Ce qu'il convient déjà d'appeler " feuilleton Lwamba" va de rebondissement en rebondissement. Le dernier en date est ce "coup de théâtre" signé ambassade de RDC en Belgique. Celle-ci, vient, en effet, de retirer la légalisation du démenti, sur la démission de Benoît Lwamba Bindu du poste de 1er président de la Cour Constitutionnelle.
Un communiqué émanant du chargé d'affaires ai de l'ambassade de la RDC en Belgique, le démenti qui porte la légalisation de la signature de Benoît Lwamba par les services de la chancellerie RD Congolaise en date du 13 juillet n'a aucune valeur juridique
Il souligne que ce document ne peut donc engager la responsabilité de l'ambassade parce que celle-ci a été induite en erreur.
"En effet, l'intéressé avait déjà officiellement démissionné" a fait remarquer le chargé d'affaires ai, tout en dénonçant la diversion tendant à semer le doute dans les animateurs des institutions de la RDC. L'ambassade de la RDC déclare par conséquent cette légalisation de signature nulle et de nul effet.









Est-ce la fin du feuilleton ? Rien n'est moins sûr. Car cette affaire charrie des faits rocambolesques. Donné pour démissionnaire le week-end dernier, Benoît Lwamba est allé de son démenti avec une lettre signée de sa main. A Kinshasa, son dircab a assumé le service après-vente du démenti de son boss.
Seulement voilà, d'autres correspondances attribuées au même Lwamba font état de sa décision de démissionner. Ce à quoi la Présidence de la République a répondu en prenant acte du départ de ce haut magistrat. Où est la vérité dans toutes ces lettres contradictoires? Éric WEMBA
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