Non aux dérapages et aux actes de vandalisme : Les finalistes appelés au bon sens par le Général Célestin Kaniama (article + vidéo)

*C’est aujourd’hui, jeudi 26 juin 2014, que les finalistes du secondaire terminent les épreuves des examens d’Etat. Ce, sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo.

Quatre jours durant, près de 600 mille bleus-blanc ont affronté toutes les matières inscrites, selon le calendrier de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel. Il s’agit, entre autres, de la culture générale, Sciences, cours d’option, et de l’Anglais et Français. Très souvent, lors du dernier jour, l’on observe un certain dérapage de la part des finalistes. Les uns déchirent les uniformes, tandis que les autres consomment excessivement de la boisson alcoolique. Et, dans des pires d’hypothèses, quelques-uns passent des nuits entières dans des boîtes de nuit et, même, dans des hôtels. Fort de ces constats malheureux menés, dans les années antérieures, les élèves, espoir de demain, devraient, en principe, agir en toute responsabilité et refuser de ternir l’image de l’enseignement national congolais.


Par ailleurs, en dehors de l’éducation ou de la formation des écoles, les parents sont, par la même occasion, appelés à veiller à ce que leurs enfants ne commettent pas d’actes de vandalisme. De ce fait, ils ont, non seulement l’obligation de les éduquer. Mais aussi, de leur donner une éducation diffuse de qualité pour leur intérioriser des valeurs morales.

Dans sa mission principale de protéger la population et ses biens, la Police Nationale Congolaise n’acceptera jamais qu’il puisse y avoir de dérapage. A Kinshasa, les poulains du Général Célestin Kanyama veilleront pour que l’ordre public ne soit pas troublé. Pour ce faire, ils accompliront en bonne et due forme, leur mission. Les finalistes doivent savoir que le fait de finir les études humanitaires n’est pas la fin du monde. Par contre, ce n’est qu’une étape qui prépare une autre. Ils devront prochainement choisir les différentes filières, cette fois-là, dans différentes Universités de la République Démocratique du Congo ou d’ailleurs. L’appel à la maturité est donc lancé.

Kevin Inan