sa volonté de participer à la gestion du pays, pendant cette période pré-électorale. Dans une nouvelle tribune libre, il accuse, avec la dernière énergie, le Rassemblement et invite, finalement, Etienne Tshisekedi à resserrer autrement ses rangs, s’il faut organiser en RD. Congo, une transition pacifique et non conflictuelle ainsi que des élections apaisées. Ci-dessous, lisez cette réflexion dont la teneur tend, de l’avis de son auteur, à ramener le Rassemblement à l’amour de la patrie. <br /> <br /> Le Rassemblement bloque les négociations du Centre Interdiocésain<br /> <br /> Quel est le but de la politique ? Quel sens devrait avoir une ambition politique ? Qui sert-on en politique ? Qui devrait-on servir ?<br /> <br /> La politique est ce qui, avec la parole, particularise l’être humain. Les animaux peuvent crier, certaines espèces chantent merveilleusement bien, mais l’humain est le seul qui communique avec un vocabulaire suffisamment développé pour organiser une vie sociale rationnelle se distinguant, dans son essence, de la vie d’un troupeau ou d’une quelconque cohorte. C’est dans ce sens que la politique reste le propre de l’homme, tandis que le pouvoir se retrouve au travers de la vie de plusieurs autres espèces de la création divine.<br /> <br /> Dans ce même registre, la politique est l’art de trouver, après confrontation des idées, les équilibres essentiels au sein d’une société conduite par des valeurs. En effet, chaque société a des valeurs. Elles peuvent s’avérer différentes d’une société à une autre mais aucune n’en est dépourvue.<br /> <br /> La civilisation bantoue qui est la nôtre veut que la politique soit le lieu de domination de la valeur «service». Service non pas pour son propre intérêt mais, pour l’intérêt de la communauté. C’est ce que résume le concept «UBUNTU» que l’on entend beaucoup ces jours dans le microcosme politique congolais.<br /> <br /> Suivant cette valeur fondatrice de notre culture, on devrait donc, rentrer dans la politique pour mettre son intelligence et son énergie au profit des intérêts de sa communauté.<br /> <br /> Aujourd’hui, nous devons dénoncer avec la plus grande vigueur, l’escroquerie sociale dont a été et est encore responsable et coupable le groupe qui se présente sous le label « Rassemblement ». Alors que les ténors de ce conglomérat proclamaient à qui voulait les entendre, leur unique volonté d’amener le peuple congolais, le plus rapidement possible, vers des élections crédibles, transparentes et incontestables, le Rassemblement affiche, désormais, son attachement à servir les intérêts des étrangers dont il est le valet. Alors que pour une cause présentée comme patriotique, ce groupe a jeté dans les rues de Kinshasa et d’ailleurs, des jeunes naïfs dans des opérations de démolition de leur propre pays, dans lesquelles ils ont trouvé la mort, voilà que s’approchant du but, sur le plan de l’évocation des idées, ou de la formulation des programmes, s’installe un silence radio. Quel vilain prétexte !<br /> <br /> Sur le plan des élections, hier, cheval de bataille, le Rassemblement devient amorphe. La presse proche de ce groupe, avec une naïveté infantile, semble compter sur le monde occidental pour organiser et financer des élections, espérées crédibles, dans un pays de près de 40.000.000 d’électeurs disséminés sur une superficie de 2.342.000 Km2.<br /> <br /> Ceux qui, il y a seulement quelques mois, campaient mordicus sur le respect de la Constitution se battent maintenant corps et âme pour imposer une formule, à plusieurs égards, fort éloignée du texte du 18 février 2006.<br /> <br /> Les masques tombent ! Nos « yebelistes » d’hier ne sont, en réalité, que des opportunistes. Ils ont surtout sacrifié la vie des jeunes Congolais dans le seul but de se retrouver autour de la table du pouvoir et pourquoi pas avec Joseph KABILA. Fallait-il pour cela autant de morts ? Quel mépris pour la vie humaine ! Voilà pourquoi les Kinois ont inventé un nouveau vocable « les welelistes » pour stigmatiser ceux qui n’ont pour objectif que la recherche des occasions de partage des postes.<br /> <br /> Le Rassemblement prétend travailler avec les autres forces politiques et la majorité parlementaire, mais refuse de tenir compte du poids politique des autres. Où est donc le sens démocratique ? Même les avis de la CENCO ne trouvent plus crédit à ses yeux. Sur la question du choix du Premier Ministre, alors que les évêques, tout comme le groupe Kamerhe, conseillent de proposer trois (3) noms au Président de la République afin d’obtenir un accord respectueux de l’Institution « Président de la République», le Rassemblement s’obstine à vouloir imposer un seul et unique candidat qui, comme par hasard, est le fils du chef de file de cette organisation, par ailleurs, minoritaire dans le pays.<br /> <br /> Pour ne pas cacher ses velléités dictatoriales, le Rassemblement exige le contrôle total du Conseil National de Suivi des Accords (CNSA). En effet, sans gêne, outre la présidence, le groupe de M. Tshisekedi veut obtenir les postes de Premier Vice-Président et de Rapporteur ; la MP, majoritaire dans le pays, devrait, elle, se contenter d’un poste de Vice-Président non pré-séant. <br /> <br /> Dans l’esprit des propositions du Rassemblement, la Majorité Présidentielle devrait, du coup, devenir la minorité.<br /> <br /> Selon quelle logique un groupe n’ayant jamais gagné des élections peut-il avoir autant de prétentions ? Ne serions-nous pas en train de quitter la démocratie ?<br /> <br /> Ceux qui, il y a 16 ans, refusaient qu’un fils, même vaillant, succède à son père, combattent aujourd’hui pour que le père et son fils occupent, l’un, la tête de l’exécutif et, l’autre, la charge du contrôle du premier.<br /> <br /> La revendication du partage du pouvoir ou, à la limite, l’exigence du départ d’un Chef d’Etat constitue-t-elle une politique ? Pas besoin d’être philosophe pour répondre par la négative. <br /> <br /> Aujourd’hui, le Rassemblement ne vise plus les élections, il n’a aucun autre but que la recherche des places de travail, lucratives pour ses membres. Nous sommes plus proches du mercantilisme que de la politique.<br /> <br /> Ce qui est plus grave dans notre situation d’aujourd’hui est qu’on se trouve dans la ressemblance avec les circonstances qui ont prévalu en 1960 lorsque des patriotes nationalistes convaincus, se battaient pour l’indépendance véritable alors que d’autres Congolais, transformés en chiens de garde de l’Occident, s’associaient aux colonialistes pour perpétuer sous d’autres formes, la colonisation.<br /> <br /> Il est donc, urgent de rendre à la politique congolaise, ses lettres de noblesse, son caractère de service à la Nation, son combat pour la souveraineté. Il faut refuser le diktat que veut nous impo

