C’est hier dimanche, 28 septembre 2014, que le Chef de l’Etat, Joseph Kabila, a foulé le sol congolais, après un passage réussi à New York, aux Etats-Unis d’Amérique, où il a participé à la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies.



Son discours prononcé, à l’occasion, a été suivi avec attention, en ce qu’il a épinglé trois fléaux qui menacent l’humanité : le terrorisme, la résurgence de la maladie à virus Ebola et de nombreuses atteintes à la paix en divers endroits de la planète. Mais, auparavant, Kabila a participé à la 4ème réunion de haut niveau sur l’évaluation de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Les résultats ont été qu’il y a eu des avancées significatives dans l’application de ce texte. Mais, il a été demandé à Kinshasa, de fournir des efforts pour la paix dans la région des Grands Lacs.

Réclamation du dialogue

Alors qu’il est de retour, Kabila devra faire face à une kyrielle de récriminations venant de l’opposition politique, de la société civile et des forces vives de la nation. Déjà le samedi dernier, une marche a été organisée dans les grandes artères de la capitale.  En toile de fond, les manifestants ont réclamé le dialogue sans exclusif, pour éviter au pays de sombrer dans la crise. Il en est de même des élections que l’on voudrait voir la CENi organiser après publication d’un calendrier global et non partiel. Va-t-il répondre à ces préoccupations, lui qui n’y a pas fait allusion dans son allocution aux Nations Unies ? Toute la question est là.

G.L.
Le direct
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