*Il se veut disciple du Maréchal Mobutu Sese Seko. Simon N’simba M’Vuedi, dans une sorte de profession de foi, ressasse les œuvres du Guide Timonier, dresse le bilan et rappelle sa pensée sur l’ensemble de la nation congolaise. En âme et conscience, l’actuel Président National du MPR/Fait Privé retient de Mobutu, les qualités d’un gestionnaire vertueux, le ton et le regard d’un dirigeant patenté d’un Grand pays au cœur de l’Afrique. Loin de lui vouer un culte, Simon N’simba, quoique conscient de défis, demeure, cependant, convaincu que la RD. Congo aura perdu l’un des ses meilleurs fils, un homme aux talents pointus, un homme d’exception. Il le dit, ici, dans un vibrant message adressé à tous ceux qui, contre vents et marées, sont restés fidèles aux idéaux de ce parti et aux vœux de son géniteur consistant à œuvrer à jamais pour l’unité du pays, la prospérité et le bien-être de tous les congolais et, surtout, la dignité et la crédibilité de la RD. Congo dans le concert des nations. Au carrefour des échanges, la RD. Congo l’a été à bien des titres. Tout comme elle fut à l’épicentre en tant qu’un des trois pôles reconnus pour le développement de l’Afrique Centrale. Car, dans sa réminiscence, telle qu’elle est présentée, dans ce même message poignant à classer, outre mesure, dans le lot de témoignages indélébiles, N’simba M’Vuedi Simon tente de reconstituer l’essentiel des œuvres choisies et en fait un chapelet sans lequel la foi de ses derniers nés de l’école de l’authenticité, ne saurait connaître le moindre essor merveilleux. A tout lire, il y a bien lieu de cerner les contours de cet appel à l’éveil des consciences et de l’inscrire dans la dynamique des événements et faits marquants parmi ceux qui défraient, depuis un certain temps, la chronique de l’actualité congolaise, en cette période charnière où le pays négocie son dernier virage vers des enjeux décisifs, à l’horizon fin décembre 2017. Donc, 20 ans après, Mobutu est, certes, mort. Mais, chez les Mobutistes, les vrais alors, il est et reste vivant dans leurs cœurs. Il suffit d’y mettre le doigt dans le sens d’émettre ne serait-ce qu’un petit doute, pour se brûler et se faire rapidement exorciser. Aux incrédules de s’abstenir ! Mobutu viva au MPR/Fait Privé ! Mobutu oye ! N’simba M’Vuedi tient, très haut, la dragée jusqu’au bout. Lisez-le !

MOUVEMENT POPULAIRE DE LA REVOLUTION

(MPR) Fait Privé

Direction Politique Nationale

Le Président National

Message du 7 Septembre 2017 :

20ème Anniversaire de la mort du Maréchal MOBUTU SESE SEKO KUKU NGBENDU WAZA BANGA Joseph Désiré

Aujourd’hui 7 Septembre 2017, c’est le 20ème Anniversaire, depuis le 7 Septembre 1997, de la disparition du Maréchal MOBUTU, Ancien Président de la République Démocratique du Congo, devenue par la suite République du Zaïre ; Initiateur, Fondateur, et Premier Président National de l’organisation Politique qu’est le Mouvement Populaire de la Révolution (MPR).

Sa chrétienté de l’église Catholique Universelle, aurait conseillé la Direction Politique Nationale du M.P.R, quoique Parti laïc, de devoir organiser, en commémoration de sa mémoire, une messe des suffrages. Et ce, pour invoquer Dieu le créateur, afin qu’il lui accorde la paix éternelle, tout en le gardant à sa droite. Cependant, la méditation dans laquelle se trouve le M.P.R, en attendant le rapatriement du corps de Maréchal pousse à une attitude de recueillement.

Mieux même, Mama BOBI LADAWA MOBUTU, en communion avec l’ensemble de la famille du Maréchal MOBUTU, ont choisi d’inviter à Rabat, au Maroc, le Président National du MPR, Monsieur N’SIMBA M’VUEDI Simon et ce, à l’effet d’assister à la messe qu’ils organisent en la Cathédrale Saint Pierre à Rabat, où repose provisoirement le corps de Feu le Maréchal MOBUTU.