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*Au point mort, les travaux sur l’Arrangement particulier au Centre Interdiocésain, sont, jusqu’ici, dans le pétrin. Pas d’avancée, ni de...

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Va-t-on vers la rupture ? RDC : la Majorité lance un dernier cri à Etienne Tshisekedi !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7Grwe0C2PA0PxE3t3CLmzOf47gosHBzbhF3rldh9McJyi0lfSme3jJ7XL3Rw7nCMGlS5rM5RPlxkwPFWlvd-MHp_ZubSDd2XVrwR3anCx8G_EetvHBqocLOD9pjOQCCJE7qtUuc16dcr3/s1600/Snapshot_383.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7Grwe0C2PA0PxE3t3CLmzOf47gosHBzbhF3rldh9McJyi0lfSme3jJ7XL3Rw7nCMGlS5rM5RPlxkwPFWlvd-MHp_ZubSDd2XVrwR3anCx8G_EetvHBqocLOD9pjOQCCJE7qtUuc16dcr3/s400/Snapshot_383.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> *Phagocytées et enchevêtrées dans le marigot ‘’politicien’’ congolais, les discussions directes engagées autour de la CENCO, depuis le 18 janvier 2017 sur l’arrangement particulier, tournent au vinaigre. Plus rien n’y va, ni ne marche. Aucune avancée significative dans le sens de la mise en œuvre intégrale de l’Accord dit de la Saint-Sylvestre. Alors que les jours passent…<br /> <br /> Au niveau du Conseil National de suivi de l’Accord, la Majorité dénonce ce qu’elle appelle ‘’coup d’Etat’’ en raison de sa minorisation numérique, avec les exigences du Rassemblement qui, selon elle, cherche à arracher 24 postes, tout en ne lui laissant que 4 sur les 28 que doit compter cette nouvelle institution d’appui à la démocratie.<br /> <br /> Bien plus, la Majorité, dans une déclaration politique, distribuée, hier, comme du petit pain dans les médias, à Kinshasa et en ligne, insiste sur la plénitude des prérogatives constitutionnelles reconnues à Joseph Kabila, en tant que Chef de l’Etat qui, en principe, doit primer sur les autres considérations éparses.<br /> <br /> Pour elle, en effet, le Rassemblement, en ce qui concerne, par exemple, l’épineuse question du mode de désignation du futur Premier Ministre, est tenu de présenter au moins cinq noms des personnalités candidates au Président de la République, pour lui permettre de désigner en toute prérogative et en toute sérénité, la personnalité à nommer à ce poste et appelée à être son premier et principal collaborateur.<br /> <br /> La Majorité précise, par ailleurs, que cette exigence est constitutionnelle. Elle relève, du reste, de la rationalité politique qui, logiquement, reconnaît au Chef de l’Etat en fonction, le droit de refuser et donc, de désigner un Premier Ministre, selon le pouvoir discrétionnaire.<br /> <br /> Et, pour en venir à bout de cette querelle, presque byzantine et axée, curieusement, sur un jeu pernicieux des mots et des lettres, comme s’il s’agissait d’un concours de la sémantique aux humanités gréco-latines, la Majorité Présidentielle lance, ici, un dernier cri d’alarme et invite Etienne Tshisekedi wa Mulumba, le Président du Comité des Sages du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au changement, à peser de tout son poids, pour épargner au peuple congolais ainsi qu’au processus électoral en cours, les désagréments d’une crise somme toute voulue et planifiée. Ceci comporte le risque d’anéantir, en définitive, tous les espoirs suscités au sein des populations congolaises par la signature de l’Accord du 31 décembre 2016, si l’on s’obstinait à remettre en cause les mandats électifs et à marcher sur la Constitution.<br /> <br /> Plus loin, dans cette même déclaration tonitruante, la Majorité accuse le Rassemblement du manque d’esprit d’ouverture et de déficit de bonne foi. Ceci se traduit notamment, par une attitude de provocation visant à créer, désespérément, une nouvelle crise factice, en bloquant la progression normale des discussions directes.<br /> <br /> Et, pourtant, il n’est jamais trop tard, pour mieux faire, dit-on. D’où, l’appel de la Majorité à la conscience républicaine de chaque partie prenante et au respect de la Constitution. Elle plaide également sur le retour à la nomenclature constitutionnelle, à savoir : la Majorité Présidentielle, l’Opposition et la Société, pour garantir l’équité dans le traitement de toutes les questions consécutives à la répartition des postes durant cette période charnière au cours de laquelle, tous les efforts doivent être déployés pour remettre le processus politique sur les rails de l’embellie et offrir ainsi aux congolais, la possibilité de choisir leurs futurs dirigeants, lors des joutes électorales, dans les échéances consensuellement tracées et convenues, sous la barbe des Evêques et l’œil inquisiteur de la communauté internationale.<br /> <br /> LPM<br /> <br /> <br /> <br /> République Démocratique du Congo<br /> <br /> MAJORITE PRESIDENTIELLE «M.P»<br /> <br /> SECRETARIAT GENERAL<br /> <br /> COMMUNIQUE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE<br /> <br /> La Majorité Présidentielle salue la reprise, ce 18 janvier 2017, des échanges directs au Centre Interdiocésain de Kinshasa comme l’expression commune de la volonté de la Majorité et de l’Opposition de mener à bonne fin le dialogue convoqué par le Chef de l’Etat pour l’intérêt majeur de notre Démocratie et du Peuple Congolais dans le respect intégral de la Constitution en vigueur dans notre Pays.<br /> <br /> Il est ainsi entendu que toutes les prérogatives constitutionnelles reconnues au Président KABILA en tant que Chef de l’Etat jouent et doivent jouer pleinement.<br /> <br /> Dans cet ordre d’idées, et conformément à la pratique en la matière, le Rassemblement est tenu de présenter au moins 5 noms de personnalités candidates au Poste de Premier Ministre pour lui permettre de désigner en toute prérogative et en toute sérénité, la personnalité à nommer à ce poste et appelée à être son premier et principal collaborateur.<br /> <br /> Cette exigence est conforme à la rationalité politique qui reconnaît au Chef de l’Etat, le droit de refuser et donc, de désigner un Premier Ministre, selon le pouvoir discrétionnaire qui lui est reconnu.<br /> <br /> Ceci est de pratique constante depuis la naissance de la 3ème République.<br /> <br /> La Majorité Présidentielle appelle, par ailleurs, le Président du Comité des Sages du Rassemblement à peser de tout son poids au sein de l’Opposition pour épargner au Peuple Congolais et au processus électoral en cours, les désagréments d’une crise de toute évidence voulue et planifiée au risque d’anéantir tous les espoirs suscités au sein des populations congolaises par l’Accord de la Saint Sylvestre en remettant inutilement en cause la compétence du pouvoir législatif que nous nous sommes tous engagés à reconnaître à travers et par le respect intégral de la Constitution.<br /> <br /> La Majorité Présidentielle regrette, pour le dénoncer, le manque d’esprit d’ouverture et de bonne foi dans le chef de l’Opposition politique à l’occasion du débat en cours sur le Conseil Chargé du Suivi de l’Accord de la Saint Sylvestre.<br /> <br /> Contrairement à l’engagement solennel de toutes les parties prenantes de respecter la Constitution dans son intégralité et dans le but évident de fausser le jeu démocratique en contournant les lois en la matière, l’Opposition politique présente des propositions qui ignorent superbement les pertinentes dispositions de la Constitution qui classifient la classe politique en Majorité et Opposition, en se présentant en ordre dispersé pour exiger 24 postes sur les 28 du Conseil National à pourvoir, ne laissant à la Majorité que 4 postes.<br /> <br /> Autant dire qu’il s’agit d’un coup d’Etat contre la Majorité Présidentielle minorisée à dessein et par cynique calcul.<br /> <br /> Cette attitude de provocation est inacceptable et constitue la preuve évidente de la volonté de l’Opposition de susciter une atmosphère factice de crise en bloquant la progression normale des travaux dans le but de réaliser son dessein de chaos et d’instaurer un régime d’exception.<br /> <br /> La Majorité Présidentielle en appelle à la conscience républicaine de chaque partie prenante et au respect intégral et non discriminatoire de la Constitution pour éviter à notre Peuple, la désespérante perspective d’un avenir incertain et maudit que certains prophètes, mieux, artisans des malheurs leur promettent.<br /> <br /> Soucieuse du respect scrupuleux de la légalité et de la sauvegarde de la paix sociale, la Majorité Présidentielle convie toutes les parties prenantes à revenir à la nomenclature constitutionnelle reconnue, à savoir, la Majorité Présidentielle, l’Opposition et la Société Civile.<br /> <br /> Tel est le seul critère valable à même de garantir l’équité de traitement entre les parties prenantes et la bonne foi des débats.<br /> <br /> Fait à Kinshasa, le 19 Janvier 2017<br /> <br /> Ambassadeur André-Alain ATUNDU LIONGO<br /> <br /> Porte-Parole <br /> <br /> <br />

