Peut-être que les États-Unis ont compris qu’il est impossible que la présidentielle se tienne en 2016. Le secrétaire d’État américain a indiqué dans un tweet que les élections ne doivent pas dépasser 2017. Le chef de la diplomatie américaine sait bien qu’ il est difficile de tenir lelection koprésidentielle cette année. En réaliste, il a osé le dire publiquement. Et quand Kerry affiche clairement cette position, c’est donc la communauté internationale qui a tranché. Une année de plus pour Kabila mais pas plus. Une année pour assurer uniquement l’organisation de l’élection présidentielle,n les législatives nationales et provinciales. C’est aussi la position de l’église catholique et d’une partie de l’opposition participant au dialogue. « Logiquement, l’opposition radicale doit maintenir la pression pour obtenir la parole d’honneur du président Kabila qu’il ne se représentera pas », explique un spécialiste des relations internationales. Pour un diplomate aficain en poste à Washington, John Kerry comme tous les autres décideurs du monde insistent sur un dialogue inclusif parce que l’expertise électorale de la francophonie les a convaincu sur l’impossibilité d’organiser les élections dans le délai. Ils croient que le dialogue, c’est le seul moyen pacifique pour obtenir le départ de Kabila. Jamais, ils ne peuvent cautionner une transition plus longue qui va l’éterniser au pouvoir. Il est normal pour éviter la violence qu’ils négocient la sortie de Kabila par le dialogue, rapoelle le diplomate. Maintenant, la bonne foi de Kabila va jouer sil ne veut pas s’attirer la foudre. Déjà que Hollande a haussé le ton. Il faut savoir faire une bonne lecture de la situation avant que l’histoire ne te conjugue au passé.
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