Provisoirement, disons-nous, car, selon les recommandations du Parlement de la R.D.C et les résolutions des concertations nationales de 2013 où le peuple était réuni en concertation, il a été instruit de rapatrier le corps du Maréchal.

Ce qui, au demeurant, rejoint, très harmonieusement, les vœux du Maréchal, lui-même, qui, de son vivant, souhaitait ardemment que le lieu définitif de sépulture de sa mort, soit inévitablement Gbadolite, Terre de ses ancêtres qu’il a vénérés, par l’exaltation de l’authenticité.

Aussi, le Président National du M.P.R, et la Direction Politique Nationale du Parti, saisissent-ils l’occasion pour remercier, très sincèrement et ce dans l’exaltation de l’esprit patriotique, Mama BOBI LADAWA, Veuve très courageuse et très digne du Maréchal MOBUTU, pour cette honorable invitation.

Dans les mêmes temps, recommandent aux milliers et milliers des Militantes et Militants du Parti ; tout autant qu’aux compatriotes et étrangers habitant la R.D.C, sympathisants du MPR et de Feu Maréchal, d’avoir une pensée pieuse dans la prière pour l’illustre disparu, partout où ils se trouvent. Puisque Dieu est partout et ce, en reconnaissance de tout le bien que le Maréchal a fait au peuple ainsi qu’aux amis du peuple.

Qu’a-t-il fait de son vivant ?

Par son génie créateur qui fit de lui un grand réformateur par rapport à la situation existante depuis le 30 juin 1960, date de l’indépendance du pays. Il instaura, pour la gestion de l’Etat, un régime militaire civil caractérisé par une gestion calamiteuse, s’agençant dans des sécessions, balkanisation du pays, des guerres fratricides, d’ignorance des droits et devoirs tant de l’Etat que des citoyens.

Va créer, contrairement au foisonnement des partis politiques du régime politique précédent, un rassemblement des forces vives de la Nation qu’il nommera Mouvement Populaire de la Révolution qui n’était ni un Parti Politique, ni un prolongement d’un parti politique existant déjà, ni même une fusion de quelques partis.

Un mouvement de masse qui a eu la vertu de canaliser les espérances du peuple au nouveau régime qui venait d’être installé depuis le 24 Novembre 1965. Mouvement révolutionnaire, guidé donc par la Révolution entendue comme adaptation successive et rationnelle des pensées et comportements. D’autant que la personne humaine tout comme la personne morale est en équilibre instable qui requiert une révolution permanente, celle qui résoud les parallèles par la convergence jusques et y compris les convergences parallèles par la convergence, Par la suite, innovera, dans l’organisation et fonctionnement des structures politiques, par la création d’un Parti Etat qui a éliminé la dichotomie Etat-Parti, et dont la doctrine fut le mobutisme. Lequel fut porteur de la volonté de créer une nation unitaire, prospère, exaltant la dignité de l’homme. Repoussant les philosophies politiques antérieures, bâtira son régime politique sur l’authenticité qui est une prise de conscience du peuple de son identité et de sa dignité. Et ce, en reprenant les noms des ancêtres ; car par le nom, le porteur du nom se replace dans la lignée de ses ancêtres.

Mû par cette philosophie d’authenticité, il changera le nom du pays de Congo en Zaïre.

Zaïre qui est une déformation latine du nom ZAIROS, lui-même étant une déformation lusitanienne du mot KIKONGO : NZADI, c’est-à-dire le fleuve.

Fleuve qui est colonne vertébrale du pays en ce qu’il unit l’Est du pays à l’Ouest en baignant le centre, Unité du pays, couvrant la cohésion nationale du peuple, dans la paix de cœur et la tranquillité des esprits. En ce faisant, il a mis fin au conflit poursuivi par les successeurs de LUMUMBA, Premier Ministre de la RDC avec l’Abbé Youlou, Président de la République du Congo-Brazzaville sur l’appropriation du nom Congo.

