RDC : KYUNGU demande pardon à «KABILA» ?
La présence prolongée de « Kabila » dans la province du cuivre vise à colmater les brèches et à stopper les effets nocifs du faux bond que son associé Moïse Katumbi est entrain de tenter de lui faire sous pression des Belges et des Américains. Déjà depuis Kinshasa, Kanambe avait entrepris le travail de sape pour démolir le fragile bloc de l’opposition qui s’était constitué à Genval autour d’Etienne Tshisekedi. Des voix se sont élevées au sein même des parties politiques dont les représentants à la conférence de Genval se sont vus contestés le mandat de prendre un quelconque engagement politique à l’issue des travaux de Genval. Alors que ce travail de démolition se poursuit à Kinshasa, « Kabila » a mis à profit la proximité de sa présence à Lubumbashi pour frapper le grand coup. Une source bien placée nous a informés du message de menace que « KABILA » a adressé, par un émissaire interposé, à Gabriel KYUNGU : «Sachez que si vous me trahissez, avant que je quitte la RDC, je me suis fait le serment solennel de régler d’abord votre compte». Le lendemain, Gabriel KYUNGU a choisi la voie du Redoc/ANR à Lubumbashi pour lui demander de dire au « Raïs » : «Pardonnez-nous pour tout malentendu et soyez tranquille ! Nous ne vous trahirons pas. Nous sommes avec Tshisekedi pour mieux le surveiller » (sic!) Kanambe n’a pas commenté le message-réponse de Kyungu. Pourquoi ? N’a-t-il pas cru à son allié instable ? La suite des événements nous le dira certainement. Mais ceci permet aux patriotes congolais de mesurer l’instabilité, l’inconstance et l’immoralité de la classe politique congolaise qui mettent en péril l’avenir même de tout un peuple.
Messe noire du staff du Tutsi-power à Gisenyi autour de Paul Kagame dans la nuit du samedi 25 juin 2016
Depuis samedi 25 juin au soir, les réseaux de la résistance à Goma ont été alertés par la présence du staff rwandais qui dirige l’occupation en RDC : « Joseph Kabila », Azarias Ruberwa, James Kabarebe, Bizima Karaha et Moïse Nyarugabo. « Kabila » venait d’arriver à Goma en provenance de Lubumbashi via Kalemie où il a fait sa stupide déclaration concernant l’organisation des élections en RD Congo. Un tel rassemblement des caciques tutsis ne pouvait que présager une rencontre de haut niveau avec la tête pensante du Tutsi-power lui-même : Paul Kagame qui, en pareille circonstance, se trouvait bel et bien dans les parages, probablement à Gisenyi, la ville rwandaise voisine de Goma.
Effectivement, nos hommes qui surveillaient le terrain ont réalisé que ce samedi à partir de 19 heures, tous les Congolais étaient exceptionnellement interdits de traverser la frontière pour se rendre à Gisenyi. Signe que le « patron » de la RDC s’y trouvait bien! Les milieux du Tutsi-power sont sérieusement agités par l’incertitude de la position de leur cheval de Troie, «Joseph Kabila», dont le navire prend l’eau de toute part et qui tient mordicus à se cramponner à son poste et à ses avantages, au risque de compromettre les intérêts supérieurs du Tutsi-power dans son ensemble. Cette situation préoccupe au plus haut point Paul Kagame, parce qu’elle divise même les membres influents du Tutsi-power dont certains se montrent des fervents défenseurs du fils d’Adrien Kanambe pour des avantages qu’il leur a accordés.
Certaines indiscrétions laissent entendre que Paul Kagame envisagent de proposer au staff du Tusti-power d’accélérer le processus de création d’une République du Volcan à partir de la province du Kivu pour anticiper toute la turbulence que provoquerait le plan de changement des Américains en RDC. Le Rwanda devrait profiter, selon Kagamé, du flottement que provoquera le changement de pouvoir aux Etats-Unis pour frapper un grand coup et marquer un pas décisif du processus de la balkanisation de la RD Congo. L’APARECO donnera plus d’informations sur les dessous de cette messe noire très prochainement. A suivre …
«Kabila» prépare l’accueil à Lubumbashi des troupes namibiennes expertes en guérilla urbaine
Il n’y a que l’élite compradore de la classe politique congolaise qui continue de croire que le pouvoir d’occupation tutsi-rwandaise incarné par Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila leur offrira la voie royale de récupérer la souveraineté de la RDC confisquée par ces expansionnistes depuis plus de vingt ans aujourd’hui ! Pendant que les politiciens congolais proclament naïvement à Genval en Belgique qu’ils chasseront «calmement » (entendez par les élections) Kanambe du pouvoir, ils sont loin de s’imaginer que l’imposteur rwandais et ses frères tutsis expansionnistes et hégémonistes continuent, eux, de préparer voir d’accélérer l’apocalypse pour écraser toute velléité patriotique du peuple congolais de stopper leur processus d’occupation et de balkanisation de la RD Congo.
