Présentement dans la Ville-Province de Kinshasa, Capitale de la RDC, plusieurs Flats Hôtels et Bars dépravent les mœurs de la jeunesse congolaise. Les jeunes s’adonnent, les yeux fermés, aux passions qui, bien que plaisantes, les éloignent peu-à-peu des réalités de la vie active. A savoir, leurs études et les perspectives du lendemain. Et, dans un relâchement total dans les délices de la chair, ils courent le risque d’attraper des maladies qui peuvent nuire à leur santé et causer la mort, dans les pires des cas.


Depuis un certain temps, des communes comme Lemba, Limete, Matete et Bandalungwa sont considérées comme des pools incontournables de l’ambiance dans la chaude capitale du Congo-Kinshasa. Elles sont, ainsi, connues pour les nombreux établissements, hauts lieux de la détente, qui attirent sérieusement des kinois qui proviennent de toutes les contrées de Kinshasa.

 Ces Terrasses et Bars vibrent tous les jours et nuits dont beaucoup à côté, curieusement, des églises sensées être des endroits saints où la prière est dite à Dieu. ‘’Les Terrasses, Hôtels, Bars et autres maisons de passe dit kuzu sont exposés partout, même là où il ne faut pas. Ils contribuent à la destruction massive de la jeunesse congolaise par des mauvaises chansons qu’ils balancent du début à la fin de leurs activités. 

Il y a notamment, des opus comme Kata Mfumbwa, Tsha Nanu Boyé, Ekoti Té et la liste continue‘’, signale un intellectuel interviewé. Outre l’obscénité des chansons, il faut ajouter l’influence de ces tubes à l’accoutrement tant des garçons que des filles. ‘’ L’habillement et les danses sont insupportables ‘’, dixit un kinois qui s’est confié. Dans tout ce décor peu, alors très peu glorieux, il y a une invitation solennelle à la débauche. Et, visiblement, l’appel trouve une réponse favorable de la part des amoureux du vin, du Whisky, évidemment, de la bière, c’est selon. Quand ce n’est pas les filles de maison, comprendre celle qui vivent chez leurs parents, qui se livrent aux plaisirs de la chair avec leurs compagnons, c’est les filles de joie, les professionnels du sexe, qui exposent leur marchandise pour une consommation rapide dans un style emprunté à Las-Vegas, ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas.

 C’est pour dire que tout se passe dans le mode ni vu, ni connu. Quant aux lieux où l’acte, celle de la consommation, se fait, les choix sont aussi variés que divers. A la place des hôtels classes dont les tarifs sont parfois élevés, les kinois noctambules et fêtards utilisent ce qui est communément appelé Kuzu : des Hôtels de bas étage où la passe se fait à maudite somme. 

Par ailleurs, quand les moyens font défaut ou que l’envie se fait pressante, autant dire en clair que tunnel, station d’essence ou même au pire des cas, des toilettes font l’affaire avec juste un 500 ou un 1000 FC à filer si pas au gardien des lieux, à l’homme en uniforme qui y veille. Pourtant, malheureusement, ce mode de vie est très périlleux. C’est ici l’interpellation tant aux jeunes, à leurs parents qu’aux autorités congolaises. Chacun doit prendre ses responsabilités.
LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top