
A propos des élections, ce professeur a indiqué qu’il n’y a pas de date fixe à laquelle les élections doivent être organisées. Nous devons prendre tous les facteurs pouvant permettre qu’il y ait de bonnes élections. Que celles-ci ne puissent pas donner droit à des contestations comme ce fut le cas en 2006 et en 2011. Le peuple doit absolument se reconnaitre en des échéances électorales à venir. M. Toussaint Tshilombo a souligné qu’organiser les élections n’est pas aisé qu’on le croit. C’est du réel, pas de fiction. Si non, ce serait un échec. Selon la Constitution du pays, on ne peut pas exclure les nouveaux majeurs pour les empêcher d’accomplir leur devoir civique, de peur qu’ils constituent un bloc et attaquent le processus en question. Le tout sera annulé. Donc, ça sera une peine perdue. En conclusion, dit-il, ‘‘c’est une occasion pour nous de la majorité présidentielle de prouver notre bonne foi, en organisant de la plus belle manière les élections tant voulues par tout le monde’’.
Jimmy Biata