
« Nous rappelons que ces sanctions ont été prises car ces personnes sont soupçonnées d’être directement impliquées dans des actes violation graves de droits de l’homme, ayant causé la mort de centaines de compatriotes, les arrestations arbitraires, des traitements inhumains et dégradation à l’égard des certains compatriotes », peut-on lire dans la correspondance.
L’ASADHO et ses mouvements citoyens ont ajouté par ailleurs que si « L’Union européenne trahirait son engagement pour le respect, La défense et la promotion des droits de l’homme d’une part, cracherait à la mémoire des victimes d’autre part, si elle levait les sanctions sans conditions préalables ».
Kris Mutombo