Michel Ngongo, directeur générale de la Direction de contrôle des marchés publics, a revelé ce mercredi au procès de Vital Kamerhe que le Directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi n’avait pas reçu l’autorisation de son organisation pour octroyer un deuxième marché à l’homme d’affaires libanais Jammal Samih.






Selon M. Ngongo, la Direction général de contrôle de marchés publics (DGCMP) a reçu une lettre de Vital Kamerhe demandant un avis de non objection pour un marché de maisons préfabriquées, à confier cette fois à Husmal SARL, mais appartenant toujours à l’homeme d’affaires Jammal Samih. Cependant, cette demande n’a jamais été accompagnée de contrat; ce qui a poussé l’organisation de régulation à refuser cette demande.






Vital Kamerhe est accusé d’avoir détourné somme de plus de 2 millions destinée à la société Husmal Sarl pour la construction de 3000 maisons préfabriquées au profit des policiers et militaires. La partie civile et le ministère public ont par ailleurs soutenu que ce second marché n’avait aucun soubassement légal.

politico.cd

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