
Parlant aux journalistes dans la capitale tanzanienne Dar Es Salaam, il a aussi dit que le retard s’explique par la volonté de ne pas mettre à l’écart un grand nombre de personnes, pour la plupart des jeunes électeurs (nouveaux majeurs).
Pour rappel, Corneille Nangaa, président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a saisi la Cour constitutionnelle pour le report de la présidentielle prévue en novembre 2016. Par ailleurs, à la plénière du Dialogue politique national, M. Nangaa avait déclaré que les trois élections combinées (présidentielle, législatives nationales et provinciales) ne pourront se tenir qu’en 2018, soit 504 jours après la fin de la constitution du fichier électoral.
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