Jean-Lucien Bussa s’est illustré par la manipulation et les actes d’indiscipline caractérisés, qui violent les principes et les valeurs inscrits dans le Contrat de confiance signés par tous les membres de cette plate-forme en date du 16 janvier 2015.
Cette décision, qui pourrait être portée à la connaissance du public dans les heures qui suivent, porterait sur l’exclusion imminente du parti politique dénommé CDER et de son président Jean-Lucien Bussa, avec conséquence de ne pas agir pour le compte de la Dynamique, avec interdiction de participer aux travaux du regroupement.
Il lui est reproché d’avoir violé deux principes de la Dynamique de l’opposition, à savoir le principe 3 » relatif à l’engagement à ne jamais trahir l’unité de l’opposition par cupidité ou élan de repositionnement » et le principe 7 lié » à l’obligation de ne point se servir de la Dynamique à des fins personnelles » sans oublier » les valeurs démocratiques et morales édictées par la Dynamique telles que l’unité de l’opposition, l’honnêteté, la sincérité, la solidarité et la rédévabilité « .
Les agissements de Jean Lucien Bussa et de son parti politique ont été au préalable mal dénoncés et condamnés par écrit le 15 juillet par les personnalités de sa plateforme dénommée Front des démocrates siégeant au Comité de stratégie de la Dynamique. C’est au nom du Front des démocrates qu’il est allé rencontrer Edem Kodjo.
A la Dynamique de l’opposition, il se constate des personnalités qui ne parlent pas le même langage après le Conclave de Genval. Vont-elles subir la même rigueur ? L’avenir nous le dira


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