*Il était ce jeudi 9 novembre 2017 à Kasumbalesa. Au four et au moulin, Jean-Lucien Bussa est l’un des rares Membres du Gouvernement Tshibala à travailler sans le moindre répit. Là, hier, il a rencontré la Ministre Zambienne en charge des questions de Commerce Extérieur. Normalement, il était question d’évaluer, avec elle, le Protocole d’Accord qu’ils avaient conjointement signé, le 30 juin 2017. Puis, de passer au peigne fin les mesures de restriction liées notamment, à l’importation d’une série de produits dont la Zambie, en tant qu’Etat voisin, subit quelques effets pervers et répercussions négatives. Des discussions engagées là-dessus, comme l’on peut l’imaginer, étaient basées sur le respect des intérêts mutuels de ces deux Etats. Halte aux abus Peu avant Kasumbalesa, à l’étape de Lubumbashi, Jean-Lucien Bussa est descendu avec une équipe vertébrée constituée des experts de l’Office Congolais de Contrôle, du Gouvernorat du Haut-Katanga et, surtout, de ses propres conseillers et assistants techniques, pour évaluer, spécialement, la mise en œuvre des mesures d’interdiction, telles qu’il les avait prises, tout récemment, concernant les boissons gazeuses, les barres de fer et autres ciments gris. Il ressort, par exemple, qu’au sujet d’une affaire consécutive à l’interdiction de l’importation et de la fraude, de la contrebande ainsi que d’autres artifices allant dans le sens de laisser prospérer la maffia aussi bien aux frontières qu’à l’intérieur du pays, la mise en application aurait souffert, parfois, de quelques interprétations erronées. Des tilapias, venus de certains pays de l’Amérique Latine, avaient, certes, étaient frappés d’une mesure drastique d’interdiction d’entrée sur le territoire congolais. Mais, par contre, des tilapias non concernés existent aussi. C’est le cas de qu’on a constaté dans les stocks de certaines sociétés opérant dans l’ex-Katanga, à l’instar de PSARO qui, normalement, devraient écouler leurs produits en raison du fait qu’ils sont exemptés de la liste noire de ceux qui étaient interdits. Il va sans dire qu’après constat, Jean-Lucien qu’entouraient, comme souligné, ci-dessus, des experts en la matière, était tenu de lever toute équivoque à ce sujet. Ce qui, logiquement, est, désormais, chose faite. Donc, mieux vaut tard que jamais. Il fallait éviter, à tout prix, toute généralisation abusive et garantir aux opérateurs économiques dont les stocks ne sont susceptibles de souffrir du moindre doute, le droit de vaquer librement à leurs affaires. Ciment gris A Kinshasa, alors qu’il s’apprêtait à aller à l’assaut de l’ex-Katanga dans la perspective de s’assurer de l’exécution des mesures gouvernementales, telles qu’arrêtées par le Gouvernement, sous la férule du Premier Ministre, Bruno Tshibala Nzenzhe et l’impulsion visionnaire du Président de la République, Joseph Kabila Kabange, Jean-Lucien Bussa avait eu une rencontre avec les opérateurs économiques du secteur du ciment gris. Après des échanges, ceux-ci s’étaient déclarés satisfaits de l’effectivité de la mise en application de ces mesures et, surtout, des effets bénéfiques qui en découlent, pour le compte du Trésor Public. Il avait, singulièrement, insisté sur le maintien des prix à leur échelle actuelle, l’amélioration de la qualité de la production mais, également, l’augmentation de la quantité pour éviter la pénurie de stock. Impact social D’après les services du Ministère du Commerce Extérieur, c’est la première fois que les fonctionnaires de ce secteur, bénéficient de soins de santé gratuits. Une convention, dûment signée avec le Centre Hospitalier AKRAM, leur offre, désormais, l’accès facile aux soins sans la moindre exigence d’une contrepartie. C’est le Ministère du Commerce Extérieur qui, après tous les comptes et calculs, prend en charge les frais consécutifs aux soins de ses fonctionnaires. Jean-Lucien Bussa a réellement mis l’homme au centre de toute son action, comme il l’avait si bien promis, dès qu’il avait récupéré les leviers de commande à la tête de ce secteur névralgique sans lequel, l’image et la crédibilité du pays seraient entamées à l’international. Mais, ce n’est pas tout. Qui plus, les primes, longtemps bloquées ou gelées, ont repris à couler dans les veines de ces mêmes fonctionnaires du Ministère du Commerce Extérieur, grâce à la dextérité et à la vision de Bussa qui, visiblement, est tournée vers le bien-être de ses collaborateurs.
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