Jean Claude Katende n’a pas tenté d’apaiser quelque peu les esprits en modérant ses propos.


Le coordonnateur de l’Association Africaine des Droits de l’Homme (ASADHO) met en cause de manière anticipée, les résultats des élections de 2023 qui seront publiés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), et dénonce légèrement d’ors et déjà un « putsch électoral » en gestation.


« La réforme actuelle de la Ceni, focalisée sur la politisation de cette institution, ne conduira qu’à faire de la Ceni une machine à fabriquer les résultats électoraux », a écrit cet activiste des droits de l’homme sur son compte twitter.


Outre Katende, plusieurs voix mettent en garde la centrale électorale contre toute tentative de modifier les résultats du scrutin de 2023.

Pour elles, la politisation de deux des institutions ayant un rôle clef dans l’organisation des élections : la Commission électorale nationale indépendante (CENI), et la Cour constitutionnelle, toutes deux déjà contestées et dont les membres sont taxés de partialité, pourrait plonger le pays dans un cycle de violences.

Gilbert Ngonga
24h

 

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