La Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco) ne souhaite pas s’exprimer au sujet de l’élection de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU. C’est ce qu’a dit Florence Marshal, porte-parole intérimaire de la Mission onusienne en RDC, lors du point de presse hebdomadaire de la Monusco ce mercredi 18 octobre 2017. «En tant que Mission de l’organisation des Nations Unies, nous n’avons pas à commenter les décisions des États membres de notre organisation. C’est l’Assemblée générale de l’ONU qui a élu la RDC avec trois autres représentants du groupe Afrique au Conseil des droits de l’homme. Donc cela n’appelle aucun commentaire de notre part. Il faut savoir faire la distinction entre les institutions et le travail de terrain. Le Conseil des droits de l’homme est un organe intergouvernemental du système des Nations unies. Il est composé de 47 États et se conseille à la responsabilité de renforcer la promotion et la protection des droits de l’homme dans le monde. Et ici, sur terrain, pour le mandat qui nous a été donné, nous poursuivons le monitoring de la situation des droits de l’homme pour constater et dénoncer les violations», a expliqué Florence Marshal, porte-parole intérimaire de la Monusco. Depuis l’élection de la République démocratique du Congo au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, des organisations des droits humains et chercheurs se montrent indignés. Ils dénoncent un affront contre la mémoire des victimes des violences en marge de l’instabilité politique que connaît actuellement la RDC.
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