
Une conséquence de la grève d'un jour que son comité a décrété le lundi 23 Septembre dans toutes les universités du Burundi, l'avis que partage plus d'une personne.
Ses collègues signalent que contrairement à d'autres qui n'ont que les autorisations spéciales CEPGL, Vital est en ordre avec son passeport et son visa, lui permettant de vivre au Burundi.
"Cette humiliation est insupportable et nous demandons à ce que notre président soit libéré de là où il est le plus tôt que possible" réclament-ils.
Isaac Musharhamina depuis Bukavu