Emmanuel Ramazani Shadary invite les partis politiques touchés par le phénomène de dédoublement à saisir la justice. Il l’ a dit dans une réunion avec le CNSA ce mardi 10 octobre 2017 sur l’évaluation des mesures de décrispation politique. « Le VPM a évoqué la particularité de chaque parti politique concerné par l’Accord du point de vue politique et sur le plan juridique, notamment le MLC/L l’ARC, l’ACO, l’UNAFEC, le PDC, l’UNADEF et le MSR. Le VPM a dit être en règle avec les recommandations de l’Accord en rapportant l’arrêté pris avant lui qui enregistrait deux partis(cas du MLC et MLC/L déjà résolu par lui). S’agissant du dédoublement présumé de certains partis politiques, M. Ramazani a démontré au cas par cas et pour chaque parti l’absence des preuves juridiques d’un quelconque dédoublement. Ce, tout en mettant le CNSA à profit pour le dénouement commun de certaines questions sur le plan politique. Le ministère de l’Intérieur ne statue pas sur les conflits internes des partis politiques qui doivent être réglés devant les instances judiciaires, c’est à dire devant les cours et tribunaux», a rapporté à ACTUALITE.CD, Louis D’Or Balekelayi, conseiller en communication d’Emmanuel Ramazani Shadari qui a assisté à la réunion. C’est en prévision des travaux d’évaluation de l’Accord du 31 décembre dont le début est prévu pour ce jeudi 12 octobre, que le CNSA échange depuis la semaine dernière avec la CENI et le gouvernement.
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