"JE NE PEUX PAS ETRE BRUTALISÉ COMME ÇA PAR LA POLICE DE MON PROPRE PAYS",

A dit Lambert Mende au sortir du bureau des services spéciaux où il était conduit, après sa brève interpellation chez-lui aux environs de 14 h ce dimanche, alors qu'il s'aprêtait à grand dejeuner.
"Ils m'ont frappé de coups de crosse au ventre et dans le dos", reconnaitra-t-il, accusant les policiers en armes qui l'ont embarqué.

Il semble, mais vraiment au conditionnel, que le ministre interimaire de la défense, Basile Olongo, l'ex. Ndeko Basile, serait derrière cette entourloupe, à la suite de la gueguère de Sankuru et ses leaders...

Il semble aussi, mais au conditionnel encore, que le chef de l'État est intervenu personnellement pour qu'il soit relâché...
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