Vendredi, la Synergie des missions d’observation citoyenne des élections (SYMOCEL), a prévenu que le manque de consensus sur l’usage ou non de la machine à voter peut provoquer des contestations à l’issue des élections du 23 décembre.

«Si le malaise de la machine à voter persiste, il y aura certainement les contestations après les élections et ça peut aller dans tous les sens. D’où, il est très important au lieu d’esquiver ce malaise, que l’on puisse traiter cette question. C’est ce que nous recommandons», a dit Djamba Abraham, le chargé des missions de la SYMOCEL.

La mission souhaite également la tenue des élections inclusives qui, d’après elle, fait partie de ses préoccupations. «Si tel n’est pas le cas, c’est préoccupant», M. Djamba et exhorte la société civile à s’impliquer pour la promotion de la tenue des élections.

«La Société civile quant à elle, doit continuer à promouvoir le processus, éduquer les électeurs par rapport à leurs droits et devoirs en chaque phase, c’est-à-dire la phase préélectorale, électorale et postélectorale, mais aussi d’observer et adresser des recommandations pour l’amélioration du processus ».

Dans son rapport publié jeudi en lien avec les listes définitives des candidats, la mission avait déploré, entre autres, le manque de neutralité de la part de la CENI lors des opérations de réception et de traitement des candidatures.

Hervé Kabwatila et Prisca Lokale (IFASIC)
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