Que de pleurnicher éternellement autour de cette fameuse machine à voter, l’Union pour la
démocratie et le progrès social, UDPS a décidé et pris le courage de développer les intelligences, pour la contourner. Elle a déjà activé discrètement ses services au niveau de la diaspora pour ce travail. Le parti a des entrées un peu partout sur l’espace international. Il a totalement le soutien de l’International socialiste –la plateforme regroupant tous les partis socialistes du monde. Dans un premier temps, comme l’a soufflé Corneille Nangaa, les regroupements politiques de l’opposition devraient réunir et recruter beaucoup de témoins ; lesquels témoins doivent être très bien formés, bien outillés, perspicaces, efficaces et endurants pour veiller sans fermer l’œil pendant toute l’opération de dépouillement des bulletins de vote. Ce sont les voies des corbeilles qui seront prises en compte. «N’ayez pas peur de ces machines. Nous nous y accrochons, puisque c’est une affaire de sou. 100 millions de dollars pour cette opération d’achat, rares sont ces personnes qui rejetteraient un tel marché», murmure toujours Nangaa, aux oreilles de tout celui qui veut l’entendre.





L’UDPS a refusé dès ce jour de perdre du temps. C’est ce qui justifie d’ailleurs, la récente note circulaire signée par le président de la CEP, Commission électorale permanente, Me Jacquemain Shabani Lukoo, dans laquelle note, l’UDPS vient de lancer sa campagne de recrutement des témoins. Au total, l’UDPS recrute 300.000 témoins, à déverser dans les 80.000 bureaux de vote à travers l’ensemble du territoire national. Ça, Shabani sait bien le faire. Outre les 300.000 témoins, l’UDPS a aussi activé discrètement ses services et ses cadres nantis à travers l’espace international pour entrer en contact avec des ingénieurs et informaticiens des nationalités russe, belge, coréenne et britannique pour déjouer et démanteler les pièges de tricherie posés dans ces fameuses machines à voter. Effectivement, s’il y a pièges de tricherie, ça se saura d’ici avant les élections. Quelques combattants se sont portés volontaires discrètement pour accompagner l’UDPS. Qui entre temps, maintient des pressions sur la CENI, afin que soient élagués du fichier électoral le plus de 10 millions d’électeurs sans empruntes digitales. «Nous n’allons plus nous attarder sur cette machine à voter. Nous cherchons des voies et moyens auprès des informaticiens russes, coréens, belges et britanniques pour contourner ces machines», a révélé un expert UDPS en matière de l’informatique ; avant de faire remarquer que l’église catholique serait aussi sur les traces de l’UDPS.

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