19 ans jours pour jours depuis que le troisième Président de la RDC, Laurent Désiré Kabila a été assassiné dans sa résidence au palais de Marbre, situé dans le quartier huppé de Binza, sur les hauteurs de Kinshasa. Jusqu’à ces jours, quelques personnes croupissent en prison et sans une suite.

Indigné par le flou qui caractérie ce dossier, Jean Claude Katende, défenseur des droits de l’homme et Président de l’association africaine des droits de l’homme (ASADHO), demande à l’actuel Président de la République à accorder une grâce présidentielle. Pour lui, ces personnes ont été condamnées injustement.



En 2018, lors de son tout dernier mandat constitutionnel, Joseph Kabila, alors Président de la République avait accordé une grâce présidentielle à tous les prisonniers politiques. Mais, les condamnés dans le dossier M’zée Kabila n’étaient pas concerné. Le colonel Eddy Kapend, aide du camp de Kabila père et principal condamné à la peine capitale dans cette affaire, a pourtant toujours clamé son innocence.

Parvenu au pouvoir en mai 1997, après avoir délogé le maréchal Mobutu, Kabila a travaillé, dans un premier temps, au palais de la Nation, à proximité du fleuve qui sert de frontière naturelle entre l’ex-Zaïre et le Congo-Brazzaville.
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