* D’après plusieurs médias, le fondateur et directeur du Centre Péniel a succombé
à une opération du coeur.

Joseph Olangi N’koy U’de, fondateur et président du Centre Péniel, a tiré sa révérence en Afrique du Sud. L’annonce a été faite hier dimanche 1er octobre. La nouvelle s’est ausitôt répandue comme une trainée de poudre.
Selon nos sources basées en Afrique du sud, celui que l’on appelait affectueusement « Papa Olangi » a succombé à une intervention chirurgicale au niveau du cœur.

Cet homme de Dieu, couronné d’une auréole particulière depuis son engagement dans le combat spirituel, a marqué les milieux des Eglises de réveil du Congo par son approche sortie des sentiers battus. Depuis, le rayonnement du Combat spirituel, par la FOndation Olangi Wosho, a traversé les frontières nationales.
Mort à l’âge de 69 ans, il laisse une veuve éplorée, Maman Olangi Wosho, ainsi que sept orphelins.

LE MINISTERE DU COMBAT SPIRITUEL
Dans son fondement, le ministère du Combat spirituel entend délivrer ses adeptes des phénomènes apparaissant comme conséquences des oeuvres ou possessions démoniaques. Il s’agit de différents cas de divorce, de pauvreté, de chômage, de stérilité et de célibat. Le ministère du Combat spirituel se veut également un espace de totale rupture avec toute coutume avilissante et asservissante. D’où, le fondement du combat. Pour s’en délivrer et combattre tous les liens, le jeûne et la prière sont recommandés aux adeptes.
L’histoire renseigne que tout a commencé par l’appel de la femme vers les années 80. Le message de Élisabeth Wosho a convaincu les femmes, premières cibles de son ministère. À l’origine, la mission de « Maman Olangi » consistait à proposer des solutions aux problèmes des couples dans le cadre d’une structure créée à cet effet : la Communauté internationale des femmes messagères du Christ (CIFMC). Elle-même racontait avoir été « liée par l’esprit de divorce », un démon qu’elle avait dû combattre pour sauver son mariage. À la CIFMC, les femmes apprenaient surtout comment se tenir dans le mariage. Élisabeth Wosho a par la suite commencé à faire des voyages de prédication à l’extérieur du pays.
Convaincu de la véracité de la mission de sa femme, « Papa Olangi » a fini par la rejoindre dans le ministère. Imprégné par le message, il va devenir le fondateur et le président directeur général du Centre Peniel, considéré comme le pendant masculin de CIFMC. C’est alors que le couple commence à rayonner. Et déjà, avec sa manière de diriger le nouveau Centre, « Papa Olangi » marque les points. Les Eglises de réveil s’inspireront beaucoup de son approche dans le cadre du combat spirituel. Aujourd’hui, il est devenu quasi impossible de faire allusion au Ministre du Combat spirituel sans faire référence à cet homme qui sort par la grande porte.
Plus rien n’étonne. Que ce ministère, au départ à vocation féminine, draine autant d’hommes que de femmes. des foules à la 17ème Rue Aujourd’hui, le couple est littéralement vénéré. Ses fidèles, hommes et femmes gagnés à travers le monde, se prosternent devant lui. « À Kinshasa seulement, ils sont près de 50 000 adeptes à venir chaque dimanche suivre les enseignements du couple, sans compter ceux qui participent aux autres cultes organisés par l’Église à travers la ville », relève un observateur.
Nous reviendrons très prochainement pour les programmes. La rédaction de Forum des As présente ses condoléances les plus sincères à toute la famille Olangi et aux fidèles du ministère Combat spirituel. Zéphy VULA

L’HOMME ET SON PARCOURS
Né à Lodja le 14 août 1948, Olangi N’koy U’de est originaire de la province de Sankuru.
Avant d’embrasser la religion, il s’est formé dans les domaines profanes. En 1967, il décroche son diplôme de réussite au concours d’admission en Polytechnique de Liège en Belgique. Trois ans plus tard, soit en 1970, il obtient son diplôme de candidat ingénieur civil, toujours à Liège. En 1974, il décroche son diplôme d’ingénieur civil-physicien, cette fois-ci à Louvain. Avant d’exercer comme ministre de Dieu, Joseph Olangi N’Koy est Administrateur délégué, directeur général de BRIC International.Directeur du département Organisation et Contrôle a.i. à la SNEL du 16/01/95 au 30/08/1995.- Consultant en Gestion, Organisation, Informatique et Bureautique depuis 1988.- Directeur de l’informatique à la SNEL du 01/10/84 au 06/10/1996. Il est aussi connu comme responsable des études informatiques à la GECAMINES entre 1980 et 1984. Chargé de cours de statistiques au Cidep/Lubumbashi de 1980 à 1984, il est aussi chargé de cours d’informatique de gestion à l’Université de Lubumbashi et au Cidep de 1977 à 1984.
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