
Dans l’attente des résultats, qui devraient être publiés dans quelques heures (la plénière de la CENI est en réunion), Gabriel Mokia estime que l’attente actuelle est « un moment trop dur pour les candidats présidents, pour notre peuple et pour l'avenir de notre pays. Hélas, avec les tergiversations que nous sommes en train de vivre, je suis serein. Je suis en train d'attendre là où on va me placer. Je vais voir les erreurs et je vais commencer à me préparer encore de nouveau. Jusqu'à ce que je vais conquérir le pouvoir en bonne et due forme ».
Pour Gabriel Mokia, « celui qui va gagner, on va travailler s'il m'invite. Nous n’avons que le Congo comme notre maman ».
Par Barick Bwematelwa