Politique Va-t-on vers la rupture ? RDC : la Majorité lance un dernier cri à Etienne Tshisekedi !

*Phagocytées et enchevêtrées dans le marigot ‘’politicien’’ congolais, les discussions directes engagées autour de la CENCO, depuis le 18...

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RDC : L'Ouganda admet que des ex-rebelles congolais se sont échappés d'une de ses bases (AFP)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2YZP5hqdDrq5PnMtp5c60Jup372m5tBDQrlmAat65rRP_a7WGhL4Rp_50RkCO9HYaSo7ApfVOj32hKHrzAcxTQPgQFVmrXpjnQ7gZouBgJha78ikoNEoUWVTGmuBl0qu8tjKt4Cdufqa0/s1600/Snapshot_7427.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2YZP5hqdDrq5PnMtp5c60Jup372m5tBDQrlmAat65rRP_a7WGhL4Rp_50RkCO9HYaSo7ApfVOj32hKHrzAcxTQPgQFVmrXpjnQ7gZouBgJha78ikoNEoUWVTGmuBl0qu8tjKt4Cdufqa0/s400/Snapshot_7427.jpeg" width="400" /></a></div>Le gouvernement ougandais a admis jeudi avoir perdu la trace de 40 rebelles congolais s'étant échappés d'une base militaire ougandaise dans laquelle ils étaient cantonnés depuis 2014, tandis que 101 autres ont été arrêtés alors qu'ils tentaient de rejoindre la République démocratique du Congo (RDC).<br /> <br /> Plus tôt cette semaine, l'Ouganda avait pourtant nié que des ex-rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) s'étaient échappés de la base de Bihanga (ouest, près de la frontière congolaise). Kinshasa avait affirmé dimanche qu'au moins 200 d'entre eux avaient pénétré en RDC depuis l'Ouganda et investi une localité du Nord-Kivu (est de la RDC).<br /> <br /> Le M23 est un ancien groupe rebelle à dominante tutsi ayant fui la RDC après avoir été défait fin 2013 par l'armée congolaise. Plusieurs centaines de ses membres avaient alors trouvé refuge en Ouganda, où ils ont été cantonnés dans la base militaire de Bihanga.<br /> <br /> Le porte-parole du gouvernement ougandais, Ofwono Opondo, a indiqué jeudi dans un communiqué que certains ex-rebelles "ont furtivement quitté" la base, et que "le lieu où ils se trouvent actuellement est inconnu".<br /> <br /> "La nuit passée, la sécurité ougandaise a intercepté quatre véhicules à Mbarara transportant 101 anciens combattants du M23 en chemin vers la République démocratique du Congo", a par ailleurs affirmé la même source. "Ces 101 (anciens combattants, ndlr) suivaient un autre groupe de 40 dont nous avons découvert qu'ils s'étaient échappés il y a sept jours".<br /> <br /> M. Opondo n'a pas précisé quand les autorités ougandaises se sont rendu compte de la disparition des 40 ex-rebelles.<br /> <br /> Dernier mouvement des rébellions à dominante tutsi soutenues par le Rwanda et l'Ouganda dans l'est de la RDC, le M23 avait été défait en novembre 2013 par l'armée congolaise, appuyée par les Casques bleus de la mission de l'ONU en RDC (Monusco), après dix-huit mois de guérilla au Nord-Kivu.<br /> <br /> Des centaines de ses combattants ont alors fui vers l'Ouganda et le Rwanda. Après les évasions de cette semaine, quelque 270 ex-rebelles se trouvent encore à Bihanga, selon M. Opondo.<div>  <br /> <br /> Le porte-parole a également nié toute implication ougandaise dans l'évasion des ex-rebelles et ajouté que son pays ne soutient aucun mouvement armé visant à déstabiliser la RDC.<br /> <br /> Les autorités congolaises accusent elles régulièrement le Rwanda et l'Ouganda d'avoir laissé "ces criminels (les ex-rebelles du M23) circuler librement" sur leur territoire alors qu'ils devraient être selon elles jugés.<div style="background-color: white; box-sizing: border-box; color: #333333; font-family: "Droid Sans", sans-serif; font-size: 14px;"><strong style="box-sizing: border-box;">AFP.</strong></div><br /> </div>

la Nation Province sécurité RDC : L'Ouganda admet que des ex-rebelles congolais se sont échappés d'une de ses bases (AFP)

Le gouvernement ougandais a admis jeudi avoir perdu la trace de 40 rebelles congolais s'étant échappés d'une base militaire ougandai...

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Florent Ibenge se méfie des Eléphants de la Côte d’Ivoire

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiypnAvEhGqvBWv9YBibCDqcdqVZRnSVC5kCsk_zSpJXyl3p_dM6eYkwRe8jp4DhhacB41T4llwiC3EhDoaayjH4yhyphenhyphenF9dQiV1Q6FxIU5Nu-NBs0CsjwYgqLU6OiGR0_H2vedNeEQjERPoP/s1600/Snapshot_7426.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiypnAvEhGqvBWv9YBibCDqcdqVZRnSVC5kCsk_zSpJXyl3p_dM6eYkwRe8jp4DhhacB41T4llwiC3EhDoaayjH4yhyphenhyphenF9dQiV1Q6FxIU5Nu-NBs0CsjwYgqLU6OiGR0_H2vedNeEQjERPoP/s400/Snapshot_7426.jpeg" width="400" /></a></div> <br /><br />L'équipe nationale de la République démocratique du Congo pourra se qualifier pour les quarts de la CAN si elle bat la Côte d'Ivoire «redoutable» a dit le sélectionneur des Léopards Florent.<br /><br /><br /><br /><br />Florent Ibenge a prévenu jeudi que si la Côte d’Ivoire, son prochain adversaire vendredi lors de la CAN 2017, «est moins glamour» sans la présence de Yaya Touré ou Gervinho, elle «reste redoutable», en dépit de son entrée en lice poussive contre le Togo (0-0).<br /><br />«On l’a vu contre la France en match amical (0-0), c’est une équipe qui ne perd pas. Cela montre sa solidité. On attend une motivation extrême de leur part», a-t-il ajouté.<br /><br />Premiers du groupe C grâce à leur victoire contre le Maroc (1-0), les « Léopards » peuvent déjà se qualifier pour les quarts en cas de succès face aux « Eléphants », qui les avaient battu lors demi-finale de la CAN 2015. Mais ils seront privés de Fabrice N’Sakala et Gabriel Zakuani, blessés contre le Maroc, et de Joyce Lomalisa, suspendu.<br /><br />Les Léopards de la RDC sera face à la Côte d’Ivoire le vendredi 20 janvier pour son second match du groupe C pour cette compétition CAN Gabon 2017 au stade Oyem.

Sport Florent Ibenge se méfie des Eléphants de la Côte d’Ivoire

L'équipe nationale de la République démocratique du Congo pourra se qualifier pour les quarts de la CAN si elle bat la Côte d'Ivo...

