Pris dans leur propre piège, l’Assemblée provinciale de la Mongala et son manipulateur attitré se retrouvent coincés pour avoir violé intentionnellement les articles 19 alinéa 3 et 61.5 de la constitution sur le droit de la défense, dans la procédure de la déchéance du gouverneur de la Mongala, Crispin Ngbundu Malengo.

Surpris comme des sorciers en pleine cérémonie d’ensorcellement, les députés provinciaux ont fait en sorte que leur corruption sorte au grand jour pour ainsi embarrasser le corrupteur, un membre du Conseil d’État cité nommément dans leurs échanges. Maintenant que le gouverneur a été invité par le chef de l’État Félix Tshisekedi à la 7ième réunion des gouverneurs, les comploteurs ne savent plus où mettre la tête. Récemment, Noël Botakile, le commanditaire de la déstabilisation de la Mongala tel que cité dans l’audio de députés provinciaux, a cru user de la ruse pour flatter le chef de l’État et le vice-premier ministre, ministre de l’intérieur, Gilbert Kankonde, en les citant malencontreusement dans sa fourberie.

Pendant que ces comploteurs avec en tête Noël Botakile s’apprêtaient à confondre Crispin Ngbundu au Conseil d’État au cas où il introduirait son recours à cette instance, le gouverneur de la Mongala les a surpris à la Cour constitutionnelle où ils devront répondre de la violation intentionnelle de la constitution par rapport aux articles ci-haut référencés. Car en effet, invité par l’Assemblée provinciale de la Mongala pour répondre des charges lui imputées au lendemain de l’adresse du chef de l’État annonçant la deuxième vague de Covid-19 ainsi que ces mesures corolaires, le gouverneur Crispin Ngbundu suivant les instructions du président de la république sur le renforcement de mesures barrières pour éviter la propagation de la pandémie, avait demandé à l’Assemblée provinciale de prendre de disposition pour que cette plénière se tienne dans le respect de mesures barrières telles qu’édictées par le chef de l’État, chose que les députés manipulés ont considéré comme un faux-fuyant et ont tenu cette plénière sans le gouverneur pour voter une motion de déchéance contre lui.

A ce jour, non seulement que Crispin Ngbundu bénéficie de la confiance des autorités nationales, mais il a également le soutien de sa population et la loi parle en sa faveur. Les gesticulations de ce dernier venant de ses détecteurs ne sont que de réflexes de survie, car celui qui se fait passer pour le roi de la Mongala de par sa position au Conseil d’État a commencé la politique en 2006 par le PALU, puis PPRD et aujourd’hui il flirte avec LAMUKA au nom d’une cupidité qui n’a d’égale que son avarice. La Cour constitutionnelle tranchera.

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