En marge du Sommet sur l'investissement entre le Royaume Uni et l’Afrique, tenu du 19 au 21 janvier à Londres, Denise Nyakeru Tshisekedi a entrepris plusieurs contacts avec des partenaires disposés à l'aider à réaliser sa vision " Plus fortes".
La présidente de la fondation qui porte son nom a échangé tour à tour avec les responsables de la Fondation Shell, l'envoyée spéciale de l'Office des Affaires étrangères Britanniques et du Commonwealth pour l'égalité des sexes, le président de la Croix-Rouge britannique ainsi qu'une délégation de l'Imperial college London.
Avec les cadres de la Fondation Shell, l’initiatrice de "Plus fortes" a évoqué la question du financement d'un projet conçu dans le cadre de l'autonomisation des femmes autour de la formation sur le montage et la réparation des panneaux solaires BBOXX.
Par ailleurs, la première dame de la RDC a échangé avec Mme. Joanna Roper, Envoyée spéciale de l'Office des Affaires Étrangères Britanniques et du Commonwealth pour l'égalité des sexes sur des synergies d'actions possibles pour lutter contre les violences basées sur le genre. Notamment, par la mise en place d'un cadre favorisant l'intégration des rescapéess des violences dans la recherche de solution visant leur autonomisation. S’ajoute à cela, la prise en charge des enfants nés du viol qui, pour la plupart, sont rejetés par la société et subissent un traumatisme, l'autonomisation des survivantes des violences sexuelles en dehors des milieux où elles ont été abusées et le déploiement, selon les spécificités, des forces de maintien de la paix féminines dans des zones de conflit.
On renseigne également que la possibilité d'un partenariat entre la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi et La Croix-Rouge britannique a aussi été au centre des discussions avec la délégation de cette structure conduite par son président David Bernstein. Pour ce faire, un partenariat est en passe d’être conçu, afin de permettre à l'épouse du Chef de l'Etat de la RDC de poursuivre ses efforts dans la lutte contre les VBG et la drépanocytose dans son pays.
Enfin, la championne des Nations Unies pour la prévention des violences sexuelles pendant les conflits a bouclé sa série d'entretiens avec la délégation de l'impérial College London, l'une des meilleures universités au monde. Ensemble, les deux parties ont abordé des questions spécifiques de la recherches autour de la drépanocytose. Denise Nyakeru Tshisekedi et ses interlocuteurs ont envisagé la possibilité de collaboration dans la création d’un Centre de référence sur la drépanocytose à Kinshasa.
A tous égards, les différents contacts de l’épouse de Félix TShisekedi à Londres, font partie du processus qu’elle a engagé à travers sa fondation éponyme pour mener un plaidoyer en faveur des femmes congolaises. Ce, dans la droite ligne de sa vision " Plus fortes". Mathy MUSAU
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