La décision du gouvernement d’interdire à partir du 18 octobre prochain les passeports semi-biométriques ne convainc pas jusque dans son propre camp. Y compris les anciens ministres qui connaissent la maison. C’est le cas de Yves Kisombe, ancien numéro deux aux affaires étrangères.« Je demande au ministère des affaires étrangères de mon pays de retirer cette mesure illégale et impopulaire », a écrit l’ancien vice-ministre sur sa page Facebook.
Le coup de gueule de Yves Kisombe rejoint la liste d’indignations d’une grande partie des Congolais. À la découverte, samedi, du communiqué annonçant ce que beaucoup ont qualifié d’inacceptable, de nombreux détenteurs de l’ancien passeport ont exprimé leur mécontentement sur les réseaux sociaux en promettant de s’y opposer.
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