Ancien ministre des zones économiques au Congo, Alain Akouala et Vital Kamerhe, président du parti Union nationale pour le Congo (RDC)
Ancien ministre des zones économiques au Congo, Alain Akouala et Vital Kamerhe, président du parti Union nationale pour le Congo (RDC)
Plus rien ne va entre les autorités de Brazzaville et Vital Kamerhe, président de l’Union pour la Nation Congolaise, parti politique de la République Démocratique du Congo. Le premier à réagir au propos de monsieur Kamerhe est l’ancien ministre des zones économiques au Congo, Alain Akouala.
En effet, monsieur Kamerhe a choisi de prendre également ces distances avec le Président Denis Sassou Nguesso. Lors de son passage au journal de la chaîne française TV5 Monde, Vital Kamerhe a invité le président Sassou à préparer son départ.
« Ce que je peux dire au Président Denis Sassou Nguesso qui est un sage africain, comme on a l’habitude de le dire, c’est de se ressaisir et de comprendre qu’il y a aucune arme qui peut vaincre la volonté d’un peuple qui est déterminé à prendre son destin entre ses mains. Le mandat qu’il vient d’avoir, je ne sais pas comment ça va se passer, qu’il puisse préparer tranquillement son départ. Je pense que ça sera pour le bien des peuples du Congo-Brazzaville, et ça sera aussi pour le bien de toute l’Afrique. Et nous lui en serons reconnaissant. » dit Vital Kamerhe.
Contacté par Oeil d’Afrique, Alain Akouala dit ne pas être surpris par les propos de « l’ancien collaborateur de Joseph Kabila. » Puis de rajouter: « Kamhere dont on connaît l’addiction médiatique tient des propos qui révèlent ses limites d’Homme d’état! On peut se demander si Kamerhe n’a pas d’autres ambitions que d’être un éternel opposants. » s’interroge monsieur Akouala.
Le premier soutien du Président congolais dénonce les liens cachés de monsieur Kamerhe. « Il est important que Vital Kamerhe comprenne que l’Afrique est rentrée dans l’ère de l’auto détermination. Nous ne sommes plus à l’époque ou pour arriver aux affaires, il fallait devenir une caisse de résonance de certain lobbys. » dit l’ancien ministre.
Une manière pour Alain Akouala de voler au secours du Président Sassou Nguesso dont la réélection à la tête du Congo le 20 mars dernier, est fortement contester par l’opposition qui se dénoncer une tricherie.
icibrazza.com

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