Sa lettre du 02 août adressée au président du Conseil d’administration de l’OGEFREM, est à la base du climat malsain constaté actuellement dans les rangs des agents et cadres de l’Office de Gestion du Fret multimodal (lettre ci-dessous).

Dans ladite lettre, le personnel de l’OGEFREM à travers un mémo élaboré par l’intersyndical de l’entreprise constate les impaires de Ruberwa, ministre intérimaire des transports et voies de communication ; impaires qui frisent une certaine dictature et imposition, venant de ce ministre ; et allant jusqu’à violer les textes réglemententaires (mémo ci-dessous).

Le bras-de-fer, Ruberwa-OGEFREM se cristallise autour du dossier de suspension de l’agent Mirindi Batumike.










Ruberwa exige et ordonne d’autoritaire dans sa lettre, non seulement la levée de la suspension de Mirindi, mais aussi et surtout le paiement des salaires que ce dernier n’a pas touchés pendant toute sa période de suspension.

Ruberwa s’appuie sur les décisions d’une réunion du Conseil d’administration convoquée, pourtant sous son dictat et terribles pressions politiques exercées sur les membres du Conseil d’administration de l’OGEFREM, et cela avec ordre du jour dicté de son propre Chef.

Alors que Mirindi, devrait par ailleurs passer devant la commission de discipline pour y présenter ses moyens de défense pour les faits qui lui ont été reprochés, voilà que contre toute attente, expliquent les syndicalistes dans leur mémo : «Ruberwa s’oppose à la condition de remettre Mirindi devant une commission de discipline pour lesdits faits».

Décision qui n’arrange nullement les agents et cadres de l’OGEFREM, qui voient en Ruberwa des motivations politiques du genre à faire à torpiller l’ordre et la quiétude observés présentement au sein de l’entreprise.

Des motivations politiques au risque même de provoquer un arrêt de travail dans les heures qui suivent.

Le PCA de l’OGEFREM prend ses distances avec ce dossier et charge Reberwa.

La mesure de la levée de suspension de Mirindi était prise au terme d’une réunion du Conseil d’administration, le 15 juillet - réunion convoquée sous pression- du ministre intérimaire des transports et voies de communication.

Le PAC se libère des charges et accuse Ruberwa, en précisant dans sa lettre au directeur général de l’OGEFREM, ce qui suit : «le vice-premier ministre s’oppose à ce que l’agent comparaisse devant la commission» (lettre également ci-dessous). Une façon pour le PCA de prend distances avec ce dossier.



1. Lettre de Ruberwa
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