Si renouvellement de la classe politique ne rime pas forcément avec jeunisme, il est des figures qui incarnent le mieux la relève. Ces nouveaux visant qui respirent à la fois la compétence, l'expérience et l'intégrité. Soit l'exacte antithèse de la "génération spontanée ". Jean-Pierre Lihau, élu de Bumba, en fait incontestablement partie. Plein feux sur ce héraut et héros du big bang dans les travées de l'Hémicycle annonciateur de la requalification de la majorité parlementaire.

Ceux qui écriront l'histoire des consultations présidentielles du Palais de la nation retiendront la date du 10 novembre 2020. Ce jour-là , Jean-Pierre Lihau, député PPRD, lance du perron du Palais de la nation un appel républicain à tous ses collègues. Et les lignes commencèrent à bouger. Telle une glace de peur et d'hésitation qui fond au soleil, des élus de l'ex-parti présidentiel, et plus généralement du FCC, se mettent à l'heure et à l'ère du nouveau deal.

Il a fallu du courage et de l'audace pour s'assumer. Jean-Pierre Lihau s'est émancipé de toutes les pesanteurs pour le faire. Il a, pour paraphraser à l'envers l'ancien Premier ministre français Jean-Pierre-tiens ?- Raffarin, préférer la patrie au parti. Marque d'homme d'Etat.

Quoi de plus logique ou presque que nombre de ses pairs aient vu en lui le futur speaker de la Chambre. Car le courage politique venait se greffer à un pedigree qui fait du député le mieux élu de la Mongala un fin connaisseur des rouages parlementaires. Lui qui a œuvré comme sherpa  dans l'ombre de deux Présidents de l'Assemblée nationale, avant de sortir dans la lumière de l'Hémicycle. Un cursus qui prédispose à la maîtrise des dossiers.

Chargé de mission, conseiller diplomatique puis juridique du speaker de l'Assemblée nationale lors de la première législature ; directeur de cabinet adjoint avant de devenir titulaire durant la deuxième législature. Et cerise sur le gâteau, député triomphalement élu à Bumba, terre de ses ancêtres paternels !
Le sort en a décidé autrement. Tous les proches de Jean-Pierre Lihau témoignent de ce qu'il a pris l'avènement du Bureau Mboso avec fair play. Il n'y a pas qu'au perchoir que l'on peut servir la République. Cela est d'autant plus vrai pour l'élu de Bumba qu'il répond à la triptyque du moment " compétence, expérience et intégrité "

Au passage, si le patronyme indique clairement que Jean-Pierre est le fils de… ce qui n'est pas rien, mais n'est pas tout. A l'instar des belges Charles Michel, Alexandre de Croo…la filiation est doublée d'une équation personnelle en terme de formation, d'expertise et d'expérience. Rien que la saison de Jean-Pierre Lihau au Palais du peuple vaut pedigree.

C'est donc sur cette valeur sûre que ceux qui vivent par la négation de ceux qui brillent jettent des pierres en intentant- une fois de plus - un faux procès en filiation. 

A qui profite l'énième faux procès en filiation contre Jean-Pierre Lihau ?

Autant le clamer tout de go. De sa filiation au Pr Marcel Lihau Ebwa, Jean-Pierre n'a guère à se justifier. Il est bel et bien le fils biologique de son père. La traçabilité déclinée dans toutes les langues aussi bien par la famille du célèbre constitutionnaliste et, par ailleurs, co-fondateur de l'UDPS que par la descendance de sa mère en fait foi.

Si, du côté paternel, tout le clan est montré au créneau pour tordre le cou aux tonnes de mensonges sur les origines de leur fils Jean-Pierre, le côté maternel est d'autant plus à l'aise pour confondre les détracteurs qu'il a vu le Pr Lihau convoler en justes noces en 1972 avec une Kalokola. L'une des filles du chef coutumier Lokele de la chefferie Yalikoka-Mboso du territoire d'Isangi dans la province de la Tshopo.

De cette union naîtront trois enfants dont Jean-Pierre est le deuxième. A la mort de sa maman vers les années 83, le petit Lihau a été confié à sa tante maternelle à Kisangani. Le papa étant en exil.
Au retour de Marcel Lihau à Kinshasa, son fils Jean-Pierre regagne Kinshasa. La suite, c'est le cursus académique et professionnel de celui qui est devenu le député le mieux élu de Bumba, terre de sa son père.

L'occurrence du faux procès en paternité de Jean-Pierre coïncide toujours avec l'approche de grands enjeux politiques. Pas donc besoin d'un dessin pour comprendre que cette campagne de diabolisation obéit à des logiques de positionnement. Pour le besoin de la cause, on instrumentalise même des règlements de compte familiaux.
La question est de savoir à qui profite cette campagne ? Répondre à cette question permettrait de comprendre les tenants et les aboutissants du faisceau de mensonge monté cycliquement contre Jean-Pierre Lihau.

Il est regrettable que certains acteurs en soient encore à faire à des coups en dessous de la ceinture, voire à des coups bas comme arme en politique. Au moment où le Président Tshisekedi engage la croisade contre les antivaleurs, il se trouve encore des opérateurs politiques à recourir à ce qui est indigne de la révolution des mœurs politiques pour chercher à déstabiliser un adversaire politique.
A Bumba comme à Kinshasa des voix sont prêtes à déballer tous les sponsors de cette campagne de diabolisation contre le député le mieux élu de Bumba.
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