"Ceci est grave", dit l'un des avocats de l'ancien gouverneur du Katanga, "sans attester de la véracité des propos contenus dans le journal (LE SOFT INTERNATIONAL), que nous venons de lire, il y a violation manifeste du secret de l'instruction".
Maitre Jean-Joseph Mukendi rappelle un principe du droit selon lequel l'accusé est présumé innocent tant que sa culpabilité n'est pas établie par la justice.