Depuis la rupture de la coalition FCC-CACH, il est au devant de la scène. Alain Atundu garde son énergie scientifique. L’ancien allié de Lambert Mende a sorti de son chapeau, l’une des solutions qu’il pense efficace pour résorber la crise interinstitutionnelle actuelle en RDC. 

André Atundu propose le dialogue comme chemin vers la cohésion nationale. Sans peur d’être contredit, l’ambassadeur Liongo affirme que le dialogue permet de prendre la vraie mesure de la situation et d’y apporter une solution adéquate.

Le porte-voix de la famille  politique de Joseph Kabila insiste sur la tenue d’un dialogue réunissant les acteurs politiques majeurs et emboîte le pas ainsi à Lisanga Bonganga, coordonnateur de la Dynamique pour une sortie de crise (DYSOC).

Nonobstant la création de l’Union sacrée, la requalification de la majorité parlementaire et la formation du nouveau gouvernement inquiètent le cadre FCC. D’après lui, le pouvoir politique est faible car incapable de donner une impulsion aux institutions.

« Dans cette hypothèse, il est recommandé de recourir non à la raison (donc la force de la loi) mais au bon sens, c’est-à-dire à la recherche de l’apaisement et de la sérénité dans la vie sociale par le dialogue positif et constructif », souligne-t-il.

Ainsi, l’ancien patron de la Gécamines sous Mobutu estime que le temps est venu pour que la technocratie administrative fasse place aux politiques pour la poursuite de leur mission de fureteur.

A en croire André-Alain Atundu, il convient d’écarter les extrémistes de tout bord qui manipulent l’égo du pouvoir à des fins inavouées.

L’objectif, a-t-il conclu, est d’échanger dans la sérénité et de construire la confiance nécessaire en n’ayant en vue et en tête que l’intérêt supérieur de la nation.


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