Alors qu’Aain Juppé est le grand favori de la primaire de la droite française, Nicolas Sarkozy continu de faire campagne pour combler son retard. Vendredi 07 octobre, il est exprimé sur sa politique en Afrique, où il souhaite « poser les bases d’un gigantesque plan Marshall de développement du continent. ».

Concernant la situation en République démocratique du Congo, il soutient la position de l’actuel président François Hollande, qui a dénoncé des « exactions venant de l’Etat congolais lui-même« , toute en appelant au « Dialogue » et au « respect de la Constitution« .

« Ce qui se passe en RDC n’est pas admissible (…) Il y a une Constitution : que chacun la respecte ! Et s’ils veulent en changer, ça doit se faire dans des conditions démocratiques« , déclaré l’ancien président français.

Moïse Katumbi: « Nous donnons la dernière chance au Président de revenir à la raison »
« Il se trouve que le président Kabila a fait deux mandats et que la Constitution prévoit qu’il ne peut pas en faire un troisième. Il ne prend même pas la peine de modifier la Constitution, il repousse simplement la date des élections ce que personne ne peut considérer comme normal, sachant qu’il s’agit d’un pays considérable qui doit faire entre 80 et 100 millions d’habitants. J’avais dit au président Tandja du Niger que, s’il faisait ça, ça serait une catastrophe et ça l’a été. Je l’avais également dit au président Compaoré de ne pas le faire…« , comment-il.

Nicolas Sarkozy qui a visité Kinshasa en mars 2009 alors qu’il était en fonction, pense par ailleurs qu’il faut « urgemment définir le statut des anciens chefs d’Etat » en Afrique

« L’une des choses les plus importantes pour l’Afrique est de définir urgemment ce que pourrait être le statut des anciens chefs d’Etat« , propose-t-il.
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