Le Bureau conjoint des nations unies pour les droits de l’homme ( BCNDH) constate une faible amélioration en matière des droits de l’homme après la première année de Félix Tshisekedi. Dans son rapport, cette agence spécialisée de l’ONU parle de 4% d’amelioration sur cette matière, et ce, à la différence de la dernière année de Joseph Kabila. Ce 4% d’amélioration s’explique notamment suite au changement de quelques au sein de l’agence nationale de renseignements (ANR), aujourd’hui sous contrôle de la présidence

D’après ce rapport, les agents de l’Etat restent les principaux acteurs responsables des violences. Pour cette première année de Félix Tshisekedi, ce rapport parle de 54% contrairement à la dernière année au pouvoir de Joseph Kabila. Le chiffre était estimé à 61%. Ici, faudrait-t-il souligner, qu’il n’y a pas eu une profonde refonte de l’appareil sécuritaire congolais. Les principaux chefs de l’armée comme de la police sont ceux laissés par l’ex Président, qui d’après l’opposition, est au contrôle de plusieurs leviers du pouvoir.



Par ailleurs, le BCNUDH dit constater un changement positif dans le discours des politiques.

L’agence de l’ONU parle aussi d’une amélioration de violation des droits de l’homme à caractère politique. Pour cette première année de Félix Tshisekedi, le BCNUDH parle de 7618 cas des violences contre 1654 cas enregistrés en 2018, dernière année de J. Kabila. Un changement que l’on notamment constaté dans la libération des prisonniers politiques suivant les prescrits de l’accord de la Saint Sylvestre.

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