La rencontre entre Félix Tshisekedi et Joseph Olenghankoy, prévue samedi 18 mars au Centre Interdiocésain, à l’initiative de l’Episcopat catholique pour réconcilier les deux ailes du Rassemblement, n’a pas eu lieu. Les deux personnalités n’ont simplement pas effectué le déplacement au Centre Interdiocésain. Le secrétaire général et porte-parole de la CENCO, Abbé Donatien Nshole, a confié que ce face à face est renvoyé à ce lundi 20 mars.

On explique que l’initiative des évêques catholiques pour réconcilier les frères ennemis a été très appréciée. Mais avec le recul, le penchant de la médiation pour le camp Félix Tshisekedi aurait refroidi Olenghankoy, le leader du Rassemblement aile Enseignement. Ce dernier a élevé la voix contre " l’empressement injustifié des évêques à déclarer Félix Tshisekedi chef du Rassemblement et seul interlocuteur valable à leurs yeux."
Pour Joseph Olenghankoy, la préférence de la médiation, ouvertement exprimée pour Pétunias, n’a pas résolu le problème lié à la restructuration précipitée de cette méga plateforme, lequel à ses yeux, reste entier. Le président des FONUS tient à sa posture si aucune solution n’est trouvée. En un mot comme en cent, le consensus doit être de mise.
Félix Tshisekedi serait optimiste quant à un probable compromis sur la question. Le nouveau leader du Rassemblement adoubé par la CENCO prêche l’unité et la cohésion au sein du regroupement genvaliste. En animal politique, Olenghankoy pourrait bien être tenté de maintenir cette position qui lui permettrait de négocier, en temps opportun, comme une entité à part. La médiation n’a qu’à bien se tenir.
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