Dans son rapport, le Ministre de la Défense explique que le Camp Kokolo a été construit à l’époque coloniale pour une capacité de 16 000 personnes mais elle abrite actuellement 40 000.
Une situation qui nécessite d’après lui, des solutions à court et moyen terme pour soulager les conditions d’hébergement dans ce Camp militaire.
En dépit de la situation d’hébergement, Gilbert Kabanda Karhenga a également donné des statistiques dudit bouclage effectué au Camp Kokolo.
D’après ce rapport, 256 personnes ont été interpellées, et parmi eux 25 ont été retenues pour être jugées, car ayant des antécédents judiciaires connus et identifiés comme des bandits communément appelé Kuluna.
17 armes de guerre et 57 machettes ont été réquisitionnées, et plusieurs autres armes blanches saisies.
Dans cette optique, 31 familles de civils illégalement hébergés dans le Camp Kokolo ont été déguerpi.