À voir le nombre d'élections programmées sur le continent africain, si les musiciens congolais managent bien, ils pourront aisément se faire du fric sur le dos des candidats présidents, surtout si ceux-ci sont des Présidents sortants qui ne comptent pas leurs sous.
Problème, quand ils chantent pour un camp, ils s'aliènent le public du camp adverse. La roue de l'histoire n'étant jamais statique, nos musiciens devraient aussi penser à gérer plus tard les effets pervers de leur affairisme.
CDB