Depuis plus d’une semaine, «Kabila» a élu domicile dans sa ferme au Katanga où il a reçu les gouverneurs des provinces pour leur donner argent et consigne en vue d’étouffer dans l’œuf toute manifestation de protestation ou de soulèvement du peuple congolais contre le passage en force qu’il se prépare à opérer pour s’éterniser au pouvoir à la tête de la RD Congo. C’est dans cet objectif précis qu’il s’est rendu dans la province du Katanga pour réunir toutes les conditions de discrétion devant entourer l’arrivée dans cette partie de la République des troupes namibiennes spécialisées dans la guérilla. Il y a un mois, Un accord avait été conclu pour l’envoi de 3500 guérilleros namibiens en RD Congo moyennant une facture de plusieurs centaines de millions de dollars. Ces guerriers seront répartis en deux groupes. Le premier opérera sur l’axe Kamina Lubumbashi tandis que le second opérera à Kinshasa, Bandundu et Matadi avec pour objectif d’enrayer tous les foyers civils et militaires de résistance ou de soulèvement de la part de l’armée ou du peuple congolais. Mais « Kabila » oublie un détail technique important : on ne peut mener efficacement une guérilla urbaine que si l’on maîtrise bien la géographie du terrain et si l’on bénéficie du soutien et de la complicité de la population locale. Les malheureuses expériences américaines au Vietnam et dernièrement en Somalie devraient lui servir de référence !
Gabriel Kyungu demande pardon à «Kabila» et lui promet : «nous sommes là pour surveiller Etienne Tshisekedi»
La deuxième raison de la présence prolongée de « Kabila » dans la province du cuivre vise aussi à colmater les brèches et à stopper les effets nocifs du faux bond que son associé Moïse Katumbi est entrain de tenter de lui faire sous pression des Belges et des Américains. Déjà depuis Kinshasa, Kanambe avait entrepris le travail de sape pour démolir le fragile bloc de l’opposition qui s’était constitué à Genval autour d’Etienne Tshisekedi. Des voix se sont élevées au sein même des parties politiques dont les représentants à la conférence de Genval se sont vus contestés le mandat de prendre un quelconque engagement politique à l’issue des travaux de Genval.
Alors que ce travail de démolition se poursuit à Kinshasa, « Kabila » a mis à profit la proximité de sa présence à Lubumbashi pour frapper le grand coup. Une source bien placée nous a informés du message de menace que « KABILA » a adressé, par un émissaire interposé, à Gabriel KYUNGU : «Sachez que si vous me trahissez, avant que je quitte la RDC, je me suis fait le serment solennel de régler d’abord votre compte». Le lendemain, Gabriel KYUNGU a choisi la voie du Redoc/ANR à Lubumbashi pour lui demander de dire au « Raïs » : «Pardonnez-nous pour tout malentendu et soyez tranquille ! Nous ne vous trahirons pas. Nous sommes avec Tshisekedi pour mieux le surveiller » (sic!) Kanambe n’a pas commenté le message-réponse de Kyungu. Pourquoi ? N’a-t-il pas cru à son allié instable ? La suite des événements nous le dira certainement. Mais ceci permet aux patriotes congolais de mesurer l’instabilité, l’inconstance et l’immoralité de la classe politique congolaise qui mettent en péril l’avenir même de tout un peuple.