Car, comme le recommande la philosophie de l’authenticité qui dispose qu’en cas de conflit sur un bien entre le frère aîné et son frère cadet, de laisser la jouissance du bien au cadet, le Maréchal grand frère, laissera le nom du Congo, au commandant Marien NGOUABI, son frère cadet.

Pour ce qui est de son économicité, il créera une monnaie nationale propre dont l’unité monétaire valait 2 dollars américains ou 100 Francs belges.

Visant ainsi l’indépendance économique qui recherchait la satisfaction du besoin matériel et culturel interne du citoyen du pays, soutenue par la propension à épargner stimulée par le slogan : « Un Zaïre pour un grand Zaïre ».

Créera dans la foulée, le département du portefeuille, pour une gestion rentable et donc, bénéfique du patrimoine commercial du peuple. Tout en veillant, par la zaïrianisation, que le petit commerce fut le fait exclusif des citoyens du pays. Et se dressera en défenseur de la nature, et de la politique de santé préventive et curative.

Pour souligner davantage la cohésion du peuple, instaura une seule Université, à savoir, l’Université du Zaïre contre le foisonnement des institutions d’enseignement Universitaire où l’on a relevé que la qualité académique de l’enseignement allait decrescendo au détriment de la qualité intellectuelle de la jeunesse.

A regroupé les jeunes, jadis éparpillés dans différents regroupements, dans une seule organisation politique qui fut, à la fois, école politique et syndicale, aux fins de permettre aux jeunes de se préparer, mus par l’esprit de cohésion, à assumer sans heurts la relève des aînés.

Dédiera à la fête pour la jeunesse, son jour de naissance.

Regroupera les travailleurs dans un seul syndicat, contrairement au fourmillement du passé. Ce qui facilitera l’orientation des revendications sociales ; dédiera aux hommes la journée du 1er Août dont la matinée sera consacrée à la commémoration des ancêtres et l’après-midi à la gloire des parents.

Et ce, tout en exaltant l’amour du travail rentable et bien fait par les slogans Moto na moto abongisa ; Salongo alinga mosala.

La femme, oubliée pratiquement pendant la colonisation et le régime précédent, va être honorée par le Maréchal MOBUTU, qui exploitera avantageusement, pour la pacification et construction du pays, la sagesse, la prudence, la maturité, la rationalité de l’instinct matériel, l’appellera « Mama ». Terme très affectueux, qui la singularise mieux, quel que soit son âge ou même son statut. Et la fera accéder à toutes les responsabilités jadis occupées par les seuls mâles, jusqu’à en faire électrice et éligible. Tout en soulignant l’égalité homme-femme, sans attendre quelques influences extérieures ; Indiquera, néanmoins que l’homme restait le chef de la famille. Comme pour dire : ‘’le premier parmi les égaux’’ :

Sur le plan moral, il combattra le tribalisme en éliminant le népotisme, entre autres, par la désignation des non-originaires comme Chefs des entités régionales et dénoncera les dix fléaux qui rendaient maladroitement pernicieux le comportement Politiques du M.P.R.

En sport, il débaptisera les équipes nationales du nom de Lion pour celui de léopard.

Et ces léopards, surtout en football messieurs et basketball dames, bondiront en sursaut de champions, sur les terrains de sport en Afrique et même, en Europe jusqu’à prendre part à la phase de la coupe du monde de Football.

Instaurera le dialogue permanent comme mode de gestion de l’Etat reposant sur le débat et la contradiction ; sans en faire pour autant une légiférente comme le parlement et la constituante.

Inventera pour cela le multipartisme prudentiel à trois, contrairement au passé politique tumultueux ayant un multipartisme intégral et crapuleux.

Bâtisseur d’importantes infrastructures immobilières et industrielles comme le barrage d’Inga, producteur d’énergie hydro-électrique qui va impacter positivement l’amélioration qualitative du développement du pays.

Va substituer, dans le cadre de la coopération internationale, le terme sous- développement du Pays par sous-équipement du pays pour la modernité.