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RDC: MAJORITÉ ET RASSEMBLEMENT EN DÉSACCORD SUR LE MODE DE DÉSIGNATION DU PREMIER MINISTRE

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZUpWPGyq7YPbI3OajOC49BGyg_fB6PADtajXi91diFxLddwsNKPXqotLeWm2wOW27UR3LFIYeMknPKkocTXEhTIXsdQuos-wHjHGWvmVcJAR3YoISYByzeWVN8h2wLteadRf4LbAosiwO/s1600/Snapshot_1202.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="203" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZUpWPGyq7YPbI3OajOC49BGyg_fB6PADtajXi91diFxLddwsNKPXqotLeWm2wOW27UR3LFIYeMknPKkocTXEhTIXsdQuos-wHjHGWvmVcJAR3YoISYByzeWVN8h2wLteadRf4LbAosiwO/s400/Snapshot_1202.jpeg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Après une pause de deux jours imposée par la célébration les 16 et 17 janvier de la mort de deux héros nationaux, à savoir Laurent-Désiré Kabila et Patrice-Emery Lumumba, les négociations reprennent ce mercredi pour dégager les grandes lignes en vue de la mise en application de l’Accord conclu le 31 décembre 2016.<br /><br />Pour l’instant, les discussions achoppent sur plusieurs points, dont les modalités de désignation du Premier ministre, censé, selon cet accord, provenir du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement.<br /><br />Des sources proches de la Cenco rapportent que la Majorité présidentielle et le Rassemblement ne s’accordent toujours pas à propos du mode de nomination du prochain Premier ministre. Ces divergences risquent de bloquer des discussions, qui se sont poursuivis en informel, et qui doivent reprendre officiellement ce mercredi.<br /><br />La plénière sur l’arrangement particulier découlant de l’Accord du 31 décembre 2016 reprend ce mercredi 18 janvier dans un climat presque tendu. Les différentes parties prenantes avaient déjà déposé leurs contributions, notamment sur le format, la composition, la nomenclature du prochain gouvernement ainsi que le mode de désignation du prochain Premier ministre.<br /><br />Malgré la trêve de quatre jours, des contacts entre délégués ont été assurés, certes, sans succès. Les divergences persistent sur le mode de désignation du futur Premier ministre. Le Rassemblement s’en tient au texte de l’Accord qui stipule : « Le gouvernement de la République est dirigé par le Premier ministre présenté par l’Opposition non signataire de l’accord du 18 octobre 2016/Rassemblement et nommé par le président de la République conformément à l’article 78 de la Constitution ».</span><div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Pour sa part, la Majorité présidentielle souhaite que le Rassemblement propose sept noms au président de la République qui devra user de son pouvoir discrétionnaire.<br /><br /> <br /><br />Dans le camp de Samy Badibanga, on soutient le maintien de l’actuel Premier ministre tout en proposant l’élargissement du gouvernement à une soixantaine de membres. Ce qui s’écarte des dispositions prévues dans l’Accord du 31 décembre 2016 qui indique clairement que le Premier ministre de la transition est proposé par le Rassemblement, plate-forme politique formé autour d’Etienne Tshisekedi. Samy Badibanga ne faisant pas partie de ce regroupement, on le voit très mal prétendre à ce poste</span></div>

la Nation Politique RDC: MAJORITÉ ET RASSEMBLEMENT EN DÉSACCORD SUR LE MODE DE DÉSIGNATION DU PREMIER MINISTRE

Après une pause de deux jours imposée par la célébration les 16 et 17 janvier de la mort de deux héros nationaux, à savoir Laurent-Désiré ...

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DÉCRISPATION : LES AVOCATS DE MOÏSE KATUMBI ENTENDUS PAR LA CENCO

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhtsuHXvLFKWH6HyCfpr0Sb_R1Q26cZgBLFNMud-9HAdv0qH2E-ZWJ0jxeyxX7-uKJR5odghzvQE6gOBRprEi4GNBrKnJz3vTYf5McKvP-jYrLjoQwwxchb96PXOAvaHu3Z9VZag0zya-q/s1600/Snapshot_1201.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="262" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhtsuHXvLFKWH6HyCfpr0Sb_R1Q26cZgBLFNMud-9HAdv0qH2E-ZWJ0jxeyxX7-uKJR5odghzvQE6gOBRprEi4GNBrKnJz3vTYf5McKvP-jYrLjoQwwxchb96PXOAvaHu3Z9VZag0zya-q/s400/Snapshot_1201.jpeg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />« Toutes les questions ont été posées lors des auditions », explique une source proche de la hiérarchie de l’église catholique. Les prélats se sont faits une idée sur le dossier. Les avocats du candidat G7 à la présidentielle ont cloué le grec Stoupis. « Le dossier de l’immeuble ne serait qu’un grossier montage pour l’écarter de la course à la présidentielle ».<br /><br />Que ça soit l’affaire des mercenaires ou celle de l’immeuble, tout est faux, le dossier est vide. « Aucune preuve en dehors des machinations politiques », tranche d’un ton sévère un avocat.<br /><br />Les évêques ont compris beaucoup de choses, souligne un cadre de premier rang de l’Alternance pour la République, une des plateformes électorales soutenant la candidature de Moïse Katumbi.<br /><br />Mais devant la presse, Mgr Fridolin Ambongo s’est contenté d’indiquer que les évêques, ont écouté les avocats de Katumbi. « Ce que nous avons fait jusque maintenant, c’est d’écouter les avocats de Moïse Katumbi », a-t-il déclaré.<br /><br />L’évêque de Mbandaka- Bikoro a précisé que pour la deuxième phase, la Cenco s’adressera à qui de droit. « Nous nous adresserons à qui de droit pour lui communiquer les éléments du dossier pour que nous puissions, à partir de là, savoir ce que nous pouvons faire », a assuré le vice-président de la Conférence épiscopale nationale du Congo. A qui de droit, c’est au président Kabila. « C’est lui et lui seul qui devra trancher ».<br /><br />La communauté internationale compte intensifier la pression pour que le pouvoir mette fin aux poursuites et condamnations politico-judiciaires. Par ailleurs, l’Eglise catholique, qui pilote les négociations directes, a affirmé que la commission des magistrats mise en place pour examiner les dossiers des autres prisonniers politiques, sera convoquée dans les tout prochains jours pour être entendue. </span><div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <div> <span style="font-size: large;">7sur7</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div>

Justice Politique DÉCRISPATION : LES AVOCATS DE MOÏSE KATUMBI ENTENDUS PAR LA CENCO

« Toutes les questions ont été posées lors des auditions », explique une source proche de la hiérarchie de l’église catholique. Les prélat...

