Après avoir tenté de corrompre les proches de Donald Trump, d’abord par Albert Yuma pour vendre la totalité des riches provinces minières de la RDC à Trump et par Corneille Naanga pour trouver gain de cause avec sa machine à voter, il n’a pas fallu attendre longtemps pour voir la première fois depuis son investiture le président Américain d’ordonne en toute colère une nouvel offensive
américaine contre le régime de Joseph Kabila. Mike Pompeo, secrétaire d’Etat Américain, l’homme à travers qui la réussite de la dénucléarisation de la péninsule Coréenne a été matérialiser, depuis la signature dudit protocole en Singapour, a reçu ordre et mission d’élaborer un plan diplomatico-stratégique contraignant Joseph Kabila, d’être totalement isolée et d'être dépouillé de tous les moyens de survie pour qu’il respecte sa parole donnée à Nikki Haley, celle d’organiser les élections en décembre 2018 et ne pas se représenter à nouveau pour briguer un nouveau mandat à nouveau ni revenir par après. De cette stratégie, selon des sources fiables, qui ont contacté C-NEWS, l’ex patron de la CIA, Mike Pompeo a déjà élaboré un plan dénommé «Isolé et détruire Kabila». Pour ce qui est l’isolement, Mike Pompeo a ingénieusement tenu a couper tout cordon ombilicale et antennes de la Kabilie partout aux USA, en proposant et en faisant adopter au sénat Américain des nouvelles sanctions d’interdictions et d’entrées dans les territoires américains de tous les contacts, Juifs Rwandais et Rd-Congolais qui font des lobby pour redonner espoir à Joseph Kabila. L’autre stratégie, selon toujours nos sources, est de dissuader l’ONU, précisément Antonio Guterres, que les USA acceptent tout dialogue entre Rd-Congolais mais qui ne s’inscrit pas dans la perspective d’une cohabitation avec Joseph Kabila, fin mandat, que les USA trouvent la cause et la raison de la situation politique qui sévit en Rd-Congo. A cet effet, les USA a mis en gardent toutes les organisations internationales et de la sous-région de l’Afrique à la prise d’initiative non inclus dans l’agenda par l’Angola. A cela, Yuwori Museveni Paul Kagame et les firmes juifs ont été prévenus par les USA et la Grande Bretagne, deux pays très engagés dans la crise politique en Rd-Congo. Ces deux nations ce sont convenues de dissuader aussi toutes les organisations internationales à emboiter les pas aux USA, celui d’isoler totalement Joseph Kabila. Dans un autre schéma, celui de la destruction. L’expérimenté Mike Pompeo avait suggéré à Trump la nomination des anciens agents des renseignements des USA et aussi des militaires de formation dans tous les postes de formation dans tous les postes stratégiques des USA en Afrique central. De détruite aussi tous les chefs d’Etats qui se maintiennent encore au pouvoir en violation et modification de la constitution. Pour y parvenir dans ce schéma visant de mettre hors-jeu certains dictateurs, Pompeo avait fait la proposition toujours à Trump de nommer Tibor Nagy, cet homme de main de Trump et de Pompeo. Ce dernier lors d’une interview avait qualifié des chefs d’Etats qui veulent se maintenir au pouvoir des dinosaures corrompus. Tibor Nagy selon des sources crédibles sera secondé par deux ex-agents de la CIA. Dans ce plan l’Angola figure et joue un rôle capital dans la matérialisation de ce plan. Raison pour laquelle, Pompeo avait encore exigé à Donald Trump de nommer un nouvel ambassadeur en Rdc, étant toujours dans le même schéma. D’où le choix de Michael Hammer, un ancien agent des renseignements militaires. D’après toujours nos sources, ce nouvel Ambassadeur aura une double mission, celle de diplomate mais aussi celle de porte-parole de l’Angola auprès de Joseph Kabila pour négocier son départ. Hammer aura la capacité d’approuver et de faire intervenir pour les intérêts des USA les forces de la sadc sans passer par le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo ou le Président Trump.

C-News
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