« L’accord politique du 31 décembre, c'est le testament du président Étienne Tshisekedi.Nous avons, à travers cet accord, signé la paix des braves”, estime le Premier ministre, Bruno Tshibala (photo), a la veille d’une marche organisée par le Rassemblement, bravant ainsi l’interdiction de l’hôtel de ville.

Concrètement, « cela signifie qu'il n'y a plus de Majorité ni d'Opposition. Les marches, les protestations et tout ce que vous voulez, c'est un non-sens ».

Ouvrant les assises d'un conclave « de l’UDPS » de 2 jours devant précéder le Congrès de ce parti politique, Bruno Tshibala indique que « l'objectif poursuivi est de préparer les conditions devant nous permettre d'aller au Congrès du Parti dans l'unité, dans l'attente et la réconciliation ».

Mais également, « ce Congrès est le cadre idéal pour nous permettre d'arrêter toutes les stratégies pour aller aux élections le 23 décembre 2018 ».

L'UDPS en quête d'un leadership national


Pour Bruno Tshibala, l’UDPS a « besoin d'un leadership. Ce leadership national sera consacré dans ce Congrès extraordinaire ».

Citant l'article 26 des statuts de l’UDPS, Bruno Tshibala reconnaît qu’après la mort d’Étienne Tshisekedi, le 1er février dernier, « nous nous sommes retrouvés bloqués dans une crise juridique et politique ».

« Le nouveau leadership » devrait, selon lui, permettre à « l’UDPS de participer à ces élections avec l'ambition de gagner ».
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