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Les parties prenantes aux discussions directes appelées au respect des prérogatives constitutionnelles

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhesFx1fs6SYlMZxG5fyRg6_yh4Gy4Dw6xVWIzTMNxT2-8GMKe16lEe5dKyNAof9Pd_o7a07Riak-zLmvTMTYdO5df40Ivet3yFqdrEtS80PZ95cf2odVLQX1RsXTkXNhob_owg23arnzoz/s1600/Snapshot_1200.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="301" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhesFx1fs6SYlMZxG5fyRg6_yh4Gy4Dw6xVWIzTMNxT2-8GMKe16lEe5dKyNAof9Pd_o7a07Riak-zLmvTMTYdO5df40Ivet3yFqdrEtS80PZ95cf2odVLQX1RsXTkXNhob_owg23arnzoz/s400/Snapshot_1200.jpeg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br /> La Majorité présidentielle (MP) appelle les parties prenantes aux discussions directes du Centre interdiocésain de Kinshasa, au respect de toutes les prérogatives constitutionnelles reconnues au Président Joseph Kabila en tant que Chef de l’Etat, a déclaré jeudi, le porte-parole de la MP, André-Alain Atundu Liongo, au cours d’une conférence de presse, à son siège. « Toutes les prérogatives constitutionnelles reconnues au Président Kabila en tant que Chef de l’Etat jouent et doivent jouer pleinement », a-t-il indiqué, soulignant que le Rassemblement est tenu de présenter au Président de la République au moins cinq noms de personnalités candidates au poste de Premier ministre pour lui permettre de désigner en toute prérogative et en toute sérénité la personnalité à nommer à ce poste.</span><div> <span style="font-size: large;"><br />Pour le porte-parole de la MP, cette exigence est conforme à la rationalité politique qui reconnait au Chef de l’Etat le droit de refuser et donc de désigner un Premier ministre selon le pouvoir discrétionnaire qui lui est reconnu, précisant que ceci est une pratique constante depuis la naissance de la 3ème République. La MP appelle, par ailleurs, le président du Comité des sages du Rassemblement à peser de tout son poids au sein de l’opposition pour épargner au peuple congolais et au processus électoral en cours les désagréments d’une crise de toute évidence voulue et planifiée au risque d’anéantir tous les espoirs suscités au sein des populations congolaises par l’accord de la Saint Sylvestre.<br /><br />Elle dénonce le manque d’esprit d’ouverture et de bonne foi dans le chef de l’opposition politique à l’occasion du débat en cours sur le Conseil chargé de suivi de l’accord du 31 décembre. Contrairement à l’engagement solennel de toutes les parties prenantes de respecter la Constitution dans son intégralité et dans le but évident de fausser le jeu démocratique en contournant les lois en la matière, a déclaré M. Atundu, l’opposition politique présente des propositions qui ignorent superbement les pertinentes dispositions de la Constitution qui classifient la classe politique en Majorité et Opposition, se présentant en ordre dispersé pour exiger 24 postes sur les 28 du Conseil national à pourvoir ne laissant à la Majorité que 4.<br /><br />Cette attitude de provocation est inacceptable et constitue la preuve évidente de la volonté de l’opposition de susciter une atmosphère factice de crise en bloquant la progression normale des travaux dans le but de réaliser son dessein de chaos et d’instaurer un régime d’exception.<br /><br />La MP exhorte les parties prenantes à la conscience républicaine, au respect intégral et non discriminatoire de la Constitution pour éviter au peuple congolais la désespérante perspective d’un avenir incertain. « Soucieuse du respect scrupuleux de la légalité et de la sauvegarde de la paix sociale, la MP convie toutes les parties prenantes à revenir à la nomenclature constitutionnelle reconnue à savoir, la majorité, l’opposition et la société civile, a dit André-Alain Atundu, soulignant que tel est le seul critère valable à même de garantir l’équité de traitement entre les parties et la bonne foi des débats. </span></div>

Politique Les parties prenantes aux discussions directes appelées au respect des prérogatives constitutionnelles

La Majorité présidentielle (MP) appelle les parties prenantes aux discussions directes du Centre interdiocésain de Kinshasa, au respect d...

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Denis Sassou- Nguesso confère avec le Premier ministre Samy Badibanga

