
Certains de ces constructeurs ont déclaré être des déplacés de guerre en provenance de territoires de Kalehe, Mwenga et Shabunda ne disposant pas de sous pour faire face aux frais de loyer. Ces constructions sont actuellement à la base des catastrophes naturelles que la ville de Bukavu ne cesse d’enregistrer en cette saison pluvieuse, rappelle-t-on.