« Je me joins à Ramaphosa et Obiang [respectivement président sud-africain et Equato-Guinéen] pour féliciter [Joseph] Kabila de s’être conformé à la constitution. », a écrit l’ex diplomate sur son compte twitter, mardi, avant d’ajouter, concernant le chef de file d’Ensemble, « néanmoins, la crédibilité de l’élection du 23 décembre ne peut être assurée que si Moïse Katumbi était autorisée à être candidat et si le Président de la CENI était remplacé par une personnalité identifiée comme neutre. », a-t-il tweeté.
I join Ramaphosa and Obiang in lauding Kabila for adhering to the #DRC constitution. Nevertheless, credibility of the 12/23 election can only be assured if he allows @moise_katumbi to become a candidate, and replaces CENI President Nangaa with a distinguished neutral person.— Herman J. Cohen (@CohenOnAfrica) 14 août 2018
Toujours présent dans la crise congolaise, l’ancien monsieur Afrique de la Maison blanche est un homme qui agit dans l’ombre. Il y a quelques mois, soit, juste avant les dernières audiences dans le dossier Jean Pierre Bemba, il n’avait pas hésité à écrire au bureau de la Procureure de la Cour pénable internationale pour expliquer son engagement en faveur de la libération de l’ancien Vice-président dont il a jugé l’important rôle dans la résolution de la crise en cours. Place à présent à l’opération, candidature, Katumbi.