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3zRiGV_XgZdVX7D2-nJKLFMykpa88Tv7LT9btoLym9vppJ_aY5LFPcHlshdtvPHzB9TcmS-6O4lJBIYGpOmZYVdNd1W2QSNQ2Ct-g1RRSV7gP-f6i5fudcPnCkBxl1IaqBP4Vy1vj7A0-/s1600/Snapshot_1199.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3zRiGV_XgZdVX7D2-nJKLFMykpa88Tv7LT9btoLym9vppJ_aY5LFPcHlshdtvPHzB9TcmS-6O4lJBIYGpOmZYVdNd1W2QSNQ2Ct-g1RRSV7gP-f6i5fudcPnCkBxl1IaqBP4Vy1vj7A0-/s400/Snapshot_1199.jpeg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Le Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a échangé jeudi, dans les appartements du Kempesky Fleuve Congo Hôtel, avec le Premier ministre et chef du gouvernement Samy Badibanga Ntita, sur les questions politiques de l’heure.</span><br /> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span> <br /> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Les deux personnalités ont notamment évoqué les accords du 18 octobre à la Cité de l’Union africaine et du 31 décembre 2016 au Centre interdiocésains de kinshasa en relevant l’opportunité d’une solution d’équilibre et d’équité qui tienne compte de toutes les composantes en place.«On espère tous qu’en définitive il y aura une solution, un compromis équilibré pour permettre à toutes les composantes et toutes les forces politiques d’accorder leurs violons, et d’aller ainsi aux élections dans l’apaisement», a confié le Premier ministre à la presse.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Le Président congolais, rappelle-t-on, est arrivé jeudi à Kinshasa pour compatir et réconforter son conseiller spécial Dominique Okemba qui a perdu sa belle mère.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> La CENCO annonce la fin des concertations pour ce week-end</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Le Premier ministre Samy Badibanga Ntita a, par ailleurs, reçu en audience, dans son cabinet, une délégation de la CENCO conduite par son président, Mgr Marcel Utembi, venu lui faire le rapport de l’évolution des pourparlers du Centre interdiocésain. La visite des prélats à la Primature s’inscrit entre autres dans le cadre des bons offices que les évêques continuent à mener auprès des uns et des autres pour conduire à bon port les concertations politiques en cours.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Le porte-parole de la CENCO, Mr l’Abbé Donatien Shole, qui s’est confié à la presse a laissé entendre que les évêques souhaitent que les concertations prennent fin ce week-end, mais cela dépend plus des politiciens. Il a précisé qu’ils ont laissé le temps aux parties prenantes de se donner des passerelles, reconnaissant certes que certaines choses sont difficiles à gérer dans une plénière.</span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> </span></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /> <br /> Mr.l’abbé Shole a cependant assuré que les parties prenantes vont se retrouver vendredi pour donner leurs rapports aux évêques en vue de finaliser les choses. En réponse à une question en rapport avec l’UDPS qui demande à son délégué de démissionner de la CENI, les évêques rejettent la responsabilité aux acteurs politiques, disant que la CENCO n’a fait que favoriser l’écoute des uns et des autres, parce qu’elle sait à quoi elle s'est engagée.</span><br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <span style="font-size: large;"></span></div> </div> </div>

la Nation Politique Denis Sassou- Nguesso confère avec le Premier ministre Samy Badibanga

Le Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a échangé jeudi, dans les appartements du Kempesky Fleuve Congo Hôtel, ave...

