Sept candidats Président de la République ont signé hier mardi 2 octobre,une déclaration relayée par certains medias en ligne. Dans ce document, ils revendiquent plus d’équité dans le traitement. Concrètement, ils demandent que tous les prétendants à la Magistrature suprême soient dotés de mêmes moyens.

Pr ailleurs, les auteurs de ladite déclaration invitent aussi bien les membres du Gouvernement que les autorités provinciales, urbaines, municipales et locales à ne pas se servir de leurs positions et de moyens de l’État, pour une campagneélectorale précoce en faveur d’un candidat.Ce collectif de sept candidats Président de la République s’insurge contre la politisation des sites universitaires, toujours au profit d’un postulant.

DE LA MACHINE A VOTER
Les sept prétendants à la Magistrature suprême soutiennent que le bulletin de vote papier est le seul mode de vote prescrit par le législateur congolais. Et de suggérer : "Une commission technique comprenant respectivement la CENI, le CNSA et le Gouvernement devra être mise sur pied pour vérifier le processus d’impression du bulletin papier de vote".
Ils soutiennent, à ce propos, que ce processus n’impactera pas négativement sur le calendrier électoral. Et de souligner :"La Commission électorale nationale indépendante(CENI) porterait, avec le Gouvernement, la responsabilité de tout report du scrutin en cours, si ladite Commission ne procédait, sans désemparer, à l’impression du bulletin de vote papier".
Lors d’une réunion la semaine dernière avec les acteurs politiques, la CENI avait rejeté toute responsabilité en cas de la non-tenue de scrutins à la fin de cette année.La déclaration du collectif de sept candidats président de la République est signée par Marie-Josée Ifoku, l’unique femme candidate président de la République, Sylvain Maurice Masheke, Théodore Ngoy Ilunga, Yves Mpunga, Gabriel Mokia, Seth Kikuni et RadjabhoTebabo. Emma MUNTU

LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top