Composera un nouvel hymne national où il définira un symbole (Le tricolore), qui « nous reliera aux aïeux et à nos enfants ».

Dotera le pays d’une constitution différente de la loi fondamentale et de la constitution de Luluabourg de 1964 et qui dressera un panafricanisme d’un autre genre, où il entend défendre l’unité du continent africain pour laquelle il se fait prêt à céder même une partie du territoire. Et ce, avec l’appui d’une armée rénovée, bien équipée et très disciplinée qu’il a savamment montée.

Sa chrétienté convaincue lui fera construire la Chapelle Crypte marie la Miséricorde, dédiée à la Vierge Marie, Mère de Jésus. Mais cela, en cohabitation parfaite avec l’instauration de la laïcité de l’Etat, d’une part, et d’autre part, de la disparition de l’Evêque, primat du pays et du Nonce apostolique, Doyen du corps diplomatique. Et ce, pour différencier le pouvoir spirituel qu’organisent Saint Pierre et ses successeurs du pouvoir temporel qu’organisent César et ses successeurs.

Moralité

La Direction Politique renouvelle, à l’occasion, les remerciements des milliers et milliers des militantes et militants du M.P.R, en communion avec le peuple de la République du Congo, à la famille du Shérif HASSAN II du Maroc, en direction de qui le Maréchal disait : « j’ai avec lui des liens très profonds d’autant qu’il a démontré dans le passé qu’il est véritable ami du Zaïre » ; pour l’honneur fait au Maréchal.

Ce jour d’anniversaire, permet et autorise, aussi tout militant du MPR, et citoyen de ce pays, de se remémorer, en le configurant, le Maréchal, singulièrement de mariage MOBUTU-Peuple, qui a fait du bien et des œuvres grandioses en annihilant le sarcasme des opposants qui débitaient irrationnellement « que l’on ne mange pas la paix ». Alors qu’aujourd’hui, tous les efforts se concentrent et se ruent sur la recherche de la paix.

Car, les mariages de cœur et d’esprit, ne se dissolvent jamais, d’autant que les morts ne sont jamais morts. Confortant ainsi, les paroles du Maréchal, lui-même, lorsqu’il disait : ‘’la disparition d’un être cher n’est en réalité que la renaissance dans le monde des esprits et dans la gloire de Dieu de nos ancêtres ».

Et ceci, s’explique davantage en politique actuelle au pays où l’on a relevé que les différents et nombreux dialogues organisés, ne cherchent qu’un résultat, celui de faire disparaître l’Opposition pour ne laisser subsister que la seule majorité gouvernementale. Alors que la constitution actuelle du pays a une position contraire. C’est-à-dire qu’ainsi considéré, pour l’heure, il ne doit y avoir que la majorité présidentielle, un parlement unique, un gouvernement d’union nationale et, donc, une seule formation politique ‘’soit Rassemblement des forces politiques nationales’’.

N’est-ce pas ce que prônait le Maréchal Mobutu, à savoir :

TATA BO……….MOKO

MAMA BO……MOKO

EKOLO BO…….MOKO

PARTI BO……..MOKO

BOKONZI BO…MOKO

Et même combattu, pour l’instauration du triumvirat, il sera copié dès la conférence Nationale souveraine, par la structure politique alors adoptée, à savoir :

La famille du Chef d’Etat
La famille à laquelle n’appartient pas le Chef de l’Etat et
La société civile ;
Option relayée aujourd’hui par

Majorité présidentielle,
Opposition de la République et
Société Civile
Tenace Troïka en vérité !!! Serait-ce la Sainte Trinité !!!

D’où, nous pouvons raisonnablement et à juste titre proclamer, pour sa gestion vertueuse :

Gloire immortelle au Maréchal MOBUTU !!!

Vive la République Démocratique du Congo !

Vive le Mouvement Populaire de la Révolution (M.P.R)

Et Paix aux hommes de bonne volonté.

Pour la Direction Politique Nationale

Président National

N’SIMBA M’VUEDI Simon

Membre du Collège des Fondateurs

Enrôlé à Kalamu
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