Ça se chuchote de bouche à l'oreille au sein de l'ensemble de l'opposition. "Nous avons évité à notre pays un soulèvement populaire pour chasser Kabila, à la fin de son mandat", renseigne un opposant. D'indiquer : "nous avons pris en compte les conseils venant de nos partenaires internationaux, en acceptant de dialoguer avec Kabila pour empêcher le chaos chez-nous". C'est dans la convivialité et en toute sportivité avec un esprit tout à fait patriotique, explique l'opposant :"que nous avons accepter que Kabila reste au pouvoir jusqu'à la venue du président issu des prochaines élections".


Par conséquent, dit l' opposant :"nous avons renoncé à l'utilisation de l'article 64 de notre constitution, avec espoir que Kabila s'engagera à respecter l'accord inclusif". Cependant, renchérit l'opposant :"nous avons comme l'impression que Kabila traîne les pas, en voulant bloquer la mise en œuvre de cet accord, pour profiter de la situation de blocage pour prolonger son séjour au-delà de décembre 2017". Et de poursuivre : "nous n'accepterons pas ces méthodes entretenues par un président illégal et illégitime, que nous avons accepté par le fait d'un compromis politique".





De poursuivre encore et encore : "si jamais Kabila et son groupe continuent avec ces manœuvres, nous n'hésiteront pas à activer la rue le 16 février prochain. Nous en avons les moyens". Toutes les forces de l'opposition, explique-t-il, le Rassemblement et le MLC, voir même l'UNC s'organiseront pour rétablir l'ordre constitutionnel.
c-NEWS

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