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Le ministre des sports ,Willy BAKONGA, ne veut rien rater des Léopards aux entraînements ( Photos)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2w0eB_kSEwJfDqr1uCKLrU-XUO5xwYU-1IcflUFnl5B-OF_5G6jWEJfWihSgInayAoUdqWr5PdLUKPuzFcNF5UQoz24dJpbQ3BO9Hz-JcI5L4GnmChkhHhXHRbfGcXB4njvVvDmsx24S1/s1600/Snapshot_7418.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2w0eB_kSEwJfDqr1uCKLrU-XUO5xwYU-1IcflUFnl5B-OF_5G6jWEJfWihSgInayAoUdqWr5PdLUKPuzFcNF5UQoz24dJpbQ3BO9Hz-JcI5L4GnmChkhHhXHRbfGcXB4njvVvDmsx24S1/s400/Snapshot_7418.jpeg" width="400" /></a></div> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKtfFIeyiWSBVsSHnmXkEWPUOe38trh3gUv_0AyKn7gE7ABH2vLHFPcqntAqnnwHnIBn94Ol1PABK9LKQhJ4vYGgqMfqTyy781MuS5uKojUp7pfVenDcAeqrNsQOBE_X-ZI0raS9aAkrig/s1600/Snapshot_7416.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKtfFIeyiWSBVsSHnmXkEWPUOe38trh3gUv_0AyKn7gE7ABH2vLHFPcqntAqnnwHnIBn94Ol1PABK9LKQhJ4vYGgqMfqTyy781MuS5uKojUp7pfVenDcAeqrNsQOBE_X-ZI0raS9aAkrig/s400/Snapshot_7416.jpeg" width="400" /></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9w_hpRmZVgS2cVhIN1Pu4ZLIMu1SgRJcToQh97yk53ZAqvA942SzQebPAwqnyL4ZQbi7ZQaZzjOndzAtu8CmzVKHyQfYQrN7tumXHUqcR8oqqGjz4KyPPCL_LqQxZFi1umvPtWcPTGc6n/s1600/Snapshot_7417.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9w_hpRmZVgS2cVhIN1Pu4ZLIMu1SgRJcToQh97yk53ZAqvA942SzQebPAwqnyL4ZQbi7ZQaZzjOndzAtu8CmzVKHyQfYQrN7tumXHUqcR8oqqGjz4KyPPCL_LqQxZFi1umvPtWcPTGc6n/s400/Snapshot_7417.jpeg" width="400" /></a><br /> <br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZhaiyBHPkvI6tmnp8bPeA4_baCsr2df2MJCvXtF6J5fbgpodPK3eG8fbsaji1NhzrVhwjeZ2TQ_Mw5MaSwFFiJjNd2C-8xSslHvd3UJgGQG-7iU8AC1cTR3B1vo2wewU98OH7n_3h8b03/s1600/Snapshot_7419.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZhaiyBHPkvI6tmnp8bPeA4_baCsr2df2MJCvXtF6J5fbgpodPK3eG8fbsaji1NhzrVhwjeZ2TQ_Mw5MaSwFFiJjNd2C-8xSslHvd3UJgGQG-7iU8AC1cTR3B1vo2wewU98OH7n_3h8b03/s400/Snapshot_7419.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJG78OgB5hASKFLVePIAUTBqNjrH3mpBVLA4qDUsXFkjFmO_q-62-1NL022HM_lO9d34let07DLclJ-kygdONh10rSnTjXRqYtXTTusJ7MBEvLb5nqkJN2w-q-mE9facVWZ943asfqN-m9/s1600/Snapshot_7421.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJG78OgB5hASKFLVePIAUTBqNjrH3mpBVLA4qDUsXFkjFmO_q-62-1NL022HM_lO9d34let07DLclJ-kygdONh10rSnTjXRqYtXTTusJ7MBEvLb5nqkJN2w-q-mE9facVWZ943asfqN-m9/s400/Snapshot_7421.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4Xr9cmudr_2uHzmoYjQ1ksy43eRv_ehj7F-DfVJwUu2YcgcEqPwLhfjuNERN7k9Jf6GEGmGkr8AdxFgmr14amuNhzfK48P1EJ1TDMJTePf2jFXDdzRurvzqUCX5uXXPp1qt_p5cmtuwMa/s1600/Snapshot_7422.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4Xr9cmudr_2uHzmoYjQ1ksy43eRv_ehj7F-DfVJwUu2YcgcEqPwLhfjuNERN7k9Jf6GEGmGkr8AdxFgmr14amuNhzfK48P1EJ1TDMJTePf2jFXDdzRurvzqUCX5uXXPp1qt_p5cmtuwMa/s400/Snapshot_7422.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioYHdip7grYSO2rJvC2kanyfe9wyXgZanoYqnpyAVaAhtTwXIrmw6Q3OQ1XHjKExaqE6muFh1qhMSMsCVktudFQxW5tQidrKPvOlBZmKZp_3L_jhMdBjfOt7GwnGfKvKjCCsGscBEeCM95/s1600/Snapshot_7423.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEioYHdip7grYSO2rJvC2kanyfe9wyXgZanoYqnpyAVaAhtTwXIrmw6Q3OQ1XHjKExaqE6muFh1qhMSMsCVktudFQxW5tQidrKPvOlBZmKZp_3L_jhMdBjfOt7GwnGfKvKjCCsGscBEeCM95/s400/Snapshot_7423.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-J5wmmTpa3UUsjaH9cAoPFhklJSflwrSot3N7-4RiME7i3vp4p-H0lIbsfQueDt_6iu6ucadbiF1F9MsOANSzNfArl9O9RnHpJTzCsgEa4aCJCV16-kTeZ1MLdEOo4t6FC70vYanZAlhN/s1600/Snapshot_7424.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj-J5wmmTpa3UUsjaH9cAoPFhklJSflwrSot3N7-4RiME7i3vp4p-H0lIbsfQueDt_6iu6ucadbiF1F9MsOANSzNfArl9O9RnHpJTzCsgEa4aCJCV16-kTeZ1MLdEOo4t6FC70vYanZAlhN/s400/Snapshot_7424.jpeg" width="400" /></a></div> <br />