Les Etats-Unis préparent un faux soulèvement populaire pour placer leur marionnette et celle des multinationales à la tête de la RD Congo
Dans la longue série d’interviews qu’il vient d’accorder aux médias patriotiques à Berlin les 5 et 6 juin dernier, le président de l’APARECO, Monsieur Honoré Ngbanda a stigmatisé avec insistance le double jeu des Etats-Unis qui consiste à instrumentaliser les hommes politiques congolais pour déstabiliser le pouvoir en place, soit disant en faveur du peuple congolais. Mais quand arrive le moment fatidique de choisir les nouveaux dirigeants, Washington sort toujours des Jokers cachés qui sont souvent leurs propres marionnettes, pour les imposer au sommet des institutions. En 1990, la troïka (France-Etats-Unis et Belgique) s’est servi de l’Union Sacrée de l’opposition radicale (USOR) et lui a déversé les opportunistes «mobutistes» qui venaient de quitter le bateau-MPR. Mais lorsque vint le moment de choisir un Premier Ministre, Washington imposa à un Mobutu affaibli Léon Kengo Wa Dondo, fidèle serviteur du Fond monétaire International (FMI), de Bretton Woods et des Multinationales occidentales. En 1996, rebelote, les Etats-Unis qui s’étaient servi abondamment de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi pour affaiblir Mobutu ont sorti un illustre inconnu des fermes de l’Ouganda pour le placer à la tête de la RD Congo.
Voilà qu’aujourd’hui, au moment où les mêmes lobbies américains et belges font semblant de mobiliser les marionnettes de la prétendue opposition politique congolaise autour d’Etienne Tshisekedi, les experts de la C.I.A., eux, préparent activement les jeunes activistes congolais de la Société civile, de LUCHA et de FILIMBI pour lancer au mois de septembre prochain, un simulacre de soulèvement populaire qui leur permettra de placer à la tête de la RDC durant leur transition, un autre illustre inconnu du peuple congolais, un certain MATUNGULU, sorti de leur moule à marionnettes : le FMI ! Et pourtant, le représentant des Etats-Unis était bel et bien présent dans le Conclave de Genval ! Il n’y a que la classe politique congolaise et une certaine élite congolaise qui ne comprennent pas encore que la souveraineté d’un peuple ne se gère pas par procuration. Il n’y a que le peuple congolais seul qui devra assumer l’exercice de sa souveraineté. Et non un quelconque club de «décideurs» à partir des capitales occidentales.
«Joseph Kabila» a fêté à Lubumbashi avec ses affidés la condamnation de J-P Bemba à 18 ans de prison
La condamnation de Jean-Pierre Bemba a été accueillie avec un grand soulagement dans l’entourage proche de «Kabila» et par lui-même. L’homme redoutait une éventuelle décision de relâche de son rival de 2006 dont la sortie aurait compliqué l’équation déjà insoluble de fin de règne. Des «envoyés spéciaux» de «Kabila» à La Haye redoutaient en effet la surprise des dernières minutes malgré des garanties qu’ils avaient reçu de leurs «hommes» au sein de la CPI. Ainsi, la nouvelle de la condamnation fut très rapidement communiqué au «raïs» qui demanda à ses affidés de le rejoindre discrètement à Lubumbashi pour arroser l’événement !
Malheur et honte à ces naïfs congolais qui pensaient et continuent toujours de penser que leurs bourreaux se repentiront et deviendront, on ne sait par quel miracle, leurs libérateurs !
L’incendie de la SOZACOM n’est pas d’origine criminelle
L’incendie qui s’est déclenché dernièrement dans l’immeuble SOZACOM à Kinshasa, sur le Boulevard du 30 juin, a fait couler beaucoup d’encre à Kinshasa comme au sein de la diaspora congolaise. Le fait que l’appartement de la trafiquante Janet « Kabila » aurait été ravagé, d’aucuns y ont vu une action volontaire visant à saboter l’immeuble ou à toucher physiquement une cible.
L’œil du Patriote a pu joindre un haut responsable chargé de la sécurité dans le secteur. En tant que patriote lui-même, il a tenu à nous confirmer que cet incident est dû à l’état très défectueux du service technique de la SNEL. L’état vétuste du matériel datant de l’époque de la 2e République fait que la tension provoque ça et là des explosions d’ampoules et des appareils électriques. Dans le cas de SOZACOM, la tension a fait sauter des fusibles dont les étincelles ont mis le feu dans le local.
Quelles qu’en soient les causes, pour nous, ces tensions qui provoquent de l’incendie dans les locaux des occupants constituent un signe indien pour eux !
Paris, le 26 Juin 2016
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE