Le député national et président du parti politique Envol dégoute la quête de la ministérielle qui selon lui prend le pas dans les quartiers généraux des partis et regroupements politiques pour le futur gouvernement d’union sacrée de la nation.





« Notre maladie de partage du pouvoir nous rattrape à chaque fois et nous empêche de voir la réalité. Je suis écœuré de voir aujourd’hui que la quête de la fonction ministérielle prend les pas sur tout. Et ça, c’est dommage », a t-il fustigé.


Ce membre du G13, groupe des personnalités tant politiques que de la société civile qui militent pour les réformes rassure, en ce qui le concerne affirme que « je suis dans mon rôle de gendarme de la réforme. Je ne suis pas de ceux qui considèrent qu’être député ne sert à rien. Je vais m’investir dans les initiatives que nous prises à l’Assemblée nationale où je serai ».


De toute façon, « quel que soit le dosage que vous pouvez faire, vous n’arriverez pas à satisfaire les appétits des uns et des autres. Il y a 500 députés, nous avons souhaité un gouvernement de 35, il y en aura 40 ou 50 personnes. Il ne faut pas prendre le pays en otage par rapport à ce problème ».


Cela fait plus d’un mois depuis que Jean-Michel Sama Lukonde a été nommé premier ministre par le président de la république Felix Tshisekedi.


Cependant, après les consultations, la publication du gouvernement d’union sacrée se fait toujours attendre.


Il s’observe au sein de certains regroupements politiques quelques tensions autour de quota ministériel réservé aux uns et aux autres.

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