Deux médias internationaux se sont distingués dans une propagande anti Kamerhe. Il s’agit de La Libre Belgique et de Jeune Afrique, relayés par un groupe des médias périphériques.
De ce fait, Jeune Afrique est là pour le public africain, notamment les décideurs et l’élite intellectuelle sur le continent noir.
Réputé aussi pour ses articles commandés par le plus offrant, ce magazine est au service de toute cause et toute personnalité qui a de quoi payer.
Ses plus grands lecteurs font partie de la minorité bourgeoise qui a de quoi acheter,en ligne ou en papier, cette revue aux couvertures glacées.
Quant à la Libre Belgique, son rôle consiste à salir l’image du seul candidat potentiel qui pourrait déranger les calculs de milieux d’affaires belges proches de Katumbi.
Objectif de cette propagande en perspective des échéances électorales à venir, certains adversaires de Vital Kamerhe ont choisi de lancer prématurément leur campagne, mais grossièrement orientée contre l’image de celui qu’ils redoutent de par son poids politique, son dynamisme, les structures bien ancrées de son parti UNC dans le pays entier et à travers les différents continents.
La manœuvre n’a qu’un but: Détruire son image et lui ôter toute crédibilité auprès de différents publics bien ciblés.
Au-delà de cette campagne, l’opinion s’interroge sur cette fixation sur un seul homme qui de plus en plus prend les allures du fameux Sphinx, plusieurs fois annoncé « mort-politique », finit toujours par ressusciter et resplendir, au grand dam de ses détracteurs, faisant du coup la joie et le bonheur de ses nombreux soutiens et sympathisants en RDC.
« On ne jete des pierres qu’à un arbre qui porte des fruits »
Aussi, Jeune Afrique, que nous remercions en passant, a montré finalement à la face du monde la popularité de Vital Kamerhe avec cette belle image du stade Afya de Goma. Le Fils du terroir y parlant de l’enrôlement devant une foule compacte de sympathisants. Cet article a aussi prouvé que c’est le seul politicien congolais qui croit fermement aux élections, pendant que son client milliardaire dans le pays le plus pauvre du monde, supplie Kabila pour nommer son homme à la primature.
Le peuple congolais sait ce qu’il veut et va scruter à la loupe toutes les visions des prétendants au trône.
Celle de VK, Vital Kamerhe, est connue: « Un Congo fort, prospère et stable au coeur de l’Afrique comme locomotive et moteur de l’émergence africaine. »
Il l’a d’ailleurs brillamment défendue au 6e forum de TANA en Éthiopie » fin avril 2017.
Ngato Mokoko
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