Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya a aussi joué un rôle important dans la libération de Jean-Pierre Bemba, a appris C-NEWS, des sources proches de l’Archevêché de Kinshasa. Ayant compris que Joseph Kabila ne lâchait pas toujours prise, et que de plus en plus l’homme consolidait ses forces par la répression des citoyens, en vue de se maintenir au pouvoir contre la volonté de tous, l’archevêque de Kinshasa activa ses contacts et sa position auprès du Pape. Il s’est appuyé sur le fait que le document qui crée la CPI a été élaboré à Rome. On l’appelle d’ailleurs Statut de Rome.
Monsengwo a ainsi mené une diplomatie au niveau du Vatican et obtenu à son tour l’implication du Pape François, dans le dossier sur la libération de Bemba. Ce qui poussera le Pape a entré en contact avec le président américain, Donald Trump, pour lui faire par des derniers développements sur la situation politique rd-congolaise ; laquelle situation reste bloquée par le fait de Kabila qui refuse de quitter le pouvoir en dépit de tous les pourparlers et négociations visant d’organiser une alternance démocratique à la tête de la République démocratique du Congo, à l’issue des élections libres, transpirantes et démocratiques, le dimanche 23 décembre. Une situation que Trump maîtrise aussi parfaitement. Ainsi, pour pousser Kabila à dégager, il fallait un contre poids de taille comme Bemba, qui devrait renfoncer l’opposition et la société civile décidées à faire revenir Kabila à la raison en évitant de briguer un 3ième mandat. Les deux hommes d’Etat donc le Pape et le président Thump se mettront d’accord pour sortir la carte Bemba. En effet, quelques jours avant la libération de Bemba, le président Trump avait envoyé ses émissaires à la CPI, pour y rencontrer Jean-Pierre Bemba. Ces émissaires ont rappelé à Bemba que le président Donald Thump avait connu son père Jeannot Bemba. A l’époque, il envoyait ses gens acheté du Café de papa Jeannot. Les émissaires de Thump affirmeront à Bemba sa libération dans quelques jours. C’est qui s’est produit quelques jours après. Déjà, après l’échange entre Bemba et les envoyés de Thump, l’ancien sous-secrétaire d’Etat en charge des affaires africaines, Herman Cohen avait anticipé sur la libération du président du MLC. Une libération à laquelle la France avait émis de doute. Cependant, elle a fini par être convaincue, après un consensus avec les Etats-Unis et l’ensemble de la communauté internationale. Bientôt, Jean-Pierre Bemba entamera une tournée internationale, auprès des décideurs du monde, pour s’imprégner de toute la situation géopolitique et géostratégique. Pour ceux qui disent que Bemba porterait plainte contre la CPI ont donc tort. Tort puisque Bemba le sait pertinemment que sa libération est le fruit d’un consensus venant justement des décideurs du monde.
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