la Nation Sport Le ministre des sports ,Willy BAKONGA, ne veut rien rater des Léopards aux entraînements ( Photos)

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Négociations directes : Denis Sassou Nguesso appelle la CENCO à la patience

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1M8tflA5-9pcWuomozQqxdhbXy703Hj4I5CTpEDtO5EdTE1p3Ysv-JxgIQX6sXUhu55pgPuF0zitk54FH-ORc1SvWR6Z0Iq5pAirrWT7qgWUbumrHThH0hcU0tSRQOfR6wNH0aHfGN-9H/s1600/Snapshot_1198.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="285" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1M8tflA5-9pcWuomozQqxdhbXy703Hj4I5CTpEDtO5EdTE1p3Ysv-JxgIQX6sXUhu55pgPuF0zitk54FH-ORc1SvWR6Z0Iq5pAirrWT7qgWUbumrHThH0hcU0tSRQOfR6wNH0aHfGN-9H/s400/Snapshot_1198.jpeg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a invité les évêques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) à la patience et au calme afin que les négociations directes qui regroupent les signataires et non signataires de l'accord du 18 octobre trouvent des compromis sur des questions qui les divisent.<br /><br /><br />« Le président Denis Sassou Nguesso a comparé le travail des évêques comme celui d’un barreur qui est en train d’accoster. Il doit faire toutes les manoeuvres pour bien accoster. Il nous a invité au calme et à la patience », a rapporté, jeudi 19 janvier, le secrétaire général intérimaire de la CENCO, l’Abbé Donatien Nshole, à l’issue des échanges entre les évêques et le président Sassou à Kinshasa.<br /><br /><br />Selon l’Abbé Donatien Nshole, Denis Sassou Nguesso a voulu s’enquérir de l’évolution des bons offices que mènent les évêques.<br /><br /><br />Il a qualifié cette médiation de « dernier rempart et la CENCO d’une digue qui ne doit pas céder ».<br /><br /><br />Les évêques pensent que c’est possible que les travaux prennent fin samedi 21 janvier, a assuré l’Abbé Donation Nshole.<br /><br /><br />« Les politiciens sont en train de travailler en commission et nous espérons que nous ferons plaisir demain en vous amenant un travail avancé », a ajouté le prélat catholique.<br /><br /><br />La CENCO a fait savoir aux parties prenantes qu’<a href="http://www.radiookapi.net/2017/01/19/actualite/politique/rdc-la-cenco-compte-boucler-sa-mission-au-plus-tard-le-21-janvier">elle comptait boucler sa mission au plus tard le 21 janvier prochain</a>. Les participants aux travaux de l’arrangement particulier sont divisés sur plusieurs questions entre la répartition des responsabilités gouvernementales, du processus électoral, ainsi que la composition et la répartition des postes au sein du Conseil national du suivi de l’accord.</span>

Politique Négociations directes : Denis Sassou Nguesso appelle la CENCO à la patience

Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a invité les évêques de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) ...

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