Joseph Olengakoy s’attaque à tous ses collègues de la Dynamique de l’Opposition qui à force d’intrigues en tout genre a fini par perdre sa vitalité. La faute selon bon nombre d’observateurs au président du Fonus qui non content d’avoir réussi à faire adhérer la Dynamique au Rassemblement, a commencé à vilipendé ses partenaires. Vital Kamerhe a été le premier à faire les frais de l’ex ministre du Transport. Il a été dis de lui qu’il «travaille pour Kabila» alors que l’ex président de l’assemblée nationale a été le plus cohérent dans le combat contre toute modification de la constitution. À part le président de l’UNC, Olengakoy s’en est pris aussi à Jean Lucien Bussa. Il a jeté le discrédit sur lui en prétendant l’avoir exclu de la Dynamique alors qu’il n’en a pas le pouvoir. La rencontre entre Bussa et le facilitateur a provoqué l’ire de Olengakoy. Il se répand en diffamation contre ses partenaires de l’Opposition qui peuvent objectivement lui faire ombrage.Trop c’est trop, le président du CDER et porte-parole de la plateforme FDE a décidé de porter plainte contre le trublion Olengakoy. Par ses avocats, l’ex président du groupe parlementaire MLC et alliés, a demandé au procureur de la République une réquisition d’infos (Lire la lettre ci-dessous). Plus que jamais, la Dynamique est divisée en deux cas. UNC, MLC et CDR ( majoritaires), d’un côté, contre le reste des sociétaires de cette plateforme. Selon un observateur, Olengakoy se donne toute cette peine pour espérer dégoter une place au Dialogue afin d’espérer un poste ministériel dans l’éventualité d’un nouveau gouvernement. Son poids politique étant négligeable il a fait un calcul simple, apporter la Dynamique à Tshisekedi avec son Rassemblement pour espérer une récompense. Mais ce schéma a été battu en brèche par le MLC, l’UNC et le CDER notamment. Oui à l’unité d’action mais non s’il s’agit de se fondre dans le Rassemblement. La Dynamique a peut-être vécue avec cette crise qui n’en finit pas. D’ailleurs chaque parti qui la compose a été reçue individuellement par Edem Kodjo. (Lettre Bussa ci-dessous)