‘‘L’union fait la force, dit-on’’. ‘‘Le dialogue est la voie de la paix‘’. Ces deux adages font mouche à l’UDCO. Les membres fondateurs et co-fondateurs du parti cher à JC Masangu, comprenant bien la profondeur de ces dictons, ont rassemblé leur force comme un seul homme, afin de gagner le pari de multiples enjeux de l’heure qui défraient la chronique dans toute l’étendue du pays. Point n’est besoin de rancune quant au choix rationnel du camarade Jean-Claude Masangu à la tête de cette formation politique chère à Baudouin Banza Mukalay.La reconnaissance et l’acceptation de l’autre comme voie du changement, ce sont là des mots pathétiques et laconiques du Vice-président de ce parti. André Moke Sanza loue, par ailleurs, les qualités de JC Masangu. Rappelant de prime à bord le contexte de son choix, il invite d’autres partis à se servir de modèles de la démocratie.
« D’abord, il faut rappeler que l’UDCO est un parti national et démocratique. Notre camarade Jean-Claude Masangu a été élu Président National à l’issue d’un congrès qui s’est tenu à Lubumbashi, après les obsèques de notre défunt Président National, Banza Mukalay. Aujourd’hui, c’était son investiture, il fallait qu’on lui remette les symboles du pouvoir. …C’est pour vous dire que Jean-Claude Masangu n’est pas n’importe qui. C’est un Monsieur sur qui il faut compter dans ce pays. C’est un Haut Cadre et sa contribution va être très effective dans notre pays. C’est un Intellectuel ; il écrit ; et beaucoup de gens peuvent aussi s’inspirer de ses écrits pour la bonne marche et le développement de notre pays. Il est le continuateur de Banza Mukalay… », a souligné André Moke Sanza. De son côté, le Parlementaire Kabongo Ngoy, Membre Fondateur du parti, donne des leçons à l’opinion publique sur le choix de JC Masangu, car, ceux qui l’ont connu sous la casquette du technicien de la monnaie à la Banque Centrale du Congo, lui donne peu de chance de réussir. D’où, «Personne ne puis naître chauffeur, elle doit apprendre à conduire », a-t-il affirmé. A l’en croire, Masangu, avec son expérience très enrichie dans le domaine des finances, va facilement réaliser les grandes ambitions du parti. Quand il était encore Membre d’honneur, Masangu a beaucoup aidé le parti, surtout aux dernières heures de Banza. Sa contribution a toujours été très significative. A la question de son impression sur le discours, il estime qu’il était très pathétique car, du début à la fin, l’auditorium applaudissait incessamment. Par ailleurs, M. Jean-Marie Mukombo, oriente son invitation en vue de nouer le nœud entre membres et l’autorité morale. Ses allocutions appuient JCMM quand il promet que : «les membres de mon parti et moi-même seront dans la recherche du consensus...Malgré nos divergences, ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise. Dépassons nos propres divergences afin de jeter les jalons d’un avenir meilleur pour les générations futures, un avenir où l’homme est réellement au centre de l’action ».
Pour Jean-Marie Mukombo, les membres fondateurs, les membres co-fondateurs, les militants du parti, tous sont derrière Jean Claude Masangu.